La tête dans les nuages, on ne voit pas le jour s’assombrir. Puis dans le noir, calme et paisible, les esprits s’agitent. Les pensées viennent quand on regarde les étoiles de la nuit. Face à ce calme imposant, on se rend enfin compte de toute ces étoiles qui brillent.
Cette amour aveuglant était sous pression. Elle était discrète mais marquante tout comme ces nuits de tempête. Encore et encore dans ma tête les images ne cessaient. Les mots se répétaient autant que les étoiles défilaient. De la pluie à l’orage par la fenêtre, rien ne s’achevait. Le brouillard envahissait. Allant de l’amour, à l’attachement puis à la haine, tout les détails s’éclaircissaient. Comment réagir ? Faut-il oublier? Je ne pense pas.
Les regrets nous courent après. Essayant sans arrêt de les semer et ne jamais y arriver, le temps les laissera couler. Les couleurs du printemps me réveille. La chaleur du soleil m’apaise. J’ai ralentis puis je me suis arrêtée. J’ai respiré un coup, les laissant me dépasser. Ainsi je peux à présent admirer ces lueurs rayonnantes qui éblouissent la vie, l’esprit libre.
Une pluie de métaphores, ce n’est pas un personnage mais une allégorie. Quel style, quel talent!
Pas mal.