La machine à laver est un outils merveilleux ,presque magique. Il suffit de mettre le linge a l’intérieur, en fessant attention de ne pas mélanger les couleurs , de mettre du produit et de programmer l’engin. Les gens ont souvent tendance a oublier à quel point elle a changer la vie des ménagères . Tout comme Mathilde au moment de sortir le linge de la machine pour le mettre dans une panière bleu claire . Un à un elle sort tous les vêtements jusqu’à remplir la panière. Au moment de soulever la panière elle eu l’impression que tous les muscles de ses bras aller finir par lâcher. Les vêtements encore mouillé pesaient lourd pour son corps fragiles. Jusqu’aux moment libérateur où elle la pose sur une chaise prévu à cette effet à côté de l’étendage. Le bruit assourdissant d’une télé poussée au volume maximum résonne dans toute l’appartement. Malgré ce brouhaha qui dure depuis plusieurs heures Mathilde entend le bruit de la porte d’entrée qui ce ferme.
-Adrien? C’est toi ?
-Non c’est un cambrioleurs!
-C’est très fin comme humour.
-Salut Maman.
Dit Adrien le sourire aux lèvres en posant les clefs de l’appartement et en lui fessant un bisou sur la joue. Sont sourire fut vite remballé lorsqu’il aperçu l’énorme panière à linge pleine . A ce moment une soudaine vague de colère l’envahi.
– Je demande pas si y ta aidée!
Fit il en lançant un regard noir en direction du salon où ce trouvais la télévision.
– C’est rien je peu me débrouiller tu sais.
– Maman! Le médecin à été claire à ce sujet! Pas d’effort intense! Merde, tu reste à la maison car tu peux plus travailler avec tes problèmes de coeurs, donc prend pas de risque inutile. Surtout que l’autre con pourrais t’aider!
– Adrien, je me sens très bien et puis ne parle pas comme ça de François c’est ton beau père tout de même.
– Tu va voir comment je vais lui parler!
Dit il en ce dirigeant d’un pas décidé vers le salon. En arrivant dans la pièce il vit un vieux fauteuil marrons user par une utilisation incessant, plusieurs bouteille de bière vide et plusieurs sachets de chips dans le même état. À l’intérieur du fauteuils un homme dont l’usure est comparable à celle de son trône à la différence près que la siennes n’est pas due a une utilisation très importante de sont corps. Ses cheveux brun était long et gras, ses joues comme sont nez était rougie par l’alcool. Adrien prend la télécommande et éteins la télévision.
– Rallume ça tout de suite petit con .
– Tu sais c’est moi qui paie l’électricité et les trois quarts du loyer ,donc je décide de ce qui reste allumé ou non.
– Moi aussi je paye le loyer! Alors rallume cette écrans immédiatement, tu m’entend !?
– Ce que tu paye avec ton allocation chômage ça paye à peine la facture d’eau, donc ta juste le droit d’en boire.
– Je vais pas me laissée emmerder par un petit merdeux de 20 ans qui connais encore rien de la vie.
– C’est vrai que rien faire de la journée à part boire c’est pas la partie de la vie que je connaisse le mieux. Mais y a d’autre choses dans la vie comme s’assurer que ça femme cardiaque et pas en train de forcer toute seule par exemple!
Sur ce ils se mettent face à face en ce regardant dans les yeux. Le regard vert foncé mais déterminé d’Adrien reste fixe devant les yeux bleus entourer de veine rouge de son beau père. Adrien savait qu’il y à quelques années François n’aurai pas hésiter à le frapper pour ces mots mais maintenant qu’il peu physiquement lui faire face et que c’est lui qui ramène le gros de l’argent à la maison son beau père cède en détournant le regard et pousse un sons semblable à un hennissement avant de quitter la pièce. La télécommande en main Adrien pense un instant à retirer les piles mais s’en abstiens , en son absence François serais capable de ce venger sur sa mère ou sure…
– Maman , tu sais ou est Julie ?
– Non, mais elle devrait pas tarder à rentrer.
Cette réponse ne le satisfaisant pas il retourne dans la même pièce qu’ elle pour plus de précision.
– Mais, elle finissait les cours à 16h aujourd’hui et il est 18h20 !
Lance t-il sur un ton surpris.
– Oui elle est rentrée mais elle est repartit, tu sais bien quelle ne supporte pas d’être à la maison.
– Je lui en veux pas pour ça, c’est ce quelle fait quant elle est pas ici qui m’agace .
– Comment ça? Qu’es ce qu’elle fait quant elle n’est pas ici ?
Dit elle la voix pleine d’inquiétude en lançant à sont fils un regard emplis de la même émotion. Conscient qu’il venait de commettre une erreurs et presser de ralentir le rythmes cardiaque de sa mère il répond.
– Ben quelle traine avec des garçons , c’est vrai elle collectionne les petits copain. Si ça continue elle va avoir une sale réputation.
Rassurée et visiblement un peu émue par sa réponse ça mère lui dit .
– Mais c’est riens ça, elle a 16 ans , c’est de sont âge. Et puis ne t’inquiète pas pour ça, t’es son demi-frère pas sont père. En tout cas je suis touché que tu prenne autant à coeur les intérêts de ta soeur.
Soucieux de ne pas montrée qu’il mentait Adrien répond d’un aire agacé.
– Je sais bien mais c’est pas son père qui va lever ses fesses du fauteuil pour ce demander ce qu’elle fait, il est trop occupée avec la télé et les bières .
Sur ses mots il sort son téléphone de sa poche , entre le numéro de sa soeurs avant de tomber sur un répondeur . Après avoir poussée un profond soupir il longe le couloir centrale de l’appartement pour rentrer dans la chambre de Julie. La petite chambre était vert- marron avec un bureaux, une table de nuit, une petite armoire et un lit une place. Des posters de groupe de musiques caches presque l’intégralité des murs. En rentrant il aperçois le téléphone de sa soeur sur la table de nuit mais son attention fut retenue par une tige blanche au sol. Il ce baisse pour la ramasser avant de pousser un nouveau soupire. Il reprend ses clefs, s’approche de la porte d’entrée et déclare a ça mère.
– Je vais la chercher, j’en est pas pour longtemps!