Il y a quelques jours en rentrant du lycée seule Mathilde à fait la rencontre de Alex, un jeune garçon du même âge qu’elle. Etant nouveau dans cette ville Alex s’est retrouvé perdu hésitant entre deux rues.
“Bonjour est ce que je peux t’aider ?”
Alex sursauta
“Bonjour désolé j’étais dans mes pensées je ne t’ai pas entendu arrivé … Je suis nouveau et je t’avouerai que je me suis un peu perdu. Je cherche la rue qui mène au petit ruisseaux près du parc.”
Mathilde le regardait, il était grand, les yeux gris mais son regard était vide. Il n’avait aucuns points de ressemblance avec les autres garçons de son entourage et pourtant Mathilde lui trouvait quelque chose. Cette chose inexplicable, celle qu’on appelle l’attirance.
“Alors suit moi je vis près du parc moi aussi.”
Sans attendre sa réponse Mathilde se remit en route et Alex la suivait. Ni l’un ni l’autre ne parlait. Aucun des deux n’osait entamer la conversation.
“Voila nous y somme c’est cette rue la qui descend au petit ruisseaux, je suppose que si tu es nouveau on aura l’occasion de se revoir au lycée demain ?”
“Oui je le pense aussi merci a bientôt.”
Et il parti sans même laisse le temps à Mathilde de lui répondre. Son côté mystérieux attisé sa curiosité. Demain elle lui parlerait !
Le lendemain et les deux jours qui ont suivit personne. Alex ne s’est pas montré. Et pourtant il était bien la ancré dans la tête de Mathilde.
Fin de semaine, heure des fêtes pour le week end. Mathilde n’en avait pas envie. Ce jour la elle décide de rentrer à nouveau seule chez elle.
Il était la au même endroit que la première fois. Elle s’approcha de lui sans rien dire.
“Je t’attendais” lui dit Alex .
Surprise Mathilde ne répondit pas.
Après quelques minutes de marche la discussion se mit en place.
Les heures passent. Il est tard Mathilde doit rentrer. Sa mère a essayé de l’appeler une bonne dizaine de fois. Elle s’en foutait. Elle voulait rester avec Alex.
Ils y croyaient en cette nouvelle amitié.
Elle rentre enfin.
“Mathilde ? C’est toi ? Je t’ai appelé, j’étais inquiète pourquoi tu rentres si tard? ”
“Oui c’est moi ! J’étais dans le parc, excuse moi maman j’étais avec un nouveau voisin on a pas vu le temps passé, on a beaucoup parlé. Tu n’imagines pas le nombre de point communs que nous avons !”
La mère de Mathilde s’approcha d’elle, le regard inquiet. Elle savait ce qu’il en était. Elle a vu Mathilde.
Elle était bien dans le parc. Mais il n’y avait personne avec elle.
Elle était seule.
Sa mère était prévenue, elle savait qu’un jour ou l’autre ça arriverait.
C’était aujourd’hui. Les médecins ne s’étaient pas trompés.
Elle a le gène.
Bonjour Gaëlle,
Le Pen est pris en compte pour le concours, bon courage !
Très sympa ton histoires j’aime bien ton style c’est agréable à lire 😉