Il a une personne avec une cape noire tellement longue qu’elle va jusqu’à traîner par terre. Elle recouvre le corps de l’individu et elle dispose d’une capuche. Il porte en plus un cache-visage noir montrant seulement ses yeux gris.
Cet homme sort de sa cape un sac et détruit à main nue des casiers de banque qui sont recouverts avec un gant en plastique noir.
Il met des lingots d’or, des montres, il prend tout ce qui peut se vendre ou s’échanger contre de l’argent.
L’agent de sécurité l’a vu grâce aux caméras de la chambre forte très fortifiée où il a un appareil biométrique (un scanner d’œil), code à chiffre et une manivelle en roue.
Il a contacté les autorités et il a dit que vu qu’il prend les petits coffres, il doit être une menace de rang criminel.
On lui informe qu’un héros est proche et arrive bientôt.
Le bandit a remplit son sac presque a ras bord et va pour partir mais il y a un homme qui lui fait face.
Il se décale sur la gauche où il y a les casiers volés et il pose son sac. Le stoppeur se décale à droite et lui fait face.
L’intervenant est un jeune homme brun aux yeux marrons.
Il porte un kimono marron clair un peu couleur bronze, une tee-shirt blanc, un pantalon avec des baskets noirs.
Il porte un fourreau de katana marron foncé à sa ceinture.
Le justicier dégaine son katana qui avait la lame en bronze et déclare avec une voix ni trop grave ni trop aigu. « Je suis le Samurai de Bronze 5ème du rang D, rends-toi ou sinon, je vais devoir me battre. »
Le méchant le fixe et a un regard neutre.
Le Samurai ne le voyant pas se rendre. Il prend cela comme une récidive et décide de lui fonçait dessus et il crie « DÉLUGE DE LAME DE BRONZE ! »
Déluge de lame de bronze était une rafale de coups d’épées qui était fait assez vite mais cette technique ne lui fit rien. On pouvait voir que chaque coup le traversait et le détachait mais son corps à l’ennemie était brumeux. Quand les membres était séparés de son corps, il avait la partie qui le raccrochait au corps qui devenait translucide.
II fait un bond en arrière et déclare « Un pouvoir gazeux ». Le corps du vilain se reforme comme si rien ne l’avait touché ou tranché.
Puis l’épéiste refonce sur lui et crie « ESTOC DE LAME DE BRONZE RENFORCER. »
Mais elle le traverse et se plante dans un caissier ce qui le surprend.
Le super vilain le frappe en utilisant sa main gauche pour mettre un coup de paume sur son oreille gauche et un coup de paume droite avec sa main droite sur son oreille droite.
Le super héros fait un pas en arrière et il est un peu étourdi. Le vilain en profite pour retirer l’épée et voyant ceci le héros fait un bond en arrière et se heurte au casier qui se trouve derrière lui et comprend qu’il est piégé.
Il voit sa vie défiler sous ses yeux et le simple criminel fonce et fait un coup d’estoc qui l’embroche.
Le futur tueur sort son épée de son ventre et le héros à peine conscient va pour s’écrouler mais il ne lui laisse pas le temps de s’écraser qu’il fait un mouvement de rotation et lui coupe la tête.
L’agent aux caméras est choqué de la scène et se tient la bouche pour pas hurler.
Le tueur va voir le cadavre et prend son fourreau ainsi que sa ceinture pour caler le fourreau puis range son katana et prend son sac.
La police attend qui sort de la chambre forte pour le neutraliser.
Il marcha vers les policiers et dès qu’il franchit la ligne qui dépasse le coffre-fort du reste de la banque, un homme sûrement un officier de police parlant dans un microphone avec une voix un peu plus grave que le décédé déclare « Rends-toi sinon on tire ! »
Il continue de marcher vers les flics sans rien dire. Il le braque et sont prêts à dire puis le braqueur commence à disparaître de bas en haut en diagonales avec un effet un peu de vapeur qui s’échappe.
Il disparaîtra laissant les polices face au vide et au cadavre d’un super héros.
Le voleur réapparais dans une ruelle. Il réapparais de haut en bas en diagonal avec un effet de vapeur.
Il enlève sa cape qui plie correctement et range dans une poche de sa veste.
Il enlève son cache-visage qui met dans une autre poche de sa veste.
On voit le meurtrier sous sa véritable apparence.
Un jeune homme de plus de 25 ans (Samurai faisant un peu moins). Il a les yeux gris aux cheveux noirs.
Il porte une veste en cuir, un tee-shirt avec un motif de crâne sur le derrière en blanc et il écrit Death entouré par une faux en petit à droite sur le devant en blanc, un jean troué mais troué pour faire classe et des basket tout cela en noir.
Il est assez grand plus que l’officier et Samurai. Il n’est ni trop maigre ni trop gros, un peu la même rondeur que l’officier et il est assez musclé, un peu plus que l’officier.
Il met une casquette qui avait dans une poche de son pantalon. Il touche son fourreau qui devient invisible.
Il va ensuite dans l’avenue et se mêle à la foule. Il voit même des policiers dessus.
Il dit dans ses pensées et on peut entendre qu’il a une voix assez grave plus que les autres.
« Ils sont bête de croire qu’un criminel va se balader en tunique. »
Il se rappela que les méchants des comics, mangas et même dans sa vie courante sont souvent facile à voir et en tunique constamment.
Donc il ajouta
« J’ai rien dit »
Il marche tranquille vers une destination mais il entendit un très léger « Arrêtez, s’il vous plaît » et regarde la ruelle.
Il se tourna vers la ruelle où il avait entendu quelque chose et court dedans et il courut vite.
Il voit un homme avec un couteau couper les habits d’une jeune femme.
Il dit avec sa voix qui est bien aussi grave que dans ses pensées mais d’un ton calme.
« Arrête cela, tout de suite sinon tu vas en payer le prix. »
L’agresseur était un homme d’une quarantaine d’années.
Il porte une veste, un débardeur beige, un survêt bleu et des basket noires.
Mais ses habits était boueux.
Il est un poil plus grand que lui, il est plus épais que lui et il est plus musclé que lui.
Il porte une couteau avec lui dans sa main droite.
Le futur violeur se retourne et déclare avec une voix typique de brute qui sent l’alcool, la cigarette et une voix plus grave que Spirit mais dans un autre registre Spirit a une voix grave mais apaisante ou oppressante, lui c’est une voix rock.
« Tu vas me faire quoi ? »
Le sauveur remonte légèrement le sabre qui devient visible, on voyait un morceau de lame.
La brute lèche son couteau et se jette sur lui.
Le tueur dit calmement « Taillade de bronze. »
Il s’élance sur lui à une grande vitesse et le tranche en deux en un coup d’épée en horizontale.
Le corps s’effondre et il rengaine son sabre.
Il regarde la femme qui est quasiment toute nue et donc prend les deux parties de la veste du mort puis lui met sur elle sans aucune animosité.
La femme est plus jeune que le sauveur
Elle était blonde aux yeux bleus.
Elle était moins musclée, plus maigre et plus petite que tous les personnages.
Mais elle avait du charme avec ses courbes et ses atouts bien formés pas trop ni pas assez.
Elle lui dit un « merci » pratiquement inaudible mais il l’entend et sourit.
Il prend la dague du cadavre et fait une grimace puis il met la dague dans une de ses poche. Il rend son katana invisible et commence à partir mais se fait arrêter par la jeune femme qui lui demande avec sa voix de femme ni trop grave ni trop aiguë avec un ton un peu affolé. « Qui êtes-vous ? »
Il répondit toujours avec le même ton calme.
« Un super vilain »
Elle le regarde surprise et il part dans l’avenue qui était assez loin de son emplacement. Une personne banale n’aurait rien entendu vu la distance et serait terrifié face à la carrure de l’agresseur.
Il arrive à un prêteur sur gage où il vend et échange tout ce qui lui fait une masse d’argent, il en a tellement qui est obligé de donner un compte bancaire pour faire un virement. Le compte bancaire donné et bien un compte bancaire légal mais d’une banque qui se pose pas de question comme l’agence immobilière où il achète un petit appartement.
Il alla dans sa maison puis se mit au travail.
Il change un peu sa cape et autre pour qu’elle soit plus légère et plus maniable pour plus avoir moins de handicap dans ses mouvements.
Il raffine avec une pierre qu’il avait acheté avant ses deux armes qui sont le sabre et le couteau.
Puis il les testent pour voir comment est la découpe et la force des objets.
Il prend un ordinateur qui a acheté et regarde les articles de presse, il ne prend pas la première car sinon il va vite se faire avoir avec des héros de classe supérieure mais des petits articles et il en voit un.
Il parle d’un hôtel qui aurait une grosse transaction qui pourrait aider l’hôtel à devenir plus populaire.
Il réfléchit et regarde à qui l’hôtel appartient et cherche ce qui pourrait le booster.
Il prend un calepin et stylo où il a noté la date de demain avec l’heure de la transaction et la met contre un mur et le plante avec un clou. Il met la revue parlant de la banque qui a fait figure dans une article de presse à côté de la précédente et la plante toujours avec un clou.