A peine le temps de jeter mes savates,
A peine le temps de verser une larme,
A peine le temps de comprendre et de voir
Tu n’es plus là, et je le sais
Trop souvent, j’ai cru lire sur ton visage,
Trop souvent, j’ai cru voir une larme,
Trop souvent, j’ai cru entendre une plainte,
Mais trop souvent, j’ai fait fi de cela,
Si seulement j’avais su, simplement t’aimer,
Si seulement j’avais su, simplement t’aider,
Si seulement j’avais su, simplement t’écouter,
Tu serais toujours à mes côtés,
Toi mon petit chenapan,
Toi mon enfant,
Toi mon soleil,
Toi ma lumière,
Tu as fini par t’éteindre,
Si seulement j’avais su te comprendre…
Salut Elodie,
Ton Pen est ajouté au concours !
Hello ! La poésie n’étant pas du tout ma tasse de thé je ne puis faire de critique constructive. Je peux juste dire que j’ai trouvé ce texte très triste, bonne continuation.