Au commencement, il y avait une plage, immense, où les oyats frissonnaient dans les dunes dorées, où les mouettes survolaient nos terrains de jeux, où les châteaux étaient pétris de promesses. La mer y scintille de mille reflets d’azur sur un horizon calme, bien loin de l’agitation de mon esprit. Mes pas s’y inscrivent dans le sable et la peine au fond de mon cœur. Mais la douceur de la brise d’été, les cris des enfants qui résonnent et ta main dans la mienne sont comme un trésor qui réchauffe.
Nous marcherons et le temps filera ainsi entre nos doigts, il effacera nos traces et finira peut-être par estomper mon vague à l’âme. Le temps, comme seul remède aux blessures qui semblent ne jamais vouloir guérir vraiment.
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Très beau et malgré tout un peu triste.
Pour le mail c’est chose faite. Merci pour la proposition. Au plaisir de te lire.
Merci. C’est exactement le ressenti que j’espérais pour ce texte. Je l’ai écrit il y a 3 ans déjà (le temps passe vite) jour pour jour .