Il est gentil et tellement beau quand il est calme. Après de longues minutes à crier, j’ai enfin réussi à le calmer. J’ai tout fait, je lui ai caressé les cheveux, je l’ai embrassé, je lui ai donné le sein, rien. Maintenant, il est dans mes bras et je repense à ma réaction quand il a critiqué mon poids. Malgré mes séances de psy, c’est toujours un sujet sensible. Je reconnais que ma décision n’est pas la plus appropriée, un couteau dans l’œil peut paraitre excessif mais je me suis excusée et je me suis occupée de lui. J’ai finalement réussi à le calmer, il suffisait que j’appuie plus fort sur le manche du couteau. J’aime l’avoir dans mes bras, je le laisse dormir mais je commence à avoir faim. Je vais lui préparer des pâtes pour lui faire plaisir et … non … des haricots, je dois surveiller mon poids.
Un problème de poids
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