Après cette fête, Meng rentre dans son clan du nom de Suoyuan.
Ce clan est banal.
Ils portent des habits en tissus qui est fait grâce à la laine de mouton.
Il mange comme un pays banal ce que leurs agriculture et élevage donnent.
Ils ont des maisons en pierre qui viennent des chaînes de montagnes et l’intérieur lui et en bois.
Ils font attention à l’équilibre car en tant que petit état s’il ne replante pas d’arbre après en avoir coupé un ou tué des cochons sans bébés, ils serons dans une mauvaise posture car ils devront en chercher de nouveau et sûrement chez leurs voisins ce qui peut être une déclaration de guerre.
Cette tribu a deux spécialité dans la deuxième est très variable.
La première est que les membres de se clans vouent une loyauté presque divine envers leur chef.
La deuxième c’est que si le chef a un fort désir ou envie, il sera un des plus puissant que les autres sinon il sera un des plus faibles.
Tout les états qui connaît cette épée à double tranchant croyaient que le dirigeant était faible mais ils se dirent qu’ils avaient tort en ayant reçu la missive sur la guerre de Xurong.
Le capitaine arrive dans son palais qui est entièrement fait de bois et qui ressemble à un dojo japonais. Il est assis sur les planches de bois en dehors de la maison qui mène à son jardin où des soldats viennent faire leurs rapports et les représentants de diverses armées.
Le premiers dit
« Fennu fait la guerre contre Baoshi !
Et Yinyu continue sa guerre contre Jaoqi ! »
A cette annonce, il regarde la Tour des Légendes.
« On dirait que les barrages qu’avaient les étangs, ils ont été détruit et maintenant tout les lacs essayent de devenir une mer. »
Les militaires qui ne comprennent pas cette phrase ont un sourcil levé et les personnes qui ont compris qui sont certains capitaine, deux personnes et le serviteur du roi sont surpris.
Il demande un certains Zhenxi qui est son majordome.
Il ordonne d’envoyer trois messagers voir la chef de Chidun, le chef de Yinyu et la guerrière de Jaoqi qui permet à son royaume de pas tomber.
Ils délivreront un message aux destinataire écrit sur du papier avec un sceau bleu qui signifie négociation.
Il demande à Zhenxi de rester à la ville et de faire attention car il sent une attaque fourbe.
Zhenxi est un homme d’une cinquantaine d’année.
Il a les cheveux long jusqu’au épaule gris et les yeux bleu gris.
Il prote un plastron en cotte de maille, manches, jambières et bas en tissus noir avec quelques plaque en métal.
Il a un collier avec un médaillon en fer et un katana en fer comme arme.
Il porte une cape en tissus noir où il est écrit en bronze « Zhenxi »
Le Roi monte sur un cheval est part mais son domestique se met face à lui, le fixe, joint ses mains et s’incline et le seigneur joint ses mains cette révérence servait à dire bonne chance. Le laquais se décala et il partit.
Le capitaine protecteur de la ville dit en le voyant partir
« Dire que personne voulait miser sur ce petit poisson. »
Ses gardes soupir et sourient voyant le chef nostalgique.
Le seigneur guerrier arrive à Tanyu où un émissaire arrive et demande
« Messire, mon roi demande pourquoi êtes-vous venu. »
Il déclare avec un ton calme, impérial et froid.
« Dit que le chef des Suoyuan met sa parole à la déesse de la mort que si le vieux Linsegui que s’il tente quoi que se soit sur nous ou Fennu. »
Il a un ton qui change pour montrer de la colère
« Je le pêcherai, le mangerais et le remplacerais par un poisson qui sait où son étang ! »
L’émissaire prend peur et il part à toute allure.
Quand le roi de Tanyu reçoit se message, il demande à ses troupes de se replier et que l’attaque furtive se stop.
Linsegui était terrifié par se message mais n’avait pas compris comment il avait compris ses manigances.
Il voulait attaquer dans le dos Fennu et penser que Suoyuan perdrait contre Jaoqi car il pensait que la roue de la fortune avait tourner en leurs défaveur et donc envoya une troupe furtive pour les éliminer et prendre leurs place.
Il devient très suspicieux car il pense qu’il a un traître qui lui a refilé ses informations.
L’émissaire revient disant qu’il a reçu le message et ils partent mais d’un coup il « perd » une cargaison à un village en bordure qui sera pris pas le chef de se village qui se nomme Jieyong avec son armée.
Meng se met sur le trône en bois en plein air qui fait face à une rue marchande où il a du mouvement.
Zhenxi est juste à côté de lui.
Il dit
« Le plan est en marche »
Le trôné sourit et met son poing droit sur sa joue droite et dit qu’il faut maintenant attendre.
