Vous voulez voir ce qu’il se trouve sous mon ciboulot?
Rien. Du fer solide et quelques fils.
Et sous mes muscles?
Oubliés les os,
Rien que cette fonte lourde et indestructible.
Je respire comme le moteur d’une voiture en plein hiver rude.
Mon cœur est mort.
Je ne sens rien, juste un trou immense.
Qui suis- je?
Un engin, un robot,
Érigée pour vivre,
Seulement j’ignore le sens même de ce terme.
Ah ! BrAvo !
Merci beaucoup!! 🙂
Félicitations Eden,
Votre Pen est pris en compte pour le concours !
#sansLeA
Merci!! C’est super!!
Cool 😉
Merci @bambam 🙂
Incroyable j’ai adoré : )
J’adore le rythme mécanique de ton poème !
@Thomas Rollinni Merci beaucoup ! 🙂