Tout commença la nuit du premier décembre mille neuf cent quatre-vingt-dix-neuf, cette nuits froide et humide et sans lune, le vent soufflait tellement fort qu’il pouvait déraciner les arbres, les volets des fenêtres claquer au rythme du vent, une jeune fille tourne dans son lit pour chercher une quelconque trace de sommeil, la maison était vide, les parents de l’adolescente, deux médecins très connues, était en voyage pour le week-end, elle avait passée toute sa journée a nettoyé la maison. Alors dans un dernier effort elle ferma non sans peine les volets de sa maison, dans l’espoir d’avoir une atmosphère agréable au sommeil, elle s’installe sur son lit et finit par s’endormir après des heures de souffrance, vers les coûts de trois heures, un bruit venant de la cuisine la réveilla en sursaut, elle referma les yeux en pensant que sa devait être son frère qui était rentrer, mais elle réouvrit aussi taud les yeux se souvenant que son frère était à l’armée depuis biens des mois, une sueur glacial parcourue son dos, son sang ne fit qu’un tour, elle pris avec difficulté son téléphone et appela les policiers, mais avant d’entendre la réponse des policiers, le téléphone s’éteint, la fille l’insultât de tous les nom, son sang ne fit qu’un tours dans ses veines, et son cœur battait à toute allure, elle se dirige avec un nœud à la gorge vers sa porte, elle regarde par le trou de sa serrure mais elle ne voie rien d’autre que le noir, elle prête l’oreille et se fige elle entendis des pas dans le couloir, puis la chambre de ces parents s’ouvre, elle partit rapidement vers l’armoire, et se cacha en essayant de faire le moins de bruit possible, on pouvait discernait la peur dans ses yeux vert et bleu, se yeux qui, était la cause de moquerie dans son lycée .
Elle avait extrêmement peur de se qui aller lui arriver, elle se dit qu’elle était trop jeune pour mourir, le bruit du plancher grinçant, les gouttes de pluies, le tonnerre exaltant, les volets s’ouvrant et se fermant ne faisait qu’accentue son angoisse. Et c’est à cet instant là ou son cœur rata un battement, ces mains se dirigèrent automatiquement vers sa bouche pour étouffer un sanglot.
La porte s’ouvrit dans un fracas, la fille compris à cet instant la que c’était finis, J’entendis une voix grave qui chantonner : “tic-tac”.
“Es-tu ? Chuchote-t-il ;
-Dans la salle de bain … ? (Quelques secondes) … Non. Dit-t-il.
-Sous le lit… ? {Quelques secondes} … Non. Répète-t-il
-Dans l’armoire ? “Silence “… Oui. Annonce-t-il.
NON, dégage, part, je ne suis pas dans l’armoire, pense-t-elle. Elle voulait pleurer, crier, appeler de l’aide, mais elle ne pouvait rien faire hormis prier pour qu’il s’en aille, elle sentit que son cœur voulait partir, s’enfuir s’il le pouvait, une fine lumière prit possession, elle comprit assez très vite que c’était finis, l’homme la regarda avec ses yeux rouges comme le sang, et froid comme la température actuelle de ma chambre. Il bredouilla quelques mots que je ne réussis pas à comprendre avant que je ne sombre dans un noir effrayant.
Le mois de décembre était pour certains le meilleur mois de l’année, il était celui qui annoncer le début de l’hiver, ce mois de célébration la ou les familles se réunissent au milieu d’un bon repas devant la cheminer, ou la joie et la bonne humeur renier.
Ce mois ou les lacs deviennent d’excellent piste de patin, ou le toit des maisons est blanc, ou les personnes amateures de sky se retourne en haut des montagnes pour s’amuser.
Malheureusement pour elle, Éléonore ne verra plus la lumière du soleil pour un bon bout de temps, es que Eléonore pour reprendre sa liberté ?
Nous ne savons pas.