Un épais nuage noir couvrait le ciel, pas un son au milieu de ses masses informes qui prenait le temps de partager leur rage commune, en silence. Tous près, il ne fallut que le crie d’un zélé pour libérer la fureur de c’est deux bloque de soldat qui se faisait face. Au contact, les premières lignes s’entre-déchirèrent. De puissantes boules enflammée se croisèrent dans le ciel pour exploser des deux côtes. Une débâcle complète ou la barbarie était la plus grande preuve de civisme que l’on pouvait espérer. Nuls ne pouvait distinguer les cris de rage de celle des démembrés, hurlant au sol. Très vite la cavalerie se choquèrent, au centre des tas de corps lambeau. Salve de fusils et tintement de lame étaient l’unique trame sonore qui donnait rythme a cette atrocité.
Une guerre, une grande, ou les hommes combattaient leur frère, ou les elfes, au côté des luniens frappait des Orcs avec férocité pour les dépecer. Des trolls au contrôle d’énorme canon roulent, créait des pertes de chaque côté. Le sol humidifié par le sang versé et recouvert des morceaux des moins habiles… Ou chanceux, se dégageait une odeur prenante, l’odeur de la mort. Soudainement un bruit strident, comme le crachement d’un serpent démesuré, fit trembler les montagnes. Le ciel noir s’embrasa.
Tout le regard fut porté sur une colline, un homme, épée étincelante à la lame violette, pointa le champ de bataille.
– YARTUN!!!!!!!
De l’embrasement du ciel, sortit un énorme monstre noir et rouge aux yeux de rubis. C’est alors que le dragon balaya l’horreur en coup de ces flammes.
Cyraxon au centre d’un cercle de cadavre, claymore en main taché du sang des misérables, vit le cauchemar venir a lui. Il avait vu tend, ce qui ne l’empêcha pas de figer devant la terreur grandiose de la puissance noir.
Le bruit de la bête et la chaleur des flammes le fit se réveiller. En panique, droit dans son lit sa main serrent fortement le poignard en dent de dragon, qu’il dissimulait toujours sous son oreiller. En sueur, le cœur en panique, il reprenait son souffle a la même vitesse que ses esprits. L’inquisiteur, seul dans la chambre d’une auberge de Kramorie, dépourvu de tout artifice passa par réflexe sa main sur son torse. Il ne découvrit aucune nouvelle cicatrice. Son index passa tout de même sur celle qui décorait le creux de son épaule. Une grande ligne épaisse de chaire qui, avec la blessure sœur dans son dos, prouvait la violence qu’il avait subie. Avec l’Age elle n’était plus aussi droite qu’à l’époque.
Cyraxon déposa la dague sur ses cuisses. Il toucha du bout des doigts le masque de corbeau orné d’or déposer sur la table de chevet. Il admirait ce symbole de sa réussite. La preuve qu’il était le meilleur, pas seulement des hommes mais aussi des elfes. Réussir a obtenir telle titre, sans utiliser ni marque, ni parchemin de pouvoir et être toujours en vie, Seulement lui avait réussi telle exploit. Aucun humain ne pouvait prétendre d’avoir accomplie autant.
Il glissa ses jambes hors du lit. Pieds au sol, il agrippa le masque et le déposa sur son visage. D’un bond, Cyraxon traversa la sombre pièce pour pousser les rideaux. Un flux de lumière pénétra la pièce. Du haut du troisième étage de son auberge, il admirait le port de Kramorie
Il s’agissait du plus grand port de la région. Un endroit permettant l’échange de ressource entre les peuples. Nombre de bateaux était destiné à la cargaison ou à la colonisation des nouveaux mondes.
Presque nue, admirant ces fourmis grouillantes. Chargeant, déchargent: bois, métaux, esclave. Nombre de races si côtoyait les humains bien sûr mais aussi les trolls qui courait les marcher pour obtenir matériaux et outils, les Orcs rouges qui servait de porteur de caisse et les noirs tenais la garde des navires de haute valeur.
Il fallut à Deramien trois frappes à la porte, pour le faire sortir de ces pensé. D’un pas sans presse, Cyraxon enfila son pantalon noir sous les martèlements de son ami.
Bruit de serrure mena à l’ouverture, Deramien regarda avec surprise le corps scarifié de Cyraxon. Plus large, plus muscler, les humains était moins frêle que les elfes, mais du haut de sa grandeur, le corbeau doré d’Altrias était impressionnant. L’elfe a la fleur, prit un instant pour lui glisser le compliment.
– Certes, être humain a son lot de défaut, par chance que tu possèdes cette musculature ou ces coupures aurait eu raison de toi nombre de fois.
Conclut-il avec le sourire.
– Sache Deramien que je dois ma survie qu’au dieux qui mon donné mon talent pour l’art du combat.
– Pour le combat, le frère a été généreux mais… il ne t’a pas fait don de l’esquive à ce que je vois. Ahahahahah
Cyraxon regardait l’elfe moqueur, rire de ses cicatrices mais n’en tenu compte. Deramien qui riait beaucoup trop, au point d’être aux larmes, revint lentement à la raison.
– Je suis venu, te dire que notre navire est près. Et même que notre relève nous attend déjà sur le quai.
Le masquer esquissa un sourire dissimulé. Il Ocha la tête. L’elfe reprit route en direction de sa chambre, ou devait encore se trouver, son divertissement de la nuit passé. Cyraxon enfila sa chemise noire puis son long manteau de cuir. Il disposa ses armes sur son corps. Il mit en dernier son grand chapeau aux rune bleu chatoyant. Avant de sortir, du regard, il se saisit une dernière fois du spectacle des quais. Du haut de l’auberge il prit plaisir de voir tous ces petits être sans histoire être animé par de futile motivation. Ce fut au moment de se retirer, qu’il prit conscience que lui aussi était l’objet d’observation. Au loin, deux enfants, debout au centre de la rue. Les fourmis tournaient autour d’eux pourtant nul ne leur tenait attention. Un frisson parcouru le dos de l’inquisiteur. L’avaient-ils suivi jusqu’ici? Étaissent les mêmes qu’au village de bois rouge? Il était roux, cependant, a pareille distance difficile de distinguer les visages. Plus il son regard était insistent, plus un sentiment de lourdeur naissait en lui. Qui sont-ils? Au bout d’un moment. Ce qui semblait être la fille dressa lentement son bras, index pointer dans sa direction. Es ce lui quelle pointait ou bien…
Le corbeau se tourna tout en saisissent le manche de son énorme épée. En un instant il fut face à Deramien. Le pauvre elfe ne comprit pas la panique dans le geste de Cyraxon.
– Mon ami qu’y a-t-il? Oserais-tu croire que je sois un mauvais présage. Hahah
Sans présenter plus d’inquiétude.
Surprit et ne sachant quoi dire, Cyraxon remit sa main, et sa lame, au repos.
– J’ai uniquement tressauté, t’en d’années a chasser les monstres mon appris à me méfier de tout… Même du vent.
– Ah toi! Tu as bien mérité ton repos en nos terre. Vient, notre vaisseau nous attend.
Deramien, sorti d’un pas vif, qu’en a Cyraxon il jeta un dernier coup d’œil par la fenêtre. Les enfants avaient disparu.