Dans la peau de Baudelaire il m’invita,
Accrochant des chaînes nuageuses à mon coup ;
Une entrée dans un chantier agréable et fou,
Qui pourrait s’apparenter à du cinéma.
Des efforts qui ne sauraient faire de dégâts ;
Les battements de mon cœur suivent un rythme doux,
Chaque pulsation me délecte au point d’être sou ;
Une paix intérieure qui remplit son contrat.
Sous l’ombre d’un labeur qui paraît invisible,
Entre besogne et liberté imperceptibles ;
Se cacha un incernable anthropomorphisme.
Un voyage de la cigale à la fourmi
Un corps en aller-retour entre ces poésies,
Au cœur des regards dépourvus de travaillisme.