Entre les conceptions des humains et DIEU, le chemin de la vérité s’obstrue !?

On ne devrait pas utiliser d’articles par devant le nom ”DIEU”, ni de proposition (de) après, ou qui le succède. On devrait écrire DIEU au lieu de Dieu.

A-

Il ne devrait pas y avoir d’articles, parce que cela réduit sa dimension.

Par exemple :

1- Si l’on dit ”le DIEU d’Israël ; le DIEU de Jacob…”, cela sous-entend qu’il y en a d’autres. Or, il n’y en a qu’un.

Au lieu de cela, nous dirions plutôt DIEU de (l’humanité…) l’Univers.

2-C’est un DIEU tout-puissant. Cela détermine sa dimension, afin de le différencier. Or, dès lors que l’on fait une différence, cela sous-entend qu’il y a au moins une opposition. Un vs.

Au lieu de cela, nous dirions plutôt DIEU est tout-puissant. Ainsi, on marquera sa grandeur/dimension unique.

B-

Il ne devrait pas y avoir de proposition (de), parce que cela le réduit à un caractère possessif.

Par exemple :

1-”Le DIEU d’Israël”.

Cela sous-entend que ce DIEU appartient à l’Israël. C’est comme s’il y en a un qui lui est propre, alors qu’il est universel.

Nous dirions plutôt DIEU de l’Univers.

2-Si l’on admet qu’il peut y en avoir un pour une zone, un pays, une société, une nation… specifique, l’on admet là qu’il s’agit d’une conception sociétale ; d’une ramification de lui… ou autre chose… à qui l’on tente d’attribuer ce nom, en vue de l’imposer comme une panacée.

Mais en tout cas, je suis conscient que DIEU était, est et sera.

Nous sommes ses enfants, donc nous sommes le prolongement de la parole.

Nous sommes des ramifications de la vérité. Mais nous ne la sommes pas. En effet, elle va plus loin que nous. Elle est éternelle et immuable, mais nous autres, nous avons le choix de notre destin en grande partie, donc nous ne sommes pas éternels. Alors, si l’esprit l’est, le corps ne l’est pas.

Nous ne sommes pas non plus immuables, en effet nous sommes sujets à changer, avec le temps, et/ou l’espace.

Donc, aucun humain ne peut être DIEU. Nous sommes plutôt des missionnaires. Nous sommes venus et nous serons partis.

Cependant, nous n’avons pas tous le même niveau spirituel. Certains sont plus proches de la vérité que certains d’autres, en raison de leur-s croyance-s, leur-s conception-s, leurs actions.

Ceux qui ont un niveau plus élevé ne sera pas DIEU pour autant. Il occupera de nouvelles fonctions au plan divin ; soit en devenant des aides pour les autres ou des ponts…, afin de les aider à mieux subir les épreuves de la vie ; à apprendre de leurs erreurs, à grandir et évoluer à leurs tours, pour mieux vivre dans l’amour qui est la clé du bonheur de L’humanité, voire l’Univers.

C-

On devrait plutôt écrire Dieu, en grands caractères : ”DIEU” pour marquer sa grandeur et son unicité.

Si les humains qui font des lois… grammaticales ; orthographiques admettent qu’un nom d’une personne peut ou doit s’écrire en grand caractère, alors que la dimension de DIEU est au-delà de tous, alors on ne devrait pas écrire simplement Dieu. C’est un manque de respect pour lui, d’après moi ou un excès de pouvoir.

Les grammairiens, les orthographistes, les linguistes et autres professionnels concernés à cet effet, doivent se pencher sur ce point, afin de le remanier.

Comment attirer l’attention sur la grandeur d’un homme, en n’y prêtant pas sur celle de DIEU ?

Écrivons plutôt DIEU au lieu de Dieu.

En définitive, cessez de mettre des articles par devant le nom de DIEU. Non, plus n’utilisez pas de proposition ”de” pour le succéder, pour ne pas lui donner un caractère possessif. Sinon, vous allez réduire sa conception.

Écrivez plutôt DIEU au lieu de Dieu, pour marquer sa grandeur et son unicité, puisqu’il n’a pas de signature. Il est tout simplement DIEU. Toutes les autres dénominations sont conceptuelles.

Flonet SAINCYR

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