chapitre 1: partie 1

12 mins

Je me réveillais avec un horrible mal de tête, espérant que ce n’était qu’un cauchemar, j’ouvris mes yeux, la pièce où j’étais. Me fis comprendre que ce n’était pas un rêve.

La pièce était petite, on parvenait difficilement à y respirer. Elle était sombre, on y ressentait une aura négative, on pouvait aussi ressentir de la peur, de l’angoisse, mais surtout l’odeur du sang qui moisissait.

Un fin rayon de soleil fut projeté dans la salle… Un cri d’effroi s’échappait de ma bouche, en face de moi, un corps sans vie était devant moi, son état montrer que cette jeune fille avait dû souffrir, cette personne porter des vêtements blanc tâché de sang, ces cheveux de couleur châtain clair étaient dans un état pitoyable, l’un des côtés était long, alors que l’autre était court. On pouvait distinguer des bleus dans tout le corps, des brûlures, des coupures, des traces de cigarette, des coups de bâton.

Si on regardait bien le corps, on pouvait remarquer un œil blanc, sa mâchoire était déformée, on pouvait deviner sa souffrance, ce qui me fait le plus mal, était que la jeune fille avait l’air d’avoir dix ans, on pouvait surtout comprendre que la jeune fille devait être morte depuis peu. Devant elle se trouve un bout de papier, pris d’un courage mystérieux, je m’approchais du corps de la fille, et pris délicatement le bout de papier. En lisant ces mots, je ressentis un frisson de peur, Ce n’était pas un mot ou une phrase, c’était une lettre, cette lettre était à une adresser à une certaine Lara.

La lettre disait :

Cher Lara

Je t’écris cette lettre pour te dire que tu me manques beaucoup, je compte les jours, les minutes et les secondes pour te revoir, chaque journée est une épreuve. Ce que je vis est horrible, chaque jour, je soufre, si tu me voyais, tu ne me reconnaître jamais, j’ai maigri, j’ai perdu mes dents, mes cheveux et mon sourire, on nous tortures, on nous brûles, on nous violes, pour voir si nous sommes forts d’esprits, plusieurs filles ont perdu leurs santés mentales, pour ma part, je reste forte comme papa me la toujours demander. Je garde espoir qu’un jour, je pourrais revoir l’extérieur. Sache que chaque fois que je pense à toi mon cœur se serre, tu me manques tellement, et je sais que de ton côte, je te manque. Hier soir, nous avons été victimes d’une énième violence, malheureusement plusieurs d’entre nous en péris, j’ai été gravement blessé, mes cotes me font souffrir et ma mâchoire doit être cassée.

Si par chance, tu lis cette lettre, je tiens à te dire, je t’aime.

Ta petite sœur, la meilleure et l’unique que tu aimes.

Je lisais cette lettre avec des larmes, en imaginant les souffrances de la petite fille, car même l’écriture de cette lettre a dû lui être douloureuse mais aussi pleurant pour mon propre sort. Un mot échappa de la lettre. Un bout de papier s’échappa, son contenu disait

À toi

Toi qui lis ce mot.

Je dois être morte, je te souhaite bonne chance, car tu en auras besoin ce que j’ai écrit à ma sœur et une petite partie de ce que tu vas vivre. Pour cela, je te conseille de te soumettre et surtout ne pas désobéir, j’espère que tu seras assez forte mentalement comme physiquement, car personne n’a réussi à s’enfuir. Si par miracle, tu survis et que tu ne rejoins pas le côté du mal comme plusieurs l’on fait. Je te demande de donner cette lettre à ma grande sœur.

Je te souhaite bonne chance.

Mira.

Je commence à trembler, les larmes commençaient à s’échapper sans que je ne puisse les retenir. Soudain j’entendis des murmures de parole, puis s’arrêtant instantanément, et c’est là où je vis une ombre s’approchant de moi, s’agenouillant, me menottant, et m’injectant une substance inconnue.

Quelque minute passa, je commençais à sentir ma tête lourde, mes paupières se fermant sans que je me puisse faire

Un sentiment étrange me fit sortir de mon sommeil, j’avais le sentiment que des files avaient pénétré mon corps.

J’ouvris difficilement les yeux. Lorsque ma vision fut normale, je pus m’apercevoir que j’étais enchaîné à une certaine machine qui d’après moi a dû vivre très longtemps.

Cette machine était non seulement rouillée, mais elle était aussi recouverte de sang.

La pièce où je me trouvais était sombre, ces murs étaient teints d’une certaine manière que l’on ne pouvait apercevoir une trace de bonheur, la machine était fabriquée d’une manière assez bizarre.

La machine était carrée, et à chaque bout est relier un cordon pour pouvoir attacher quelqu’un,

À côté d’elle, il y avait une sorte de lit d’opération qui, d’après son état, devait être rempli de bactéries.

Tic-tac

Je levai ma tête vers le responsable de ce bruit atroce, devant moi une horloge qui d’après l’heure qui affiche est, dérègle.

Soudain, le bruit d’une porte qui s’ouvrait fut entendu, puis j’aperçus la silhouette d’une femme.

Cette femme devait mesurer aux environ un mètres soixante-quinze, elle paraissait assez jeune peut être la trentaine, elle portait une jupe droite noire et un chemisier blanc et un blouson de scientifique.

La femme s’approcha de moi et me dit :

” Bonsoir, je m’appelle docteur miya, et je suis celle qui va décider si tu es assez endurant pour rentrer dans le CSF ” creation of slaves and fighters ». Le CSF est une organisation secrète malheureusement illégale.

Le CSF a deux missions bien spéciales,

La première : c’est de créer des humain parfait capable de non seulement se battre, mais aussi de tuer.

La deuxième : créer un humain capable d’exécuter tous ordres de son propriétaire.

Nous allons faire une série de tests dans une semaine pour déterminer si tu es prête à devenir l’une des notre. Des questions ? ”

Sous état de choc je ne savais quoi dire les seuls mots qui me sont venu à l’esprit sont :

« Pourquoi moi ? »

Le silence avait pris place. La femme qui était dos à moi se retourna et commença à ricaner.

-“Pourquoi toi” avait-elle répéter

– C’est assez simple dit-elle.

-“Cela fait bien longtemps que tu nous appartiens.

Tes parents avaient besoin d’argent, alors ils ont fait un compromis avec la bosse que tu vas raconter bientôt.

Le compromis était que dès ta naissance tes parents te laissent ici, mais malheureusement tes parents non pas respect le compromis et se sont enfuis loin d’ici pensant sûrement qu’ils pouvaient nous semer.

Mais il y a quelques années de cela, nous t’avons retrouvé, nous avons mis à disposition des espions pour garder un œil sur toi et ta famille.

Mais je vais te donner un conseil avant de pénétrer dans notre merveilleux établissement.

Oublie ta vie du passé, tu n’en n’auras pas besoin, ici ce que tu dois savoir c’est que tu as deux possibilités soit devenir une esclave ou une combattante ”

J’avais beug, je ne savais plus quoi dire : ” ses impossibles mes parents ne ferais jamais une telle chose leur propre fille” avais-je craché

Avant que la femme ne puis parler, les bruits de pas fur entendu, la porte commença à s’ouvrir

Et ses là ou mon cœur avait fait un bon dans ma poitrine

Trahison, voilà ce que je ressentis en les voyant.

C’est impossible, c’est un cauchemarde, dites-moi que ce n’est pas vrai

Les seuls mots pouvant sortir était :

« M… Mia, Alex, dites-moi que c’est une blague, ce n’est pas possible dites-moi que c’est une mauvaise blague, je ne veux pas y croire, pourquoi ? »

Alex s’approcha de moi avec un visage donc qui m’était inconnu, tandis que contrairement à lui Mia était en retraite elle avait l’air triste et désoler et me dit :

« Elisabeth. . . Elisabeth. tu es si naïve et idiote, tu as vraiment cru que quelqu’un voulait être ton ami, tu étais si énervante, que à chaque fois que je te parlais je devais faire un effort considérable pour ne pas te tuer, tu pensais vraiment que nous étions tes amis.

Si on ta protéger contre tes harceleurs, c’est parce que nous avions mission non seulement de de surveiller mais aussi de te garder on était pour que tu puisses on moins vivre quelque semaine.

Avant que quelqu’un ne se fasse choisir, nous l’observant, nous le testons, s’il est apte à devenir dès notre nous le prenons ; mais si non il n’est pas apte à le devenir, nous le prenons comme même et nous l’endurci avec des méthodes très spéciales. »

« Des méthodes très spéciale « avais-je répéter.

Il sourit et me dit :

« Oui ma chérie pas très spéciale ; et je peux te dire que toi tu fais partit des personnes que on va endurcir.

La méthode est assez simple, pour pouvoir faire nos recherche et expérience nous avons besoin d’argent, et c’est pour cela que à chaque début de printemps nous organisons une vente au en chers, mais pas une simple vente au en chère, une vente d’esclave, pour chaque personne achetons un esclave, un contrat de une années est conclue, après une années, le propriétaire peut l’acheter pour toujours ou comme il peut la rendre, lorsque l’esclave est rendus, il se fais emmener dans le bâtiment d’expériences, ou il seras victime de plusieurs horreur.

Mais il Ya les personnes qui se feront directement emmener vers le bâtiment d’expérience, et il y aura un autre groupe qui lui sera emmener vers la base d’entrainement pour devenir un de nos soldats.

Dites-toi que dès que tu t’es fait emmener, une nouvelle vie t’attends. »

Des questions ? me demanda-t-il

Avec les larmes aux yeux je rependis

« Pourquoi. . . Pourquoi faites-vous ça, pourquoi vendre des personnes comme s’ils n’avaient pas de famille, pourquoi les vendre comme de simple marchandise, Ain pourquoi

Par soif d’argent, ah bas non tu es extrêmement riche, par soif de pouvoir… non je ne pense pas, pour l’amour de dieux arrête de me regarde en souriant et repend à mes satane question, tu me dégoût, tu n’es qu’un sale connard qui ne se préoccuper pas des autres, je te jure qu’un jours les rôles s’inverseront et que tu me supplieras de d’épargne mais je ne le ferai pas, je te regarderais mourir doucement et douloureusement. » je finis ma phrase tous en lui crachant dessus

Il me regardait sans rien dire, ces yeux me lancèrent des éclairs, il se contente de me contourner puis me dit d’une voix froide et tranchante

« Un jour Elisabeth t’a langue et ton habitude à dire tous ce que tu penses te mèneras à ta perte, s’est pour ça que tu as besoin d’une bonne leçon, tu n’as en aucun cas le droit de me parler de cette manière, et jamais les rôles ne s’inverseront car ici je suis le maître et tu es l’esclave. » Il se tourna vers les deux filles devant nous « Mia, Aysa sortez tout de suite, je vais lui donner une leçon qu’elle ne va jamais oublier » avait-t-il ordonne, « Bien Monsieur » avait répondu les deux femmes

Les deux jeunes filles sortis

Alex s’approche de moi, me leva et me fit sortir. Cela fait quelque minute que nous marchons, soudain il s’arrêta devant une pièce et me fit entrer. La pièce était horrible, et c’est là où je vie des anciens moyens de torture comme une pièce pour « L’ÉBOUILLANTAGE » qui consiste à une torture très lente où la victime est plongée petit à petit, les pieds en premier, dans de l’huile, de l’eau ou de la cire portée à ébullition.

Lorsque j’ouvris les yeux j’étais dans le noir, je ne voyais rien du tout, je ressentais une immense douleur venant de mon dos, mes cheveux, mon visage, on pouvait remarquer des brulures de troisième degré.

J’avais extrêmement mal, mais pas physiquement, j’avais mal psychologiquement, serte je ressentais une douleur mais elle n’était rien comparais à la douleur psychologique. Mais je me disais : « j’avais mérité ça ». Depuis toute petite personne ne voulais s’approcher de moi à cause de mon apparence pas comme les autres, j’avais des yeux de deux couleurs différentes, j’étais maigres, je disais tous ce que je pense, que ce soit dans le bon cotes que dans le mauvais coter. En repensant a sa Les larmes recommencer a coulait le long de mes joues, endolorie.

Cela fait bien plus de 1 heure que je me remémore ce qui m’est arrivé, j’étais silencieuse, la seule chose à quoi je pense maintenant était la trahison de mes parents mais aussi celle de mes amis.

Je me sentais bête d’avoir cru en eux. Les larmes coulaient le long de mes joues, j’en déduis que mes yeux étaient rouges.

Esclave ? expérience ? combattante ?

Voilà ce que je me demande depuis tout à l’heure

J’entendis le bruit des talons, la porte s’ouvre et Alexandre apparaît à l’encadrement. Je ne voulais pas entendre parler de lui mais malheureusement Alexandre s’approche de moi et me dit : « alors tu as passé une bonne nuit, tu sais quoi je n’en ai rien à faire, les bosses veulent de voir pour voir si tu deviens un combattant ou une expérience »

Je me lève difficilement et le suit de loin, en arrivant à une sorte de salle remplie d’objets bizarres.

Il me demande de porter une sorte de blouse bleu, celle que tu trouves à l’hôpital, j’étais effrayer, terroriser juste à l’idée de devenir un vulgaire rat de laboratoire ou même à devenir une esclave, mais je ne voulais pas devenir une tueuse qui tue ou kidnappe des gens, pour les donnait à des personnes comme eux. Je décide d’arrêter de réfléchir et d’aller me changer dans une pièce qui était derrière moi, la pièce était peinte d’un blanc froid, des vêtements remplie de sangs se trouver parterre.

Après m’être changer, je partie m’asseoir contre le mur, les minutes passa j’entendis des personnes qui se faisait appelées, il y avait de tous : des adolescents qui leur âge varie de 11 ans à 17 ans, une fille qui devait avoir mon âge, elle avait les cheveux noirs, les yeux marrons, elle était assez musclée. La fille se retourna vers moi et je la reconnais c’était ma camarade de classe Laura, cette fille a l’apparence froide était en réalité une fille très sympathique, la voir ici me fait mal au cœur, elle me regarda d’un triste regard et mima « bonne chance », je lui souris doucement et lui répandit la même chose

Soudain a homme a la carrure assez imposante fis irruption dans la pièce me regarda puis dit : « c’est à ton tours. »

Je me levai avec une boule au ventre, toutes les personnes qui sont rentré ne sont pas revenues.

Des tonnes de questions vins à mon esprit, mais rapidement je décide de les mettre de cotes pour après. L’homme m’escorte dans une pièce noire, la pièce était carre, sans fenêtre, sans aucune issus de secours, un lit était disposé au milieu de la pièce, ce lit était relié à plusieurs fils, le lit était vieux et poussiéreux, l’odeur du moisit se ressentait, la pièce était humide.

L’homme me fit assoir sur le lit et commença à brancher les fils. Il me regarda et me dit :

« Alors le test est assez simple, nous allons t’injecter un sérum qui nous montrera si tu es une faite pour devenir une guerrière, une expérience ou une esclave. »

Je sentis ma paupière devenir lourde, et je sombre dans un noir effrayant, il n’y avait rien mis appart trois porte une rouge au milieu, une dorer a la gauche, et une blanche a la droite, je ne savais pas quelle porte choisir mais l’une d’entre elle m’appeler, c’était la porte dorer alors avec un immense courage je me dirigeai vers cette porte et je l’ouvris, une immense lumière en sortie, et c’est là ou une femme d’une couleur de peau différents me fis face, elle était grande, avec des cheveux rouges et des yeux de de couleur vert était magnifique, sa peau était bleue. Elle portait des vêtements tout déchirés, elle portait un pantalon noir épais, et avait l’air très résistant. Son haut était composé d’un pull noir et d’une armure rouge. Des protections était mises sur ses épaules et c’est genou. Cette femme portait un casque en métal mais on pouvait distinguées la couleur de ces cheveux.

La femme me sourit, puit dans un geste long, elle enlève son masque pour laisser place à un magnifique visage, on pouvait distinguées des blessures sur tous son visage, mais rien n’enlève son charme.

La femme s’approche vers moi, puis s’assoit et me fis signe de faire la même chose ce que je fais. Elle me regarde un instant puis report son attention sur la pièce. Le silence était pesant, personne ne parle elle regarde le vide tandis que moi avait très peur de parler, après quelques minutes gênantes, la femme décidée enfin de parler.

« Bonjour, je me présente je m’appelle Talia je suis l’esprit de la guerre et de la destruction, si tu es à mes côté aujourd’hui c’est que tu es une future guerrière, je tiens à te préciser que ce n’est pas facile que beaucoup de gens y ont passé que seules les personnes ayant une immense force mentale peuvent supporter cet entraînement, j’en ai vu des personnes, pensant être fort mentalement mais qu’au finale n’ont même pas tenus un mois, alors je te pose la question. Es-tu capable de survivre ? »

Je ne reprends pas, je repense à ma vie du passé, là où je ne penser a rien, là où mon quotidien était calme, ce temp là ou pour moi la pire des choses était les insultes et les moqueries. Ce temps-là me manque énormément.

Cette Talia ne m’inspire pas confiance, mais je ne laisse rien apparaitre, je la regarde, puis me décide à prendre la parole : « Pour être honnête avec vous, je ne sais pas, et je ne veux pas savoir je suis capable de tuer des personnes, mais je sais aussi que je ne veux pas être ni une esclave, ni une expérience. C’est pour cela que je vais me dépasser, je vais faire de mon mieux pour survivre dans cette prison horrible, mais je ferais tous ce qui est on mon possible pour ne tuer aucunes personnes. »

La femme me regarda et me sourit : « ils disent tous sa au début mais bon même si j’avais le choix je ne peux pas de changer de section. »

Je la regarde avec un air de défis et je lui dis : « je ne suis pas comme les autres je suis unique, donc ne t’inquiète pas je vais tenir ma parole. »

Mais ce que Éléonore ignorée c’est que la femme pouvait voir le futur des gens, elle la regarda tristement puis dit : « ça ne fait aucun doute que tu es unique, on verra ce que la vie fera de toi mon enfant sur ce je dois te laisser pas que ta compagnie me déplait et je dirais même que j’apprécie ta manière de parler et ton caractère, ton aura et différents des autres, je te souhaite bonne chance pour le futur en revoir ». Avant de dire quoique ce soit la guerrière était déjà parti, je souffle un coup, puis une immense douleur venant de mon avant-bras me fis tomber à genoux et en même pas une seconde, le noir.

Je me réveille avec la tête lourde, le bras douloureux, je relève avec douceur ma manche et là je vois… Un tatouage lion,

Le tatouage était noir, il était sur mon épaule, je l’effleure avec mes doigts.

Mon visage se tord de douleur, les brûlures sur mes jambes me faisait atrocement mal, je ferme les yeux, en priant pour que la douleur s’atténue, soudain un souvenir me vient à l’esprit.

Mon dieu combien mon frère et ma mère me manque…

                                                                                                                                     À suivre 

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