Hier, aujourd’hui ne sont jamais pareils,
Chaque jour est pourtant ton soleil.
Pour des raisons qui te fuient,
Tu n’es pas dans toujours dans cette harmonie.
Tu es sans pareil,
Tu ne le sais pas,
Tu regrettes souvent,
Tu sais que tu apprends.
Travail et loisirs ne sont pas pour toi identiques
Chacun t’offre sa part de musique
Les paroles du chant
Te paraissent être parents.
Tu es sans pareil,
Tu ne le sais pas,
Tu regrette souvent,
Tu sais que tu apprends.
Des relations à l’isolement,
Tu paraît toujours puissant.
Tu joue dans la prudence,
Tu accepte cette fréquence.
Tu es sans pareil,
Tu ne le sais pas,
Tu regrettes souvent,
Tu sais que tu apprends.
Tu prends congé,
La réunion s’en est acquittée;
Tu risques décevoir,
Tu n’as aucune peur de le percevoir.
Tu es sans pareil,
Tu ne le sais pas,
Tu regrettes souvent,
Tu sais que tu apprends.
Tu sais pourquoi,
Tu en fait ton émoi,
Tu insiste sur ta tranquillité,
Tu surprends sans en être déchiré.
Tu es sans pareil,
Tu ne le sais pas,
Tu regrettes souvent,
Tu sais que tu apprends.
Affronter la terreur des autres,
Agite en toi leur retour en hôtes;
Il n’y a plus à combattre,
La glaive est jetée dans l’âtre.
Tu es sans pareil,
Tu ne le sais pas,
Tu regrettes souvent,
Tu sais que tu apprends.
La beauté de tes yeux,
Illumine désormais le milieu;
Tu lui confits sa part qui le comble,
De ses mœurs qui ne seront plus dans l’ombre.
Tu es sans pareil,
Tu ne le sais pas,
Tu regrettes souvent,
Tu sais que tu apprends.
Tu as créé un autre monde,
Regarde le paysage rempli de colombes;
Tu assures que la surprise
Devient le modèle de joie, l’hymne de cette terre promise.
Tu es sans pareil,
Tu ne le sais pas,
Tu regrettes souvent,
Tu sais que tu apprends.