Mélopée
Mélopée tout les soirs,
La bougie s’endort avant moi,
Et quand j’attends, seule dans le noir,
Les larmes ne craignent pas la soie,
Les dames ne peignent pas la joie,
Lui ne daigne pas l’avoir.
Mais quand, s’ajoute le drame,
Séjournent les dames,
Vers ces jours malheureux,
Versets joués aux âmes,
Vers ces tardives heures, où ont coulé les larmes,
À sembler peureuse, elles n’ont plus peur des lames,
Le visage aux joues creuses après plusieurs lianes
Je sais qu’elles sont nombreuses dont le parfum s’émane,
Viens une teinte nébuleuse,
Oú une teinte s’éloigne,
Elle en est restée orgueilleuse,
Mais en a perdu la flamme.