Aujourd’hui, nous en sommes là, le monde va mal. Cette pandémie existe depuis fort longtemps et n’a jamais cessé de sévir. J’ai 17 ans et comme parmi tant d’autres : je souffre. Si l’on m’avait dit que je finirai ainsi, allongée sur mon lit, l’estomac détruit. Ce virus est infâme ! Il semble innocent durant l’enfance, s’aggrave à l’adolescence, et les rescapés gardent les souvenirs des souffrances. C’est chez les adolescents que le plus de vie sont perdues. C’est le début de la vie, c’est le début de la maladie. Tout commence par ventre, puis le cerveau et enfin le cœur. La vie ne nous laisse pas le choix, elle nous montre les hauts et les bas. Seuls peu en sortent indemnes, rares sont ceux qui peuvent l’éviter. Ici, dans mon lit, mes larmes coulent à flots, mon cœur se brise. Enfant je n’ai rien vu, j’étais inconsciente, j’étais innocente. J’ai vu tant de fois ma mère pleurer, sans savoir ce qui la peinait. Petite les larmes finissaient par devenir un sourire, maintenant les larmes restent des larmes.
17 ans VS Virus
2 mins
Quand il est apparu, je ne m’en suis pas aperçue. Lorsque j’étais avec mon meilleur ami, il arrivait que parfois je ressente des maux de ventres. J’ai toujours cru que c’était la faim. Nous rions, nous étions ignorants et surtout heureux. On ne cessait de se chamailler, simplement on s’amusait, jusqu’au jour où mon cerveau fût atteint.
Je pensais sans cesse, m’énervais, riais… Je me suis mise à douter. J’ai réalisé des recherches:il existe plusieurs types. Il a toujours été présent dès l’enfance, celui est très connu. Le virus semble être très présent à Paris, c’est l’un des rares lieux qui semble le refléter le mieux . C’est comme si on le voyait, là-bas on y voit les nouveaux et aussi ceux qui sont les plus forts. Dès l’instant où j’ai compris, je me suis décidée. Tout mon monde s’est écroulé. Je ne resterai pas à attendre que la douleur me tue, je la tuerai en première. Je vais créer mes souvenirs, pour cela j’ai oublié ma famille, j’ai oublié les spectateurs de ma vie. Je me suis tût et j’ai continué à vivre. J’ai pris mon meilleur ami par la main, nous avons façonné nos jours heureux. Imprégnée dans mon nouveau monde, j’ai redécouvert mon ami, nous avons tellement souris, tellement ris… Avec lui, je me suis sentie rassurée, épaulé, et forte.
Maintenant tout est terminé, j’ai résisté ,mais mon cœur ne tenait plus. J’ai dû lui dire. J’étais tellement heureuse. J’étais à ses côtés, il était aux miens qu’importe ce qui allait arriver on n’imaginait pas une fin. Quand je lui ai dit , ses yeux se sont écarquillés puis finalement on s’est éloigné. Ma famille m’a dit c’est un mal pour un bien.
Aujourd’hui me voici allongée dans mon lit, la maladie est trop forte. Je suis atteinte, par le virus que l’on appelle l’amour.
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je m’excuse pour les fautes elles sont causées par ma dysorthographie.
Bonjour Marie,
Le Pen est pris en compte pour le concours !
Je n’ai pas vu arrivé la fin, j’ai beaucoup aimé bravo!!
Félicitations Marie pour cette seconde place au concours !
Ton Pen sera partagé sur la page Facebook WikiPen dans la semaine.
magnifique texte ! bravo . tellement touchant et intrigant. beaucoup d emotion en ressort…vraiment tres bien executer .