Ils s’étaient rencontré quelques années avant, depuis qu’ils se cherchaient il était enfin temps.
Les vies sont ainsi faites, qu’à force de trimballer chacun sa casserole,
Qu’apporter ses couverts, on fait le difficile.
Elle avait fait le choix, qu’avec les beaux parleurs, elle commençait à croire sans vraiment le chercher
Qu’en faisant quelqu’essais, souvent elle se trompait, des humeurs incertaines dépensées ça et là,
Lui renforçaient sa loi, moi avant tout, je m’aime.
Il était décidé, autant qu’elle s’en souvienne, que d’avoir occupé ses joies avec ses proches,
Ne lui laissait son temps que pour son exercice.
Il avait fait le choix, qu’avec ses transhumances, il n’avait jamais pu se fixer a une branche,
Renforçant selon lui, qu’il pouvait distribuer des pans de sentiments, s’il pouvait faire rêver.
Il était décidé, qu’à chaque nouvel essai, jamais il ne cacherait la valeur de sa foi.
S’il s’est souvent trompé, jamais n’a déguisé, et jamais n’a renié les mots qu’il prononçait.
Il savait conjuguer, certains dires mal usés, mais ne les employait que s’ils étaient placés.
Ils avaient de communs, les mots qu’ils se disaient,
Les mirent a tous les temps, maniant dans le pluriel, avec sincérité, autant qu’ils s’en souviennent.
Sans offenser chacun, quelques mots mal placés, très vite conjugués,
Suffisait à détendre, l’art de les prononcer.
Ils avaient la manière, chacun de son coté, de croire sans y voir,
Aucune altération, et ainsi échanger, les pages de livres écrits, des crayons de chacun.
Ils imprimaient ainsi, des mots mal conjugués, sur l’ouvrage à lire qui devenait commun,
Sans penser qu’une virgule, quelquefois déplacée, changeait l’art de la phrase qu’ils croyaient bien notée.
Possible que l’un d’eux, retenait en secret, une conjugaison, une gomme a tout faire,
Car tout est si secret, dans la valse des mots, qu’un accent mal placé, change la prononciation.
Des anciens livres écrits, ils ne devaient jamais, utiliser les mots, qui sont déjà usés.
Si l’un s’en avisait, il devait proposer ce qui ferait l’affaire des parties concernées, sans penser a biaiser.
L’ouvrage s’est refermé, il en reste a écrire, possible que le titre reste encore a créer,
Les maux de mots de tous, est une appréciation,
Et savoir conjuguer, avec sincérité, ne fait rien qu’offenser, le dictionnaire des autres.
Petit amusement sur une histoire d’amour.
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A savoir que je m’amuse à faire des pieds, et quelquefois des mains pendant ces petites vacances de fin d’année ^^ ça ne vaut pas un pet, mais tant pis, le clavier est gratuit.