Je sais…
Je sais que libre de moi tu es, libre de nos échanges libérés.
Je sais…
Et pourtant, je ne suis pas un érudit, mais je pense à toi comme tel.
Je sais…
Mais demain me rattrape et l’appel à composer encore, libre, intimement pour toi.
Je sais…
Si j’y parviens, demain je vais composer des œuvres digne et peut-être encore sans fin, qu’importe !
Je le ferais, c’est tout ce que je sais…
Ma belle Violette a demain, maintenant que tu sais…
C’est beau.
Jolie déclaration, je ne connais aucun "érudit" sachant parler avec le cœur.
Ce que veut l’érudit c’est qu’on l’écoute et qu’on l’admire. Heureusement ils ne sont pas tous méprisants.