Des cendres de mon passé je n’y vois que la clarté….
Le décor de ma vie s’est embrasé, noircissant la partition que j’avais composée
A la lueur de la brume j’ai entrevu la vérité, l’illusion que j’avais créée
Au coeur de mes erreurs, le coeur des Atlantes, secrets bien gardés, volupté
Mon être enchaîné, souffrait de non-naître à l’authentique être ailé
De l’eau à l’air j’ai transmuté, fille des profondeurs je deviens femme oiseau
Le serpent relié à la terre qui se dresse pour rejoindre les cieux
Jaillit de ma coupe toute l’abondance, féminité sacrée à laquelle tu viendras t’abreuver
Des cendres de mon passé je n’y vois que la clarté….
Merci chère femme oiseau pour cette poésie avec des images évoquées intéressantes 🙂