Avant toute chose, je tiens à remercier Fumilayo Adjou , une amie de longue date qui m’aide dans l’amélioration des idées de mes divers textes qui je l’espère, vous plaira ! Bonne lecture ! ——————————-
Une enfance pleine d’amour, c’est aux côtés d’une mère constituant une grande source d’affection. Codjo à vécu joyeux, heureux et amoureux dans sa tendre enfance. Il était tellement candide et enfantin qu’il s’arrangeait pour paraître sage devant sa tendre mère. Mais une fois que celle-ci tournait le dos, Codjo devenait un petit monstre insupportable et à problèmes. Tout le quartier le connaissait pour son énergie et sa faculté à créer des problèmes de toutes parts. Il était le gamin le plus connu du village et l’on entendait son prénom dans toutes les bouches. Sans internet, il arrivait à capter l’attention de son entourage, l’on se demandait toujours à l’entente de son prénom quelle nouvelle bêtise il avait faite. On aurait pu croire qu’il aimait se donner en spectacle aux yeux des gens de son village. Il se trouvait dans tous les centres de jeux et connaissaient toutes les sortes de jeux et même les jeux réservés à la gente féminine ne lui étaient pas inconnus.
C’est tout drôle ! Mais Codjo avait déjà sa complice du même âge que lui avec laquelle il appliquait certaines gâteries qui lui coûtait des surnoms drôles auprès de ses oncles et tantes. Sa mère en ces temps, était dépassée par les actions de son fils. Avec cette petite compagne d’enfance, Codjo jouait au jeu du papa et de la maman, ils préparaient à manger dans des poudriers et boîtes de conserves alimentaire. Et à chaque fois, ils finissaient la boîte d’allumettes lorsqu’ils essayaient de faire du feu pour cuisiner des nourritures d’enfants un peu spécial.
“À cette époque de sa vie, il avait une conscience d’enfant qui lui faisait croire que tout était permis. En fait c’était cette conscience infantile qui lui a permis de faire ses propres expériences de vie.”
Et à bien y réfléchir il se demandait parfois si sa mère arrivait à le comprendre parce qu’il aimait faire de tout. Tout lui plaisait et comme depuis, il s’était toujours accordé à tout faire, « Sa liberté sans limites n’était que paralysie de l’âme. »
Quand il partait à l’école, il ne se passait une journée sans qu’il n’embête et ne donne des coups de poing à un camarade. Pour lui, toutes ses actions lui paraissaient innocentes puisqu’il n’agissait pas sans arrière pensée. Il n’avait pas d’associé avec qui, il pouvait se permettre de faire du mal délibérément. Car personne ne lui refusait rien mais ses camarades de jeux l’écartaient souvent de leurs projets de loisir.
À cette époque de son enfance, sa mère n’était pas une femme riche mais il était le plus épanoui de tous les enfants. Rien ne lui manquait ! “Parce que sa mère lui donnait l’amour et l’affection qui comblaient tout autre besoin physique ou sentimental “.
«Cet amour qui vous procure un sentiment d’extase, de satisfaction complète et vous gratifie d’un bonheur inouï. L’amour que nous donne une mère nous innocente devant tout sujet. Son amour est tout juste le plus grand et le plus vrai qu’il puisse exister. Son amour nous élève au delà de toutes choses.»
” L’amour d’une mère, c’est une marée de bonheur et de positivité que le vent de la mer ne peut emporter. “
À suivre …
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