C’est l’histoire d’une petite fille.
Elle s’appelait Maulde
Elle était le dernier enfant de sa famille
Elle est arrivée un matin, dès l’aube.
De petite taille, elle était appelée petite
Les membres avaient un prénom
Le sien elle en avait fait son plébiscite
Elle s’accordait en somme une opinion.
Sa taille physique devait s’élever
Malgré le temps de son agrandissement
Qui, de toutes façons en était freinée
Puisqu’elle subissait cet état de ses parents.
Elle s’éloignait vers la forêt
Elle y trouvait son encyclopédie
Elle expliquait ce qu’elle comprenait
Elle en prenait le temps, elle avait appris.
Elle était écoutée
Elle animait les journées
Elle vivait le temps avec des oiseaux,
Les arbres, le ruisseau.
Elle apprenait en jouant
Ses exercices même les plus difficiles, étaient amusants.
La nature était son enseignant.
Cet enseignement faisait création de son mouvement.
Elle aimait taquiner
S’était pour elle de s’affirmer.
Elle confirmait qu’elle était un vrai ennemi
Elle décidait que cet état était un défi.
L’affaire était prise au sérieux
L’attaquant devenait furieux
Avec elle, la guerre n’était pas gagnée
Elle s’arrangeait dans la preuve de la réalité.
Elle avait une grande mémoire
Elle attendait le moment opportun de la rappeler
Elle jouait sur les mots
Elle en faisait son épée de maux.
Lorsque la nature participe à ta voie
La raison te rend la bonne foi.
Il n’est plus possible de te rendre faible
Elle te donne puisque tu lui rends une aide.
Cette dernière est simple, facile.
Tu dois recueillir le moindre regard,
L’écoute de son chant qui devient ton sujet qui se faufile
Sur son odeur qui n’en fera que l’onde de ta part.
Ecoute toujours la voix
Que tu reçois
Elle protège ton moi
Elle diffuse une énergie qui valorise ton émoi.