Mon nez pleure des gouttes de sel
Mes lèvres sèchent sous les rayons du ciel
Fatigue corrompt mon esprit
Toute concentration des études est partie
Mes oreilles se bouchent, je deviens sourd
Mes yeux sont las, et j’appelle au secours
Je ne pleure pas, mais j’en pleure d’envie
Qui m’apporte du désespoir ? C’est donc Maladie.
Donc Maladie, mère de ce rhume profond
Par sa faute impossible la concentration
Puis mes jours au lycée deviendront un enfer
Dans lequel va sans doute retomber cette pointe de fer
Oh ! Je souffre mais toi tu ne sais pas !
Vous deux, ne me laissez pas dépérir là !
Car je ne puis vivre un jour de plus
Sans que cette fièvre ne soit, mais plutôt qu’elle fusse
Très touchant