Quand le monde autour de nous s’écroule,
Quand des larmes comme des fleuves coulent,
Quand l’espoir semble loin de nous,
Et qu’il n’y a vraiment rien qui le ravive en nous ;
Quand la terreur monte le long de nous,
Quand l’angoisse s’empare de nos genoux,
Quand tout ce que l’on a c’est les mots de la foule,
Et qu’il n’y a vraiment rien de bon qui en découle…
Il y a toujours une raison pour laquelle nous vivons n’est-ce pas ?
Il y a toujours une rançon qui crie la victoire de la croix !
Il y a toujours un Jésus qui plaide pour nous auprès de Papa ;
Il y a toujours un espoir qui brille aux couleurs de l’éclat.
Il y a Abba Papa qui dit « Viens mon fils je suis avec toi »,
Il y a ses bontés qui dans nos vies ne s’épuiseront pas,
Chaque matin une nouvelle dose se présente juste devant toi,
Ta décision importe tellement, à toi de faire le premier pas !
Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas vos coeurs ;
Aujourd’hui, si le malheur vous atteint, ne quittez pas les voies du Seigneur ;
Il te dresse une table alors, ne rabaisse pas la tête ;
Il te tend sa main donc, ne détourne pas de Lui ta tête.
Avec joie les Fils de Dieu témoignent la victoire de la croix,
Avec Christ dans notre camp c’est sûr nous ferons des exploits ;
Loin de nous le désespoir même si l’ennemi a barré la voie,
Les mains vides, nous écroulerons la muraille par les cris de joie !
Il se tient devant ta porte, il frappe et attend ta réponse,
Il n’a pas voulu que ton âme s’égare là loin dans la fosse ;
As-tu juste une idée de ce que tu deviens quand loin de Lui tu fonces ?
Aujourd’hui si tu entends sa voix, je t’en prie, débarrasse-toi des ronces.
Qu’est-ce qu’on devient,
Quand on s’éloigne de la source qui fait de nous ce que nous sommes ?
La lampe s’éteint,
L’étoile se flétrit et les dons spirituels chôment.
Comme le sarment
Ne peut de lui-même porter du fruit, s’il ne demeure attaché au cep,
Ainsi nous ses enfants
Ne le pouvons non plus, si nous ne demeurons attachés à ses préceptes.