Un enfant aux cheveux, aux yeux et à la peaux pale blanc comme la neige en hiver apparus un soir près d’une forée une rumeur disait qu’elle était hantée par des monstres horribles. L’enfant avança vers la ville la plus proche. Un garde l’interpelle et lui demande « Où sont tes parents ?
– Je ne sais pas
– Comment s’appelle-t-il ?
– Je ne suis pas à un interrogatoire, non ?
– Non, c’est vrai.
– Comment ça se fait que tu ne sache rien de tes parents ?
– C’est que je n’ais jamais eu le souvenir d’avoirs eu des parents un jours. C’est quoi des parents.
– Ce sont des personnes qui s’occupe de toi, qui élève, qui te nourrisse qui t’éduque.
– J’avait quelqu’un qui m’as élevé.
– Qui ça ? (L’enfant partit à tout vitesse le soldat le rattrapas mais il fut repoussé par un buisson qui n’était pourtant pas la l’instant d’avant. Mais il finit par le rattraper. Ils étaient dans la forêt.)
– Présente le moi
– Non, vous allez me prendre pour un fou
– Non
– Promis ?
– Promis sur mon honneur
– Les hommes n’en n’on pas, ils en ont dépourvu. Elle me la dit.
– Certain en sont dépourvu, mais d’autres en ont.
– Bon, venez. Dit-il en marchant
– Merci de ta confiance.
– Je vous ais donné le bénéfice du doute, je ne vous fais pas confiance quand même.
– Pourquoi me la présente tu ?
– Elle m’as dit de te faire venir.
– Comment-lui à t’elle dit pensas-t-il
– On arrive, c’est moi Nawel. Dit-il à l’arbre
– Ou est-il ?
– Je suis ici, dit l’esprit de l’arbre. Le soldat s’évanouis en criant.
– Qu’ils sont faibles ces humains.
– Non, c’est juste qu’ils n’ont pas l’habitue de me voir. Ils craignent tous ce qu’ils ne contrôlent pas, ou qu’ils ne connaissent pas et puis tu es un de ses humains, Nawel. Tous craignaient la forêt (à cause des cris que l’on entendait mais lui l’a considéré comme son meilleur ami comme son confident, il se protégeait mutuellement).
– Tu est si sage, ce que je sais ne représente qu’une goutte de immenses océans du savoir. – – Tu grandis si vite, tu es si intelligent, si sage, si ingénieux. Je suis fier de l’homme que tu deviens, Nawel. Maintenant amène le dans le lit.
– Oui, Hokana.
Le lendemain matin à 8h du matin
« Où suis-je ? (Il sortit et vus le gamin, il se remémoras la soirée d’hier).
– Elle veut te voir en personne, si tu es prêt, ne te force pas.
– Je suis prêt.
– Je t’amène auprès d’elle. (Ils marchèrent en silence jusqu’as qu’il lui demande)
– Tu ne veux pas vivre en villes plutôt que dans cette forêt avec ses monstres ?
– Non, il n’y a pas de monstre les cris, c’est seulement ceux qui tombe sur hokana.
– C’est qui hokana ?
– C’est l’arbre que tu as vu hier, tient on arrive.
– Bonjours, Nawel et mon visiteur qui s’appelle…
– Hew’elidun, je m’appelle Hew’elidun, Madame.
– Appelez-moi hokana, s’il vous plait.
– Si cela te fait plaisir, hokana.
– Nawel, tu nous laisse seul, s’il te plait ?
– Ok, Hokana.
– Pouvez l’emmenez en ville
– Ils refuseras de partir en ville, il vous aime trop pour vous quitter, il déteste trop les humains et il ne m’aime pas.
– Je le convaincrait mais promettez-moi de l’emmenez à la capitale c’est tout. Il pourra se débrouiller là-bas.
– Je le promet sur mon honneur et sur ma vie.
– Merci infiniment. »
4 heures plus tard
« Nawel, viens me voir.
– Ok, hokana.
– Nawel, tu dois aller en ville.
– Non ce sont des brutes sans cœur.
– La forêt est en danger, il y a des tensions à la frontière et cela veut dire la guerre, guerre qui auras besoins de bois en grande quantité. Va et prône la paix pour la forêt, pour moi.
– Mais et les alliances formées.
– Des hommes cupides vont les détruire et font se former et les nouvelles alliances vont se battre.
– Juste pour toi, et pour la forêt je le ferais.
– Merci, mon petit ange.
– Ok, j’y vais. »
Le lendemain, matin à 6h
Devant la forêt, des voix se font entendre. « T’est sûr que, c’est là n°6.
– Oui sûr et certain, mes sources sont sûre et fiable.
– Tu sait que notre employeur, vas nous tuer, si on échoue à cette mission. Elle est vitale pour son mener son projet à bien.
– Dans ce cas, on ne reviens pas à la base à moins qu’on réussisse, on pourrait tenter de s’allier à eux.
– Ce seras mieux que ce soit lui qui s’en occupe.
– Bonjours, je me suis perdus on est où ?
– La ville est par là-bas.
– Vous faîtes quoi près d’une forêt hantée ?
– Elle est hantée, par quoi ? On nous avait dit qu’il y as que des monstres.
– Il y a aussi des fantômes, des démons et des esprits maudits. En gros, une prison pour créature magique. Bon j’y vais vraiment, a plus.
– Il est qui pour savoir tout ça.
– Peut-être une personne qui se promenait.
– Bon, on y vas, il suffiras de faire gaffe à l’éviter.
– On vas aux centres de la forêt, on le coupe et on se barre. » (Ils se mirent à marcher doucement quand il vit le corps de son camarade à côté de lui) Il l’attaqua et celui-ci dit « Déjà démasquée, je pensait avoir été discret. Ah, je vois tu as vu le corps c’est ça.
– Euh, oui. Vous êtes qui ?
– Je suis ton père.
– Quoi, ce n’est pas vrai ?
–. Maintenant, on vas aux centres parler à une amie.
– Non, elle vas me tuer. (Le monstre vas me tuer pensa-t-il.)
– On t’as menti, elles ne vas pas te tuer (quelques minutes plus tard).
– Bonjour seigneur.
– Salut et ne m’appelle pas seigneur.
– Oui, seigneur.
– Qu’est-ce que je viens de te dire.
– Pardon, sire.
– Ils commencent à bouger.
– Oui, ils vont bientôt arriver.
– Il est prêt à partir ?
– Oui mais cela n’est il pas trop dangereux pour lui.
– Non, il s’est bien entraîner ?
– Oui, Tu veux lui parler. Nawel, il est là.
– J’arrive.
– Sa mère est-elle en vie ?
– Oui, malheureusement, elle a survécu. Elle est très dangereuse.
– Te voila, t’arrive enfin.
– Un génie.
– Je sait, je tient sans doute ça de mon père.
– Sans doute.
– Je doit donc aller à la ville principale.
– Oui, bon, on se reverras, à plus.
– À plus tonton. »
3 heures Plus tard
Alors que Hew’elidun, se leva, il vis Nawel s’avancer vers lui et dit « Tu part, quand ?
– Tu veux, vraiment venir ?
– Oui, bon, tu part quand ?
– Dans 3 heures, à Midi.
– Je serait prêt, à Midi.
– D’accord. »
3 heures Plus tard
À la bordure, de la forêt, Nawel, attend quand Hew’elidun apparait. « Tu en a mis du temps pour sortir.
– Elle est grande cette forêt.
– Bon, on y vas.
– Oui, on y vas.
– Allons y.
– Tu attend quoi ?
– Nos moyens de déplacement, d’ailleurs ils ne devraient pas tarder.
– C’est sure, comme moyens de déplacement ?
– Oui, c’est sure.
– Ne criez pas.
– C’est quoi, comme créature ?
– Ce sont des […]
– Ah, on s’en vas sur leurs dos du coup ?
– Oui, allons-y. »
2 jours plus tard
« On aperçoit une ville, il faut les abandonner. Ce serait mieux d’acheter des chevaux.
– Des brigands derrière toi, il faut atteindre la ville.
– On entre avec eux.
– Oui, on ne pourras pas atteindre la ville sans eux.
– Ok, mais ils ne vont pas bien réagir.
– Je les retient, vas y. Je te rejoindrait, plus tard.
– Non, tu vas mourir.
– Je ne suis pas aussi faible que j’en l’air.
– Non, tu n’est qu’un gosse.
– Et, toi tu n’est pas mon père.
– Et alors. – Tu ne me donne pas d’ordre.
– Non, je suis l’adulte et c’est moi qui décide.
– Vas te faire foutre. »