Prologue
Parfois, il y a des gens qui sont nés comme ça, qui sont nés comme des virus. Là où j’habite, les gens appelés “virus” doivent accomplir leur destinée. Au moment où ils ont vu la lumière du jour, où ils ont pris leur première bouffée d’air, ils sont condamnés. On les reconnaît car à leur naissance, il rayonne d’une lumière. La lumière qu’il apporte au sois disant “monde”. Heureusement, je ne suis pas l’un de ces virus. Mais quand je les voit à la télévision se battre pour nous, les pirkas (sans virus), je veux les aider, les débarrasser de leur travail. Un jour, je serai l’un d’eux. Et à ce moment là, je leur dirai que leur travail infini a assez duré, et qu’ils peuvent se reposer car maintenant, je m’en chargerai.