-Débrouillé vous comme vous voulez mais j’ai besoin que ces chiffres baisses coute que coute!
Le ministre de l’intérieur Franck De-la-rue ne peut contenir sa colère face à sont interlocuteur qui ce trouve être l’un des principaux commissaire d’Ille de France. Le ministère de l’intérieur était sens cesse animée lorsque le premier flics de France commandait depuis sont siège à L’hôtel de Beauvau.
– Hé bien donnaient leur un avertissement et relâchaient les, comme ça ils ne rentreront pas dans les statistiques et on pourra annoncer à la presse que la délinquance est en baisse.
– Monsieur le ministre ?
Lui lance une femme blonde qui vient de franchir la porte de son bureau. Elle eu pour réponse un signe de la main du ministre qui lui fit comprendre qu’elle devait patienter
– Bon on c’est bien compris ? Très bien , bonne journée commissaire.
Il raccrocha puis jeta un regard suspicieux à l’inconnue qui venais de rentrer dans son bureaux.
– Vous êtes qui vous?
– Monsieur le ministre je me prénomme Lucrèce Money et je me présente à vous sous votre demande et votre sélection d’un nouveau conseillers.
– Ha oui c’est vous et bien je vais avoir l’occasion de tester vos compétences en communication, voyez vous j’ai une conférence de presse demain et il me faut un discours d’une heure sur la délinquance dans les rues avant demain 10h.
– Il est n’est donc point de rumeur abusive quand au mépris que vous portée à ceux qui vous servent d’aide pour vous exprimer si vous confiez une tache relevant de votre image au près de ce pay à quelqu’un que vous êtes sensé jauger.
Surpris par la réponse aussi rapide que bien formulé de sont interlocutrice le ministre rétorque.
– Heu…C’est vrai qu’il m’arrive de m’énerver sur mes conseillers… mais bon je n’ai pas à me justifier, si vous ne voulez pas de ce travaille vous pouvez partir.
Lucrèce s’approcha du bureau que n’avais pas quitter le ministre jusqu’à ce que sa tête ne sois qu’à quelque centimètres de la sienne.
– Ces mots ne sont jamais sortie de ma bouche. Je voulais simplement m’assurer que mon aisance à la parole puisse vous être pleinement bénéfique monsieur le ministre.
– Et bien action alors, je ne tolérait aucun retard.
Répond t-il d’une voix hésitante mais qui ce voulais stricte.
– Le discours sera près demain et touchera en profondeur le Coeur de votre audience , je peux vous en certifié le fait . Sur ce à demain monsieur le ministre.
Lucrèce pris la direction de la porte. Mais s’arrêta nette lorsque Franck lui demanda.
– Dite moi vous parlé tout le temps comme ça?
– Temps que ma langue et mon goitre me permettront d’exprimer les pensées de mon âme, oui . Puis-je laisser cette pièces éxante de ma présence monsieur le ministre ?
– Oui oui allez y .
Elle ferma la porte laissant Franck seul dans sont bureaux.
– Drôle de personnages.
Il trouvait le ton et le manque de modestie de sa nouvelle conseillère irritant et ses formalités presque angoissantes. Cependant la facilité quelle avait à s’exprimer et la justesse dont elle fesait preuve avait quelque chose de fascinant .
Absorbé par ses pensées le ministre de l’intérieur eu un léger sursaut lorsque son téléphone portable sonna. Il vue que c’était ça femme, décrocha et à peine après avoir dit allô elle lui décocha .
– Me dit pas que ta oublier !
– De quoi es que tu parle ?
– j’en été sure ta oublier !
– Mais quoi ?
– Y a rien de spécial demain?
Franck , Irrité par le ton de sa femme commença à monter le sien.
– Écoute Patricia la je suis occupée donc soit tu t’explique tout de suite sois je raccroche.
– Les 21 ans de ta fille !
Il ce blotti dans le fond de son fauteuil et pose sa main gauche sur son front.
– Ho non, j’ai oublié d’aller chercher son cadeau.
– Heureusement j’avais prévu le coup, demain elle part en ville avec ses amis de la fac de droit , y doivent la retenir jusqu’à ce qu’on est fini de préparer la maison pour sa fête d’anniversaire, ça te laissera le temps d’aller récupérer sont cadeaux.
– Ha tu es la meilleure je m’en occuperais demain sans faute.
– Essaye de ne pas oublier ta fille pour une fois.