Nous connaissons tous ces films où tout se terminait bien mais pour nous, dans Les Mondes Miroirs, nous avions la fin que nous voulions.
Moi en tant que Méchante Reine, j’étais devenue la plus belle et la plus puissante de tout. Ma belle-fille, Blanche-Neige, a été envoyé dans l’hôpital de la Prison F.H, Fins Heureuses, avec ses nains. Elle était dans le coma. Aaahh Hahaha Hahaha Hahahaha Haha Hahahahahaha Aaaaaaaaaaahhhhhhhhh. Je m’avançais tranquillement et fièrement devant mon miroir.
– Oh mon plus beau miroir !! Je suis la plus belle des femmes. ricanais-je, aussi vilaine que je suis.
– Oh que vous l’êtes ma chère mais une femme provenant de l’autre côté du miroir viendra et pourrait changer votre destin. révélait Miro, mon miroir magique.
– Quoooooooooooooooi ?! C’est une blague, j’espère ?! m’énervais-je.
– Mais bien sûr. Je voulais juste voir votre tête si on vous disait le contraire, comme au début avec …… Blanche-Neige. blaguait ce maudit miroir.
– Ne fais plus jamais cela. le menaçais-je.
– J’espère que tu plaisantes en disant que tu es la plus puissante. N’oublies pas que Hadès et moi avons de plus grands pouvoirs que toi, Reigns. arrivait Maléfique.
– Maléfique !!! Que je suis contente de te retrouver. Comment vas-tu ?! demandais-je.
Moi en tant que Maléfique, j’étais la plus puissante après Hadès de l’univers, du monde magique des … “princesses”. J’ai accompli de nombreux maléfices depuis qu’Aurore était dans le coma avec cette sainte nitouche de Blanche-Neige. Elles faisaient bien la paire ces deux-là. Le prince Philippe, lui, était comment dire …. devenue mon playboy. Il ne pouvait résister à mon charme envouteur.
Aahahahah Ahaha Ahaha Aahahahahaahah
– Après Hadès et toi, c’est moi la plus puissante des temps. Nous ferions un bon trio tous les trois avec nos pouvoirs réunis !! ricanais La Méchante Reine.
– Mais bien sûr !!! disais-je faussement.
– Oh je sens le “poisson” venir. répliquait Ursula avec ses tentacules qui nous entouraient la taille.
– Ursula !! Que fais-tu ici ?! Tu n’es pas dans la mer ?! sortait de nulle part, le Capitaine Crochet.
– J’ai droit de voir mes amis, non ?! lançait cette dernière avec un regard noir.
– Allons !! Allons !! Allons !! Allons !! Calmez-vous. Réjouissons-nous de notre vie, de la victoire qu’on a tous gagnés depuis des années et des années. apportais-je en tournant mon spectre.
Plus je le tournais plus la magie en sortait et vacillait dans les airs.
Un par un, tous les méchants des princesses ou reines dans le cas de Hanz, celui qui voulait le trône d’Arendelle, arrivaient dans le château, où nous avions l’habitude de nous rejoindre.
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Le pouvoir.
Le plus grand des pouvoirs.
J’étais le plus grand des sorciers et personne ne viendra prendre mon trône. Et pourtant, il me manquait la dernière des reliques pour que je devenais invincible. La cape d’invisibilité. Je ne savais pas où elle se trouvait. J’en ai aucune idée.
– Severus !!! Pettigrow !!! Appelez-moi tous mes amis, les mangemorts.
Quelques secondes plus tard, ils étaient tous là. Un nouveau membre s’était joint à nous. Le fils d’un des leurs. Drago Malefoy. Le plus intelligent et le plus brave. Il me défiait et pourtant je ne pouvait qu’entendre des louanges sur lui. Il torturait des hommes et des femmes nés sans magie, des moldus que je réprimandais.
– Bonsoir !! Bonsoir !! Mes chers amis. J’ai une mission pour vous. J’ai besoin de la dernière des reliques de la mort. La cape d’invisibilité. Vous devez aller me la chercher pour que je sois invincible.
– A votre service, mon seigneur !!! ricanait Bellatrix, mon second et plus fidèle mangemorts. Si quelqu’un le sait, déjà, qu’il le dit. Maintenaaannnnnnt.
Le silence s’installait puis les mangemorts partirent un après l’autre.
Après leur départ, je m’asseyais sur mon trône et caressait Nagini, mon bébé. Je souriais quand je pensais à la destruction de mon ancienne école Poudlard. Albus croyait définitivement que j’allais lâcher prise.
Personne ne sera en sécurité avec moi vivant.
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Je regardais autour de moi. Personne ne m’intéressait,pas même la nouvelle. Comment elle s’appelait ?! Ah oui !! Bella Swan. Elle était la fille de Charlie Swan, le chef et shériff de la ville. Non merci ce n’était pas pour moi. Elle était trop ….. je ne savais pas quoi mais je ne l’aimais pas trop. Arrivée comme cela au milieu du semestre.
Je n’étais pas un homme comme les autres. J’étais plus que cela, plus que les êtres humains. J’étais un vampire tout comme ma famille. Carlisle, celui qui m’a transformé, était le plus grand des vampires. Tous les soirs, nous ramenions chez nous, quelqu’un pour qu’on le manger.
Je ne comprenais pas pourquoi on devait aller à l’école. Tout le monde savait qui on était.
– Cela vous tente un étudiant pour ce soir à diner ?! leur proposais-je, en souriant.
Les autres souriaient, les crocs sortant de la bouche.
– Qui vous voulez ?! demandais-je.
– Hmmmm …. Je sais pas. La nouvelle ?! pointait Emett.
– Hmm … Non. L’autre !! Celle qui se prend pour son nombril. refusais puis proposais-je.
– Ok. Va avec. Jasper, à toi. rétorquait Alice.
Jasper contrôlais les émotions de Jessica. Cette dernière se retournait, remplie d’une soudaine envie de nous voir. Elle souriait. Elle se levait et s’avançait vers moi. Tout le monde regardait autour. Je pris sa main.
Le soir venu, on l’installait dans le salon. Elle ne comprenait pas. Quelques instants plus tard, Carlisle arrivait et faisait un speech après nous nous attaquions à notre plat. On regardait Jessica et, comprenant ce qu’il se passait, partit vers la porte d’entrée mais c’était mal nous connaître.
Une heure plus tard, nous nous régalions de notre repas.
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Après le boulot, je pars chercher mon fils, Toshio, à l’école. En rentrant avec lui, nous croisions un de mes anciens camarade de classe, devenue professeur, Kobayashi.
– Bonjour. répliquais-je gentillement.
– Bonjour Kayako. rétorquait-il.
Alors que nous nous approchions de l’allée qui nous ramenait chez nous, Toshio me tirait ma jupe.
– Est-ce que je peux avoir des sucreries, maman ?! demandait-il, tout doucement.
– Hmmm … Attends !! Je vais appeler ton père. lui annonçais-je sortant mon téléphone de la poche. Coucou, chérie, je t’appelle parce que Toshio veut des bonbons. Est-ce qu’il peut en avoir ?! …. D’accord. Ok. A dans 15/20 minutes.
– Ouiiiii !! s’excita Toshio, avant de partir vers le magasin pas loin.
– Attends-moi, Toshio. ordonnais-je.
20 minutes plus tard, nous rentrions à la maison. En rentrant, je me dirigeais vers la cuisine où se trouvait mon mari adoré, Takeo. Je l’embrassais sur la bouche. J’entendis Toshio.
– Tiens j’ai acheté cela pour toi. J’espère qu’elle t’ira. me donnait Takeo.
Je lui pris et montais directement dans ma chambre. Je l’essayais et me regardais dans le miroir. Elle était belle, sublime. Je descendis pour le montrer à mon chéri. Il regardait et m’embrassait.
– Que tu es belle Kayako. Que je t’aime. Toshio et toi …. nous avouait Takeo, nous faisant un câlin.
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J’arrivais à mon bureau. Je m’installais et me dirigeais vers mon miroir. Je me trouvais jolie, ce n’était pas souvent le cas. Le téléphone sonnait. Je pris le combiné. C’était ma mère, Evelyn. On confirmait le rendez-vous déjeuné de ce midi.
– Ok. A tout à l’heure alors. Bisous. finissais-je la conversation téléphonique.
Je m’asseyais sur ma chaise et commençait à travailler. Je peaufinais les dernières pages de mon livre d’horreur « The Ring ». Cela me prit toute la journée avec les modifications de l’écriture par mon fiancé Jordan.
Ce dernier arrivait dans mon bureau.
-Madame Samara Morgan, voulez-vous que je vous raccompagne chez vous ?! disait-il d’un sourire charmeur.
– Volontiers, mon chère. me pris-je au jeu.
On ricanait. Je fermais tout le bureau avant de m’en aller dans les bras de mon futur mari.
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Quand j’étais petit, j’étais un vilain garnement. Je ne faisais que des bêtises. J’embêtais mes parents, ma grande et petite sœur mais c’était l’âge. Plus je grandissais et plus je mûrissais. Les animaux étaient devenus mes amis. J’avais deux gros chiens et trois boules de poils, des chats. Ils se bataillaient assez souvent mais ils s’aimaient beaucoup. Sur Instagram, je postais des photos d’eux entrain de dormir tous ensemble.
J’étais devenue populaire. J’étais un sportif de haut niveau. On gagnait tout le temps grâce à ma carrure et à mon 2 m de taille. Il fallait dire que j’étais baraqué. Je travaillais intensément mon corps. Il fallait qu’il devenait au top du top.
J’avais une merveilleuse femme et sœur. Avec elle, on s’entendait bien et puis maintenant elle était devenue ma source d’inspiration et mon mentor ainsi que mon coach. Elle savait être dur mais c’était elle. C’était Laurie Strode.
Ma femme, quand à elle, était ma première fan. Elle me soutenait tout le temps même quand cela n’allait pas. Nous avions eu un enfant, Steven. Mon petit Steven. On jouait souvent ensemble dans l’arrière cour de notre maison.
Aujourd’hui avec ma sœur, ma femme et mon fils nous allons au parc d’attraction. J’attendais qu’ils arrivaient devant la porte du gymnaste là où je m’entraînais. Bien évidement, je m’étais douchée. Je voyais Laurie au loin mais avant qu’elle n’arrivait, une fan venait vers moi.
– Bonjour, Michael. Est-ce que je pourrais avoir un autographe ?! demandait-elle gentillement.
– Bien sûr. lui souriais-je. Comment t’appelles-tu ?!
– Amelia. me répondit-elle, souriant timidement.
J’écrivais alors sur le papier qu’elle me tendait, qui n’était qu’une photo de moi, « À Amelia, une si douce jeune femme, Michael Myers ».
La jeune femme partit et Laurie arrivait en souriant. Quelques minutes plus tard, ma femme, Vanessa, et mon fils, Steven, arrivèrent. Nous partions donc en direction du parc en voiture.
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J’étais chez moi tranquille avec ma femme et ma fille. Elles jouaient toutes les deux dans le jardin. Bac à sable, marelle, balançoire, un deux trois soleil et autres.
Alors que j’étais au bureau regardant mes prochains rendez-vous dans mon agenda, ma fille, Kathryn, mon rayon de soleil, rentrait dans la pièce à travers la porte vitrée.
– Papa !! Papa !! Papa !! Tu viens jouer avec nous ?! demandait Kathryn doucement.
– Je suis occupé. Je dois regarder mes prochains rendez-vous avec mes patients. Je suis désolé ma puce. m’excusais-je en lui caressant ses cheveux.
Elle faisait la moue puis le regard d’un chien battue. Elle savait ce qu’elle faisait. Je ne pouvais résister à ce regard. Je fermais mon calepin et rejoignais femme et enfant. On a joué toute l’après-midi. Le soir-même, nous avions acheté du McDo pour le plus grand plaisir de notre fille.
Le lendemain matin, je me levais le premier et en profitais pour préparer le petit-déjeuner. J’étendis des pas dans l’escalier.
– Hmmmmm !! Ça sent bon !! disait ma femme, Loretta, snifant l’odeur du petit-déjeuner.
Quelques heures plus tard, j’arrivais dans le bâtiment où je travaillais. Je déposais ma mallette sur le bureau et mettais en place le siège et la chaise pour mes rendez-vous. Quelqu’un toquait à la porte.
– Freddy ?! interrogeait une voix d’homme.
– Oui ?! lui répondis-je simplement.
– La police vient d’appeler. Ils ont besoin de toi pour une enquête.
– Je suis psychologue pas profiler. rectifiais-je.
– Peut-être mais tu as écrits des livres dessus et puis ils t’aiment bien, notamment le chef de la police. disait son interlocuteur, Jason.
– Bon, il va falloir décaler ou bien reporter mes rendez-vous. débitais-je, un peu énervée.
Plus tard, j’arrivais au commissariat et tombais directement sur le chef de police, Nancy Thompson.
– Toujours aussi téméraire, Nancy. J’espère que c’est très important parce que j’ai du décaler voir reporter mes rendez-vous avec mes patients. m’expliquais-je, prenant sur moi-même.
– C’est très important Dr Krueger. Veuillez me suivre. haussait-elle pointant la salle où se trouvait sûrement un ou deux suspects qui ne parlaient pas.
J’étais souvent demandé par la police. J’étais devenu célèbre grâce à mes bouquins sur la psychologie et le profilage. J’avais un nom « Dr Freddy Krueger ». J’entrais dans la fameuse salle et commençait mon boulot de Profiler.
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Il y avait plein d’autres mondes, tous différents les uns des autres mais surtout de la réalité.
Pourtant, quelque chose se tramait comme l’avait prédit Le Miroir de La Méchante Reine, Miro. Car de l’autre côté de ses miroirs se trouvait une jeune femme, Emma Parker et cette dernière va chambouler ces mondes avec ses choix à elle.
Comment je le savais ?!
Ce n’était autre que ma propre réalité de l’autre côté du miroir.