Dix pensées, vingt, trente, quarante,
Ni même cinquante n’auront suffi
À tempérer mon incessante
Obsession pour toi, ma Lily.
Une déprime, une descente,
Aucun médicament prescrit
n’a soulagé ma lancinante
Douleur en ton absence, Lily.
Lorsque la solitude me hante
Et que mon cœur est enseveli,
Je me sens remonter la pente
Quand nos chemins se croisent, Lily.
Plus de délire ni de tourmente
Car ta présence seule suffit
À calmer ma folie latente
Reste tout près de moi, Lily.
Comme tu es douce et apaisante
Comme tu me donnerais envie
De faire de toi mon amante
Si tu veux bien de moi, Lily.
Illustration : ZÉR0
Je ne suis d’habitude pas une grande fan de poèmes d’amour mais celui ci est très agréable à lire ! Si tous les amants pouvaient parler ainsi de leur paire !
Oh, c’est très gentil à toi, Maëlle, de venir commenter, encore davantage si c’est pour parler ainsi de mes poèmes 🙂
Je me suis beaucoup amusé à écrire celui-ci, puissent les autres te plaire aussi.