Maintenant, je porterai ton malheur sur mes épaules. Chapitre 1, première partie.

2 mins

21 septembre 

Je me réveille au milieu de la forêt, au milieu de toutes sortes de fleurs. Je me relève, surpris, et cours dans tout les sens. Il n’y a pas un signe de vie. Ni d’eau, ni d’animaux : rien. Je commence à paniquer et  je cris de tout mes poumons : personne. Je décide alors de monter à un arbre pour voir ce qui survole la forêt. Heureusement, j’ai des baskets. Je commence à m’accrocher au tronc épais d’un chêne. J’ai du mal à grimper car les branches sont fines. Je fini par déraper et tomber. Je n’étais pas très haut alors je m’en suis sorti avec quelques égratignures. Mais quand je me relève, je ressens une douleur affreuse à la cheville. Je m’assieds contre le tronc de chêne. Je réfléchis à un moyen de soigner ma cheville et de SURVIVRE. Je ne peux pas appeler de l’aide, ni grimper aux arbres. Je dois trouver de l’eau, de la nourriture et un abri pour la nuit. Je prends deux bâtons par terre et je les mets de part et d’autre de ma cheville qui est enflé. Je prends une grande feuille, la passe autour de ma cheville et des bâtons, et l’attache avec un bout de tissus que j’obtiens de mon tee-shirt. Puis je commence à marcher, en boitant, toujours criant à l’aide. J’aimerais que mon père soit là. Je sais que si j’avais un virus, je pourrais me sortir de là facilement. Mais je n’en aurai jamais.

Flashback

Il y a de très rares gens qui naissent comme antivirus. Eux, avait les mêmes capacités que les virus, mais ne peuvent pas les utiliser. Si ils le faisaient, un virus mourrait. En plus, les antivirus n’ont le droit qu’à une seule utilisation de leurs pouvoirs, la deuxième fois, se sont eux qui meurent.

Mon père, lui, était virus mais ma mère, une antivirus. Un jour, ma mère allait faire les courses mais elle vu un virus entraint de se battre contre l’un des “Clover”. Elle accouru à sa rescousse immédiatement. Elle voulait l’aider mais ne pouvait rien faire. Alors elle décida d’utiliser deux fois sont pouvoirs tellement vite qu’elle mourrais avant le virus, et il serait sauvé. Mais elle, par contre, elle avait déjà pris la décision de nous abandonner, ce qu’elle fit. Sa technique marcha, bien sûr, mais la contrepartie aussi. Elle décéda, un dimanche, en route pour le magasin de fruits. Je n’avais même pas eu le temps de lui dire au revoir. Et moi, pensant qu’elle allait revenir, j’attendais en regardant par la fenêtre, tenant un dessin que je lui offrirai à son retour. 

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