Au fil du temps qui passe, des jours et des semaines au sein de notre vie personnelle, sociale et sportive comme dans le quotidien professionnel, nos décisions à prendre telle ou telle orientation est intimement et fortement lié à notre capacité d’anticipation.
Le but étend de comprendre et d’assimiler rapidement en amont ce que chaque individu pourrait attendre de nous, notre responsable, les membres de notre famille, l’état !
À l’heure actuelle, nos dirigeants politiques français ont manqué cruellement d’anticipation.
Avec des si, nous allons reconstruire le monde, certes. Mais si nous avions anticipé comme les Israéliens et les Coréens du Sud, nous n’en serions pas à écrire des articles sur ce que nous n’avons pas effectué assez tôt et sans (aucun) doute pas assez.
Nous allons devoir au plus vite colmater ces brèches causées par de grossières erreurs de nos gouvernants politiques français. On nous demande de nous mobiliser efficacement et rapidement contre cette épidémie en essayant de repérer et d’isoler une certaine population afin de la tester massivement avec des vaccins qui provoquent la défiance d’un bon nombre de Français sur sa véritable nécessité.
Des hypothèses ?
Pendant cette année 2022, nos hommes politiques devront choisir entre deux possibilités, soit ils accepteront leur propre faillite, ce qui entraînera inévitablement une dissolution et devront par conséquent passer sous la tutelle de l’Europe bien que cela soit déjà le cas, soit admettre la clochardisation générale de sa société.
La deuxième hypothèse du FREXIT pourrait-elle provoquer l’émergence d’une forme d’aristocratie différente de la pensée unique de la Macronie ?
À cause de ce manque cruel d’anticipation, nos responsables d’état nous ont mis face au mur. La France pourrais erre menacée de graves soulèvements de population en se déclenchant après la pandémie.
Est-ce qu’en lançant rapidement de grands projets pour compenser des faillites inévitables des entreprises qui aujourd’hui ressemblent à des zombies ne resteraient pas une utopie ?
Il est primordial pour préparer le futur et la sortie de cette crise de prévoir à condition de mieux superviser l’urgence.
Actuellement beaucoup d’entre nous doutent des stratégies du gouvernement. La définition des objectifs sont quelque peu obscure et laisses pantois certains secteurs professionnels comme les restaurateurs, par exemple.
Ils demandent plus que jamais une meilleure organisation une avec une structure plus évoluée,
L’anticipation est essentielle pour élaborer l’avenir et un dénouement de ces évènements sanitaires, car l’itinéraire sera long. Elle permet si elle est bien réalisée de gérer l’urgence efficacement.
Il faut pour cela bien comprendre la stratégie choisie, en établissant des missions plus claires.
Cette épidémie nous achemine vers de nouvelles expériences, des connaissances que nous devons partager.
À peine entré en l’an deux mille vingt et un que nous commençons déjà à nous projeter qu’aux années 2030.
Nous nous demandons évidemment dans quelle décennie nous nous dirigeons en nous imaginant en perspective sur des événements malheureusement inévitables.
Nous voyons au loin un tableau noirci, le chômage, la destruction des droits sociaux, d’autres pandémies, des soulèvements de populations peut-être…
Pouvons-nous avoir confiance en cet avenir proche ?
Devons-nous avoir une attitude plus perturbante, en cassant et rompant avec ce qui existe déjà dans l’économie française pour sortir de ces modèles classiques un peu lourds.
Est-il plus judicieux de se diriger vers des axes de santé publique et sur l’environnement.
Des idées sur cette vieille discipline qu’est la médecine devenue archaïque, parasitée par des monopoles et des lobbys que nos hommes politiques devront combattre et restructurer.
Pourrons-nous enfin lancer de grands projets qui auraient dû être anticipés en amont ?
Constatons qu’il aura fallu une pandémie pour prendre en compte et inventer dérogation et procédures pour s’apercevoir qu’il y a bel et bien une urgence.
À cause de la mondialisation, on a souhaité maintenir hors de l’eau les entreprises françaises en situation de naufrage.
N’aurions-nous pas pu faire différemment antérieurement pour aider ces entreprises françaises qui contribuent aux spécificités bien particulières de notre nation.
Manque de vision cruelle, de compétences parsemées d’amateurismes.
Alors est-ce qu’il est encore temps ?
Acceptons impérativement le transfère dans le broyeur de déchets, tout ce qui ne fonctionne plus.
Les journalistes qui dénoncent un an après ce manque de prédiction, démontrent au même titre qu’ils n’étaient pas dans le coup. C’était pourtant bien la crise qu’il fallait hélas, présager.
Les petits commerces comme les grandes entreprises vont prendre bon.
Le chômage va exploser, et les aumônes du gouvernement n’y changeront rien.
Certains débattent davantage sur les sujets de remboursement de la dette et des emprunts.
Et comment ferons-nous pour les payer ? Nos arrière-petits-enfants devront s’en acquitter et encore pendant combien de temps ?
Alors, allons-y, lançons de longs bla-bla, sur des programmes de réorientation des secteurs les plus touchés avec des restructurations, des formations professionnelles pour d’éventuels nouveaux métiers, sans omettre qu’il faille aussi trouver les financements.
L’anticipation de cette crise n’aurait peut-être pas suffi, car elle est associée à d’autres problèmes récurrents qui étranglent l’économie.
Contraint de reconnaître que ces décisions de restrictions renvoient un côté un peu tyrannique de la part de l’exécutif qui nous prive encore et encore de nos libertés d’aller et venir.
Sachant que personne à ce jour ne possède les bonnes clés pour enrayer ce virus.
Nous ne pouvons pas tout attendre de l’État et nous prendre en main ne serait-ce qu’en ayant une hygiène de vie satisfaisante , en se basant sur une nourriture saine, une activité sportive régulière qui engendre aussi une existence sociale épanouie.
La population n’est pas idiote, elle comprend parfaitement que cette prévision pour éviter l’aggravation de la crise économique et sanitaire reste en réalité assez complexe.
Les meilleurs pronostiqueurs politiques n’avaient pas escompté de tels événements si lourds de conséquences.
L’égoïsme et l’attitude de certains pays ont restitué cette anticipation encore plus compliquée, rendant le contexte pratiquement ingérable.
Il est donc difficile pour pallier à ces éventuelles crises de maîtriser correctement ces mêmes situations.
On pourrait comparer toutes ces interventions politiques d’un paradigme à un autre, à la métamorphose d’un têtard en grenouille.
Ces décisions sont pénibles et problématiques. Par concordance, on peut se demander quelle transformation nous aurions pu mener en termes de structure et de logique pour transfigurer profondément cet espace socio-économique.
Un têtard dans les entrailles d’une carpe ou plutôt une grenouille qui croasse l’obscurité tombée sur une feuille de nénuphar.
Alors, évitons de nous casser la tête avec des sophistications à vouloir radicalement modifier les événements. Rappelons-nous que la finalité de la mort du têtard n’est autre que de devenir une grenouille du soir, pour enchanter nos oreilles lors d’une chaude nuit d’été à contempler les étoiles …
Il ne faut pas regarder superficiellement l’économie et oublier des pans entiers de l’écologie et du social.
L’anticipation tous azimuts nous permettra de conjurer bien des catastrophes !
Les terres sibériennes se réchauffent et peuvent aussi libérer bactéries et virus endormis dans le pergélisol depuis des décennies.
Ainsi pourrait-on comprendre que le COVID-19 n’est qu’une mise en garde.
Je renchéris sur l’imminente crise financière qui nous menace.
Elle a déjà été déclenchée dans les pays dits fragiles.
Nous pouvons constater avec satisfaction une normalisation entre certains pays.
Pouvons-nous considérer comme une forme d’anticipation, ces partenariats dès lors créés, qui espérons-le, pourrait “booster” chacune de leur économie.
Certains pensent que nous n’aurions pas dû permettre à une élite de s’enrichir de manière éhontés, en croyant aux théories économiques du ruissellement, de Jupiter.
Si nos gouvernants n’avaient pas laissé les entreprises françaises s’installer en Chine et pour terminer, si tout simplement nos exécutifs avaient essuyé leur lorgnon pour mieux voir le jeu de la Chine et celui de l’OMS.
Pour autant nous pouvons parfaitement accepter cette nécessité d’anticiper sur des volets économiques et sociétaux qui d’ailleurs dépendent beaucoup du choix politique et stratégique de nos entreprises françaises. Cependant nous ne pourrions mettre au même niveau cette notion d’anticipation dans la sphère du privé.
Comment pourrions-nous faire correspondre les relations humaines, dans ce cadre, relationnel, sportif, ou dans d’autres interactions fraternelles, culturelles par exemple à un cahier des charges.
Les relations humaines chargées d’affects, fluctuantes, instinctives voir impulsives vont à l’encontre du postulat selon lequel vivre ce moment présent permettrait d’augmenter son niveau de sérénité.
Nous devons déduire de cette anticipation toute l’importance du juste sens vocationnel . Elles pourront prodiguer certaines activités professionnelles à la future reconstruction de l’ensemble de l’humanité . Elles donneront une deuxième chance à notre planète.
Delà, vous pouvez observer dans cette réalité, toute l’immensité du travail que nous pourrons accomplir dès demain.
Restituer une agriculture plus biologique en arrêtant de retourner les sols pour ne pas tuer toute la vie bactérienne et aérobique, en supprimant tout pesticide et fongicide en privilégiant la Permaculture.
Rendre plus accessible l’achat de voitures électriques pour passer de l’énergie fossile à l’énergie propre en fabriquant toutes sortes de gammes de voitures électriques.
L’homme doit croire à cette philosophie qui consiste à démocratiser les véhicules en épousant la nature plutôt que de la polluer.
Il ne s’agit pas uniquement de percevoir les futurs métiers qui se profilent, en termes de rémunération, mais aussi parallèlement en termes de contribution à la reconstruction de cette humanité qui s’enfonce dans le néant de l’autodestruction.
Alors, allons-y, lançons de longs anticipation, osons des programmes de réorientation dans des secteurs les plus touchés avec des restructurations, des formations professionnelles pour d’éventuels nouveaux métiers, sans omettre qu’il est contraint en outre trouver les financements.…
Pour s’adapter aux récentes exigences qui transformeront les chiffres du chômage, il conviendrait de mieux anticiper, c’est le mot-clé de cet article.
L’État n’a pas cette clé, il ne peut qu’accompagner les entreprises qui souhaitent fortement ouvrir cette porte.
Le gouvernement n’a pas su se préparer, il a préféré rester sous l’arbre en attendant de voir si l’orage épidémique allait s’éloigner, ils ont choisi le risque d’être foudroyés par cet orage contagieux. Il n’a pas su prévoir !
Et justement, la relance du pays doit passer par l’anticipation.
Si l’État n’est pas capable de prévoir correctement, les projets de demain, il faut en changer.
Les médias de par leur connivence n’ont pas su réorienter leur message dans la bonne direction, ils ont préféré se complaire dans des anecdotes et faire le buzz sur les plateaux en insultant de grands professeurs, des épistémologistes, infectiologues reconnus mondialement.
La dernière vague sera celle de l’insolvabilité de nos dettes toutes confondues.
Nous ne pourrons plus “subventionner” ce capitalisme irresponsable.
Les goujons n’ont malheureusement jamais mangé les brochets.
L’addiction morbide des financiers coûtera très cher au milieu ouvrier.
La fin de cette pandémie ne semble pas pour demain, vu la dextérité d’hommes politiques qui nous gouvernent actuellement, leur mollesse pour trouver des solutions de bricoleur.
Est-ce que nous pourrions donner plus notre confiance aux élus locaux qui sont confrontés aux réalités du terrain et qui ont peut-être plus la capacité d’agir promptement, contrairement à nos dirigeants complètement déconnectés des existences de la vie des ouvriers de tous horizons.