Dans le port de Kramorine se tenait un navire, un miracle de technologie, qui par la force de la vapeur, parcourait le monde. Ce bateau, arborant le drapeau mauve et noir de l’ordre, imposait de par sa grandeur et ces fioritures. Cyraxon, devant sa locomotion, eu l’étrange impression d’être déjà allé à son bord. Fièrement, il monta, tète haute comme le héros qu’il est. Un troll porte l’uniforme noir des marins de Altrias fit un pas vers le corbeau. Claquement de pied et salut militaire faisait partie du décorum attribué à son titre.
Bienvenu inquisiteur, le Nivarion est votre maison. Nous vous souhaitons bon voyage.
Cyraxon sans même porter un œil sur le teins bleuter du troll au visage bossu, le remercia sur un ton neutre. Le troll reprit
– Inquisiteur, le capitaine voudrait vous souhaiter la bienvenue lui-même. Pourrai-je vous demandez de me suivre.
Un coup de bec en l’aire suffi à faire comprendre aux marins, d’indiquer le chemin au géant de cuir. En silence ils traversèrent le pont jusqu’ à la chambre du capitaine. Face à une porte orner de décoration maritime, Cyraxon les avais déjà vues. Il y a dix ans, il avait franchi cette porte. Une porte lourde et grinçante. Elle s’ouvrit sur un troll barbu assis derrière un bureau, ou nombre de carte et d’instrument s’empilait. Le capitaine nez sur le désordre pointa le fauteuil a lavent de son bureau.
-Cyraxon Asuria, le corbeau dorer Altrias. Vien, revivons ensemble nos dix dernières années.
Bien droit, l’inquisiteur avança dans une pièce bien plus grande qu’il n’y paraissait. Déterminer Un mur, fit détourner son attention. Sur celui si, une carte des mondes était peinte. Complexe représentation ou même le nouveau monde était en cour de croquis.
Une foi devant le troll, Cyraxon se posa sur la chaise. La créature eux un énorme sourire face à cyraxon. D’un ton Legé, Il prit la parole.
-Ah… Cyraxon, comme il est drôle que le temps n eus nous usé comme l’eau use mon bateau.
L’inquisiteur regarda plus précisément la personne devant lui. Des traits familiers sous une barde verte. Un souvenir vint à son esprit, un matelot faiblard. Le moins habille des trolls. Il avait passé trois mois avec ce minable autre fois. Le troll amusé de voir que l’inquisiteur ne pouvait que l’observer donna réponse à la question que cyraxon n’avait pas encore posé:
-Ahahahah, tu étais moins silencieux à l’époque. Tout du moins avec moi. Oui je suis bien Trengone, le matelot mal-a-droit en charge du pont.
Cyraxon resta silencieux, il avait oublié cette être. Ce fut un long silence qui unissait l’homme et le troll. Le bossu devant le froid brisa le malaise:
Vois-tu l’ami. Depuis tas prise de garde et ton retour sur le Nivarion j’ai vue nombre de membre de l’ordre certain puissent, d’autre plus encore. Certain son devenu maitre d’autre son au temple et raconte leur glorieux combat. Et il a … les autres. Je suis content que tu reviennes. Comment as-tu fait. Toi, Cyraxon, le point noir de l’ordre. Comment as-tu pu.
Cyraxon fut subitement prit d’un instant d’angoisse. ‘’ le point noir de l’ordre’’ ses mot, comme il les a entendus souvent, mais toujours de la bouche des rares qui connaissait se secret.
Comment un troll pouvait-il savoir pour ses origines. L’avait-il vue sans son masque? Certes, Tristrose, avait tout de même prit certaine mesure pour dissimuler le dissimulable. Il restait tout de même sa pilosité faciale et sa morphologie. L’inquisiteur prit au dépourvu demanda:
-Qui sait ?
Trengone, amusé, répondit:
-Uniquement moi. Tu ne te rappel pas? Tu ma mit dans la confidence durant ton voyage. Tu avais peur de ne pas rendre honneur à ton père. Tu m’as confié le poids de ton masque. Comme tu voix j’ai gardé le secret et tu as fait honneur à ton maitre.
Ne sachant comment réagir devant la mise en évidence de ses propres folies de jeunesse, Cyraxon tenu compte de la parole du troll, il continua la discutions, une longue discutions. L’inquisiteur fut silencieux pour la majorité du temps. Trengone raconta ces voyages aux quatre coins du monde. Il exprima son désir de voyager vers le nouveau monde. Un continuant don il remerciait la mère, de sa création.
Au bout d’un instant. L’heure était venue à Cyraxon de partir. Il n’eut qu’à se lever pour quitter de la cabine du troll. Il franchi la lourde porte de la cabine. Il se rend ’y sur le pont. Au loin à l’avant du bateau, Deramien fixais au loin sa destination encore invisible. Le masqué marcha jusqu’ à c’est coté. L’elfe un peu mélancolique regarda profondément dans les lunettes noires du masque de son ami.
-Vois-tu mon ami depuis mon premier départ je reste toujours nostalgique de ses terres humaines, le continent va me manquer. Voir ses gens un peu niais nous demander de l’aide et admirer notre tallent à bien effectuer cette tâche me comble.
-Il son faible et pieux que lorsque que sa leur avèrent utile. A Altrias les gens sont plus civiliser. Ici personne n’est digne de nos tallent.
Deramien sourie en réponse à ce commentaire aussi glacial cas son habitude. Il fit l’exercice d’expliquer sa propre philosophie.
-Je crois, simplement que nous somme les bergers que les cinq ont désigné. Le berger sera toujours plus fort que les moutons, ses pourquoi il les protège des loups et des moutons noirs qui cherche à montrer d’autre voit. Quelle protection le groupe aurait-il, s’il avait à suivre un faible. Ses pourquoi notre bienveillance les guides sur le chemin des cinq.
Cette idée fit son chemin sous le masque de Cyraxon. Soudainement, bruit de machine et marin au pas de course prirent position. Les cheminer se mirent à vomir leur nuage. Les roues palmer se mirent à pousser l’eau. Le départ avait commencé. Une certaine nostalgie s’empara de Cyraxon. Il avait tout de même hâte de raconter ses exploits et connaitre l’étendu de sa gloire aux yeux de sa famille mais surtout au regard de l’ordre.
Le bateau longea la cote, les inquisiteurs regardèrent pour la dernière fois leur ouaille en déplacement sur ces terres sale. Ses fourmis qui errent sans but sous la couverture de protection de l’ordre. Ces fourmis qui ne cherchent rien de plus que de vivre leur petite vie. De loin, ce n’était le port était qu’une masse informe ou se cachait, deux petites fourmis a tète rousse qui au loin, observait un navire partir.
Cyraxon voyant les terres s éloigné, regagnait une forme de paix intérieur. Il demanda à son elfe nostalgique.
-Qu’est-il arrivé à Nya.
Deramien le visage décoré d’un rictus satisfait.
-Elle fut attristée de savoir que son amen ne pouvait la prendre sous son aile. Altrias est un lieu saint toi-même tu sais.
Cette réponse ne surprit pas Cyraxon qui connaissait très bien Deramien. Celui si eu quand même une morale a son histoire.
-Vois-tu mon ami, il vaut toujours mieux se débarrasser d’un objet lorsqu’ elle n’a plus d’utilité. Et comme humain et elfe ne peuvent procréer ils sont mes objets favoris.
Ce fut sur ces parole qu’ils prirent soin de gagner leur cabine. Une cabine qui serait leur demeure pour les trois prochains mois en mer. Et un lit ou Cyraxon pouvait, pour la première fois en dix année dormir sans y cacher une dague. Dans cette petite pièce au mur de bois. Il ferma la porte et glissa le loquait. Il posa son masque sur coin de son lit. Il tomba rapidement dans un sommeil profond. Il dormit si profondément qu’il crue que le voyage n’allait durer qu’une nuit.