La vie est courte.
Mais le temps durcis nos vie et adoucis nos cœurs.
Nous croyons à la peine vie.
mais nous finissons pas êtres exécuté par l’erreur d’une autre.
Le malheur suit le bonheur.
Et vice-versa.
La richesse porte aussi le fruit de la pensé insomniaque.
Comme la haine dans tout les cœurs.
Tout disparaît !!!
Le monde construit au prix de l’effort s’écroule.
Plus rien ne va.
Et même notre seul espoirs perd sa dernière plume.
Notre chance s’écrit plus.
Le dernier soupir fait court.
on perd la vie de sa chaire.
Et nul ne peut nous retenir encore pour un temps limité.
C’est derniers instant que peu de gens savent qu’on regrette.
Le regret assoit sa base sans assurance.
Pour les bonnes œuvres réaliser la joie fait son cours.
L’espérance soulage le cœur.
La conscience avoue et reconnait l’inutilité d’une vie.
Peut-être, de toute autre vie.
Dur d’y penser.
Parce que la croyance y ais déjà
Tant de joie comme de mœurs.
Le corps abîmé !
Laissé insupportable !
Ne traîne que la conscience infaillible de la pensé.
Un train de vie à destination pour stationner l’âme et poursuivre le trajet d’esprit dans un autre monde.