Une matinée stressante bien que peu agitée était a prévoir. Du moins c’est ce qui s’annonce pour Pierre Robin , 28 ans ,dans la file d’attente de la Banque où il est client.
“Pourvues qu’ils m’accorde ce fichue prêt”. Pense-t-il pendants qu’une goutte de sueur, due au stress et à la chaleur pesante de la banque, lui roule sur la joue. Ses yeux marrons sont à moitiés fermé à cause des dernières heures et de celle qui vont suivre. Avec lui sept personnes attendent religieusement leur tour. Cette ennuyeux serpentin comprend un couple de personne âgée, un homme d’une quarantaine d’années avec une barbe et un ventre tout deux démesurée, un jeune d’environ 17 ans portant une veste rouge bordeaux et une jeune mère avec une poussette dans une main et le bras de son fils dans l’autre.
Pierre regarde sa montre, il a promis à sa femme de rentrer tôt pour pouvoir souper avec elle. Une formalité qu’il a pourtant de nombreuses fois du raté à cause de son travaille d’informaticien qui l’oblige à se déplacer, parfois loin, à des heures imprévisibles. Tout cela afin de réparer des ordinateurs ou des systèmes automatisés pour ses clients. De plus la circulation des rues parisienne ne l’aiderai pas à arriver à l’heure car il a encore un travail à faire à l’autre bout de la ville avant de rentrer chez lui. Un cri strident ce fit entendre dans la banque, toutes les têtes ce tournèrent en direction de cette nuisance sonore , des supplications suivirent. C’était celle de la mère voulant empêcher sa fille âgée de quelques mois, qui se trouve dans la poussette , de pleurer à cause d’une tétine tombé au sol. Le petit garçon de 3 ans ,tout au plus, profite que sa mère lui lâche la main pour s’éloigner de cette file sans intérêt. Pierre, d’abord indifférent à la scène qui ce déroule devant lui , concentra toute son intention sur ce petit être lorsqu’il le vit approcher les doigts d’une prise électrique à l’autre bout de la pièce . Ce dernier était fasciné par ces deux petits trous noirs surplombés d’une tige métallique qui suscitaient d’habitude la colère des adultes dès qu’il s’en approchait. Après un rapide coup d’œil a la mère dont les supplications envers sa fille semblaient enfin porter leurs fruits et aux autres personnes qui voyaient très bien ce qui ce passe sans réagir, Pierre ce précipite à l’autre bout de la pièce, attrape l’enfant par le bras et le tire en arrière avant que le bout de ses doit n’atteignent la prise électrique.
-Je sait pas si ta déjà gouter a la châtaigne mais je ne crois pas que tu va l’aimer sous cette forme la. S’exclame t-il.
A la fois surprise et effrayé par cette inconnu qui lui tien le bras le petit écarquille les yeux sans rien dire. La mère , dont le bruit du sprinte de Pierre a attiré l’attention, vit la scène puis s’approche d’un aire furieuses.
-Julien, ça va pas! Hurle t- elle
Elle le dispute pendant une longue minute avec une voix tellement puissante que Pierre pensa pendant un instant qu’elle allait finir par s’arracher une dent. Une fois que le ton fus baissée elle ce tourna ver Pierre et lui fit d’une voix reconnaissante mais qui trahie une profonde fatigue.
-Désolé, il est un peu turbulent mais en tout cas merci je sais pas ce qui ce serrais passer si vous n’aviez pas été la .
-De rien, c’est normale, a votre place j’aurais apprécié qu’on fasse pareille.
-Vous avez des enfants?
-Non mais j’espère en avoir.
-Vous êtes mariée alors ?
-Oui mais on préférait être bien installée avant d’en faires. C’est d’ailleurs pour ça que je suis ici . Je viens demander un crédit pour pouvoir acheter une maisons digne de ce nom et en faire la surprise a ma femmes.
-Ha, et bien bonne chance dans ce cas et merci encore.
Sur ce il ce remettent dans la file. Pierre ne pus s’empêcher de froncer les sourcils quand il vit que l’homme barbue avait profité de la scène pour passer a l’avant de la file. Derrière le guichet ce trouve, droite comme une allumette, une femme d’une cinquantaine d’année avec des cheveux friser, légèrement blanchit par l’âge et de grosse lunette ronde, . Sans ce soucier du changement dans la file elle fait signe a l’homme barbue d’avancer. Le jeune à la veste rouge, juste devant Pierre, regarde ça montre avant d’aller aux toilettes, cela lui fait penser à regarder encore la sienne.
Soudain une voix puissante retentit à l’entrée de la banque
-Personnes ne bouge ce ci est un hold-up.
Tout le monde ce retourne pour voir d’où viennent ces paroles. Deux braqueurs cagoulés ce tiennent la dont un avec un pistolet à la main. Le braqueur armée a de large épaule et une voix grave et puissante . Le deuxième a des courbes fines et féminine.
-Vous avez entendu ? Alors tout le monde lèves les mains. Dit le deuxième avec une voix confirmant sont sexe féminin.
-Oui très bien mais je vais vous demander de faire de même.
Les deux braqueur surpris ce tournent et s’exécutent . Un vigiles que personne n’avait vue vient d’arriver par une porte sur la gauche des braqueurs et pointe une arme sur eux.
-Aller ! Levez les mains et pose…
Il n’a pas le temps de finir ça phrases qu’un troisième braqueurs lui aussi cagoulé arrive juste derrière lui, l’attrape par le cou avec sont bras droit , lui donne un coups de pieds dans l’articulation de la jambe, juste au dessus du mollets, le forçant ainsi a tomber par terre. Une fois cela fait il continue de lui serrer le cou jusqu’à ce qu’il perde connaissance. A ce moments toutes les personnes de la file et la femme derrière le guichet levèrent les mains.
-Putin, tu nous avais pas dit qu’il y aurait un garde!. Fit le grand braqueurs au pistolets à sont collègue qui venait d’apparaître.
Ce derniers, habillé d’une veste noire et de gants de la même couleur, ne répondit pas. Il fait le tour de la pièce pour débrancher les caméras de surveillance et fait un signe de la tête à la braqueuse .
Elle ce précipite derrière le guichet avec deux gros sac sur le dos et hurle .
-Aller vielles connes met tout le fric dans les sacs ou mon copain te dégomme .
Elle ouvre le coffre, située juste derrière elle, le vide de son contenus et remplis au maximum les sacs à tel point que la braqueuse a du mal à les fermer .Pendant ce temps le troisième braqueurs avance avec un sceau auprès des clients.
– Tous les téléphones portables dans le sceau. Et plus vite que ça.
Pierre, la mère et le barbue pose leurs téléphones dans le sceau , le couple de personne âgée retournent leurs poches pour faire comprendre qu’il n’en on pas. C’est à ce moment la que le petit Julien, apeuré, ce mit a courir dans tous les sens. Surpris le braqueurs au pistolet ce met a tirer sur le petit garçon. Pierre ce jette sur lui ,le désarme , ils tombent tout deux à terre et commence à ce battre. Pierre prend rapidement l’avantage,il ce met a genou au dessus de son adversaire , le frappe au visage jusqu’à entendre un craquement sinistre et un hurlement qui lui indique qu’il vient de briser le nez a sont adversaire.
Une détonation retentît. Après un cour silence Pierre regarde ça poitrine et aperçoit un trous rouge avant de s’effondrer sur le dos .
-Ce salaut ma peter le nez .
Dit le braqueur au sol en ce relevant
Le troisième braqueurs,encore immobiles avec l’arme qu’il vient de ramasser encore à la mains dit d’une voix parfaitement calme et claire
-Tout le monde à droite dans le bureau du conseiller bancaires et en silence.
Les gens ce dépêchèrent d’aller dans la pièce sauf la mère qui, sa petite fille à la main et en pleure à cause du coup de feu , cherche sont fils du regard . Ce dernier ce précipita dans les jupes de sa mère qui ce résigna à rentrée dans le bureaux avant que la brasqueuse ne ferme la porte a clefs.
Pierre encore conscient vit un long filet de sang, de sont sang, ce répandre sur le sol. Puis il tourna sont regard en direction du braqueur qui lui avait tiré dessus . Même avec un trou dans la poitrine il ne pus s’empêcher de remarquer l’intérieur de sa veste , un rouge bordeaux. Le tireur rend l’arme à sont propriétaire avant que la braqueuse ne viennent le voir.
-T’es vraiment con t’aurai pus tuer ce gamin
-Y m’a surpris et j’avais le doigt sur la gâchette.
Le tireur prend les sacs et ce dirige ver les toilettes.
-Ou tu les amènes ?
Lui lance-t-elle.
-La ou ils doivent être!
Répond t-il froidement avant de passer la porte.
-Oui il va les mettre dans le plafond à carreaux des toilettes comme ça on pourra s’enfuirent tranquillement et si on ce fait choper on dira que c’est pas nous vue qu’on à pas les sacs. Et d’ici une semaine on revient en temps que clients avec deux autre sac, on fait genres on veut aller au toilettes, on transvase l’argent d’un sac à l’autre et le tour et jouée. C’est vraiment un génie ce gars.
-Moins fort ! T’imagine si y nous entendent. Dit elle en regardant en direction de la porte ou sont les otages.
-T’inquiète pas la pièce est insonorisé.
Répond t-il.
Le tireurs revient mais sans ça cagoule et avec ses gants toujours aux mains .Pierre reconnus le jeune d’environ 17 ans qui était dans la file. Ses cheveux châtain dessine une mèche rebelle sur son jeune visage impassible de même que ses yeux noirs qui ne trahisse aucune émotion quelconques.
Il ce dirige ver le vigil toujours inconscient et s’accroupie devant lui.
– J’aurai jamais imaginé qu’on devienne aussi riche tout les trois .
Dit joyeusement la braqueuse avant d’embrasser sur la bouche le grand braqueur au nez brisé.
– Moi non plus.
Dit le jeune d’environs 17 ans avant de prendre l’arme du vigiles et de tirer deux coup en plein dans le coeur de ses acolytes . Tout deux s’effondre, mort sur le coup. Il tire ensuite dans la tête du vigiles inconscient après quoi Il pose l’arme à coté de ce dernier.
Il retourne alors sa veste noir qui redevient donc la vestes rouges qu’il avait au départ , il remarque que Pierre a encore les yeux ouvert et le regarde. Une expression ce dessine enfin sur le visage du jeune , un sourire! Il déclare.
-Voilà ce qu’on appelle retourner sa veste!
Il rejoint ensuite le cadavre du braqueur au nez brisé , lui prend la main où il a encore le pistolets fermement agripper, sans le lui enlever et se tire une balle dans la jambe avant d’enlever ses gants et de crier à l’aide.
Je vois que tu as suivi mon conseil.
J’ai bien aimé ce premier chapitre.