Je suis une femme de 25 ans en 2020. J’ai la chance d’être une femme en 2020, une femme qui a été élevée avec des valeurs d’amour, de paix et de bienveillance. J’ai la chance d’être une femme qui a le droit de donner son opinion, d’exprimer ses pensées et ses doutes dans un monde qui ne permet pas toujours à chacun de s’exprimer comme il le souhaite. Et, dans ce monde dans lequel je gravite, il y a tellement de choses qui me mettent hors de moi.
J’ai, depuis toute petite, toujours adoré la lecture. Je dévore des romans (surtout) mais aussi, et de plus en plus, des récits de développement personnel. A côté de cela, je n’ai jamais vraiment écrit. J’ai bien eu un journal intime pour y raconter les peines et les joies de mon adolescence. J’écris à ma famille, à mes amis, à mes amants; souvent avec le coeur au bout des doigts. Mais cela fait quelques temps que je ressens le besoin d’écrire. Pas pour les autres, pour moi. Pour mettre des mots sur des choses que je vois dans mon monde et qui me rendent malade. Pour me dire que, à mon humble niveau, je contribue peut-être à rendre ce monde un peu meilleur, un peu plus beau et un peu plus réfléchi. Pour me sentir moi-même et fière de qui je suis.
Quand je parle de mes idéaux, j’ai souvent droit à des réflexions me faisant comprendre que je suis trop idéaliste ou encore trop révolutionnaire. Mais je sais, au fond de moi, que ce sont ces idéaux et ces valeurs qui font de moi la personne que je suis à l’heure actuelle, la femme de 25 ans que je suis en 2020. Je suis persuadée que c’est en suivant ces valeurs et en les appliquant dans mon quotidien que je vais pouvoir être heureuse et rendre ce monde un peu meilleur.
Alors, à partir d’aujourd’hui, je vais mettre par écrit toutes ces choses qui me mettent hors de moi, qui me révoltent et me donnent envie de crier à la terre entière que l’on se gâche la vie, que celle-ci serait tellement plus belle si on s’aimait.
Oui vide ton sac. J’écris beaucoup sur le développement personnel, la psychologie et la philosophie sur ma page. Le seul truc auquel tu devras faire attention c’est de ne pas sombré dans l’extrémisme et de ne pas devenir comme les gens que tu déteste. C’est un syndrome que je vois souvent avec les gens révoltés comme toi, souvent pour des causes totalement légitimes, mais qui finissent par se piéger eux même en ayant plus de recule sur leur propre engagement et leur propre besoin de bonheur et d’améliorer le monde. Dis toi qu’il y aura toujours des gens contre toi, que ce sera difficile mais que ce qui te rend heureuse peut peut être eux ne pas les rendre heureux. Donc il y a conflit. Voilà je vais regarder la suite de ce que tu écris par curiosité. Hésite pas à me donner ton avis également sur mes textes, cela peut être intéressant. Ou pas. Mais je ne peux pas le savoir pour le moment.
Merci Loïc pour ton commentaire ! Je ne sombre absolument pas dans l’extrémisme puisque je me retrouve moi-même, souvent dans ce processus de réflexion que je ne n’apprécie pas. Quant à dire que je déteste certaines personnes, je n’ai pas assez de temps et d’énergie que pour gâcher ma vie à détester les autres, qu’ils pensent de la même façon que moi ou pas. Plus de joie et de bienveillance pour rendre notre vie plus belle ! Je comprends cependant que certaines personnes ne pensent pas comme moi et je ne leur en tiens pas rigueur, chacun a le droit de penser comme il le souhaite. Ces écrits vont juste me permettre de me retrouver, moi et mes valeurs. Je vais aller voir tes écrits et je te donnerai bien sûr mon avis.
Aimer c’est donner (en tout cas pour moi) et sans rien en attendre en retour sinon c’est juste de l’investissement avec attente de retour dessus avec de préférence bénéfices, rentabilité et autres dans le genre qui gâche tout.
Et j’adore entendre les gens parler avec leur cœur donc il me tarde déjà la suite surtout après ta réponse là dans les commentaires.
une entrée en matière pleine d’émotions, j’ai vraiment hâte que tu partages avec nous d’autres écrits.