1945, l’enfer des âmes perdues

6 mins

5h45. Je me réveille difficilement auprès de mes camarades de front.

Ce matin nous, 105eme régiment; devons franchir les lignes de défense ennemies. Matthew Perry, mon compagnon durant cette tragique bataille m’accompagne. Il fait si froid, nous n’avons rien manger depuis des jours. Le colonel Montbrisson vient inspecter nos rangs. Qui conque n’est pas dans son rang est immédiatement envoyé en ‘éclaireur ‘, ils savent très bien qu’ils seront morts dès qu’ils auront posé le pied en dehors de nos défenses. Les Bosh sont bien mieux équipés et organisés. Ils sont bien nourri, bien traité. Nous prions de toutes nos forces pour nous en sortir. Seuls les plus braves survivent. Tel sont les mots de réconfort de notre cher colonel. Matthew et moi sommes envoyé dans le premier groupe, au nord. Une vingtaine de soldats nous entourent. _’lieutenant Lafargue ‘, s’écria le colonel Montbrisson. _’ Il me semble que vous êtes l’un des meilleurs selon les oui dire de vos chers supérieurs. Ici nous sommes une autre armée. Bienvenue en Angleterre avec moi mister. Veillez sur vos hommes et ne renoncer jamais quoi qu’il arrive. Exécution.’ ordona le colonel  Le lieutenant Lafargue se réveille de son sommeil. Il s’approcha de sa femme. Il portait une chemise bleue d’un ton assez clair, un pantalon en toile bleu pétrole et des chaussures noires. Il était châtain aux yeux marrons vert. Il n’était pas petit ni grand 170cm. _Tu te rappelle ma chérie, le jour de notre rencontre ?’ demanda le soldat _Je t’ai trouvé presque mort dans cette forêt, je t’ai amené et t’ai soigné. Depuis ce jour, tu ne plus jamais quitté et tu m’as toujours protégée et sauvé la vie. Je me rappelle que quand tu étais guéri, je t’ai dit. Continua la femme du lieutenant  _emmène moi avec toi, je te suivrai où tu iras. Termina Mr Lafargue  _je t’aime. Dit Zoé  Le couple s’assyea autour de la table de la salle à manger. _ tu parlais dans ton rêve: dit Zoé les yeux ébahis devant son mari. Mr Lafargue repris donc l’histoire là où il s’était arrêté. Sur les ordres du colonel Montbrisson, mon équipe partie en direction du Nord. Vers des montagnes perdues entre la France et l’Allemagne. Nous avons réussi à nous cacher des soldats ennemis, a chaque pas nous entendions les bruits terrorisant des Allemands. Nous avancions prudemment, nos cœurs battant la chamade. Chaque instant était crucial, chaque pas était un pas de plus vers la victoire ou la mort. Matthew et moi étions silencieux, nos regards se croisaient parfois, reflétant la détermination et la peur qui nous habitaient tous les deux. Le paysage était désolé, ravagé par les combats incessants. Les arbres déracinés se dressaient tels des spectres lugubres, témoins muets de notre marche vers l’inconnu. La neige nous caressait le visage, glaciale et impitoyable. Mais nous étions habitués à cette rudesse, à cette réalité effroyable qui nous entourait depuis trop longtemps. C’était notre quotidien, celui qui nous faisait grandir plus vite que ne le permet l’enfance. Soudain, nous fûmes interrompus par des tirs nourris. Les balles sifflaient autour de nous, créant un bruit assourdissant qui résonnait dans nos têtes déjà éprouvées par les horreurs de la guerre. Nous nous jetâmes au sol, cherchant instinctivement un abri, un refuge. Les grenades explosaient à quelques mètres de nous, projetant des éclats meurtriers dans toutes les directions. « Tenez bon ! » criais-je, espérant que mes mots porteraient un peu de courage à mes camarades désemparés. Nous nous regroupâmes derrière un amas de rochers, priant pour que leur protection soit suffisante. Je sentais mon cœur battre la chamade dans ma poitrine, tandis que des sueurs froides perlaient sur mon front. Les visages crispés de mes camarades reflétaient la peur qui montait en nous.

 

La fumée des combats nous enveloppait, obscurcissant notre vision. Nous étions au cœur d’une bataille acharnée, un combat dont l’issue semblait incertaine. Les tirs ennemis continuaient, frappant lourdement notre position. Les morts jonchaient le sol, témoins silencieux de la cruauté de la guerre.

 

Mais au milieu de ce chaos, nous ressentions une détermination farouche. Nous avions été entraînés pour ça, pour lutter contre l’oppression et défendre notre liberté. Nous étions prêts à tout donner pour notre patrie, pour nos frères d’armes qui se tenaient à nos côtés.

 

Soudain, nous entendîmes un cri retentissant. Un de nos camarades était touché, blessé par une balle ennemie. La panique s’empara de nous. Nous étions impuissants, pris au piège dans cet enfer sur terre. Mais dans l’adversité, l’unité se forgea. Un à un, nous nous relayions pour prendre soin de notre camarade blessé, lui apportant les premiers secours dans la mesure du possible.

 

Les minutes semblaient des heures, et chaque seconde était un combat pour notre survie. Nous résistions, nous tenant debout malgré les épreuves qui s’abattaient sur nous. La solidarité nous animait, nous donnant la force de continuer à avancer, à repousser l’ennemi. Nous nous battions pour notre honneur, pour notre pays.

 

Au bout d’une lutte acharnée, les troupes ennemis commençaient à vaciller, à perdre du terrain. Notre détermination avait porté ses fruits. Nous pouvions enfin entrevoir la lueur de la victoire.

Malheureusement, ce n’était pas encore terminé. Nos forces étaient épuisées, notre armée décimée. Il était clair qu’il nous fallait un plan audacieux pour renverser définitivement la situation. C’est alors que notre chef, le général Perez, prit la parole. Il exposa sa stratégie, un plan risqué mais potentiellement décisif. Nous devions nous infiltrer derrière les lignes ennemies, semer le chaos et les désorganiser. Ce serait une opération de nuit, dans l’obscurité la plus totale. Il faudrait faire preuve d’une extrême prudence et d’une précision chirurgicale. Nous acceptâmes, conscients que c’était notre dernière chance. Pendant des jours et des nuits, nous nous entraînâmes à la discrétion et à la rapidité. Le moment arriva enfin, et nous partîmes à l’assaut de l’ennemi dans l’obscurité totale. Grâce à notre expertise et à notre esprit d’équipe, nous nous frayâmes un chemin à travers leurs lignes de défense. Chaque pas était calculé, chaque mouvement minutieusement exécuté. Nos cœurs battaient la chamade, conscients du danger constant qui nous entourait. Alors que nous nous infiltrions dans leur camp, nous sabotions leurs installations, détruisant leurs armes et leurs provisions. La confusion régnait parmi les soldats ennemis, incapables de comprendre d’où provenait cette attaque subite. Pendant plusieurs heures le base défensive a été bombardée par les forces aériennes.

Et puis, il est arrivé, le grand leader des soldats ennemis ‘le fureur’, sinistre personnage, audacieux et méprisant tous ses contradictoires.

Le général Perez ordonna de bâtir en retraite. Nos troupes étaient moins nombreuses et moins puissantes fasse aux renforts envoyé par Hitler.

Mais le colonel Montbrisson ne l’entendit pas de cette façon.

Il s’approcha de notre brave général et lui teint ce discours : _” Je vous trouve bien craintif pour un général, votre décision est un affront à la France !

J’en informerai votre état major croyais moi général.

Vous autres avec moi”

Le général resta sans voix.

Il ne put rien empêcher.

Les avions ennemis nous bombardés, pire nous n’avions plus d’avions et presque plus de munitions.

Mes hommes semblaient perdus, le regard vide, ils semblaient déjà morts.

Tous embrassèrent une photo de leur proches.

Avant d’être violemment bombardé par les obus.

Le général m’avait chargé de mener les troupes à l’abris.

Je décida de retourner le secourir ainsi que le colonel.

J’ai chargé Matthew de veiller sur les hommes survivants.

Des coups de fusils de partout, des avions survenus de nul part. On aurait dit des mouches. Soudain, j’aperçus le général fasse au colonel allemand.

Il était près a tirer. J’ai tiré mais mes boshs m’ont repéré et je me suis endormi.

Par mon action, le général était sain et sauf.

Le colonel était fait prisonnier. Matthew et les autres sont morts.

Les allemands ne les ont pas épargné.

On raconte par des habitants proches de leur fusillade, qu’ils ont étaient piégés, on a retrouvé Matthew égorgé vif.

Il n’y a aucune mort facile à la guerre.

J’ai retrouvé un mot dans sa poche en me disant que j’étais son frère et que je veille sur sa femme Martha.

A mon réveil, j’aperçus une jeune femme, très belle.

Une infirmière de fortune, réfugiée dans un monastère.

Elle s’appelait Zoé, de magnifiques cheveux blonds châtain, des yeux noisettes. Une belle taille de 165cm.

Elle avait un sourire radieux.

J’avais du mal à ouvrir les yeux, mais je ne pouvais plus les fermer, de peur de perdre cette incroyable femme.

Je passa quatres jours sans pouvoir parler ni me lever. Au cinquième jour, j’ai essayé de m’échapper.

Zoé me retrouva couché sur le sol, plein de sang.

_” cher Monsieur, la patience n’est donc pas votre fort. Je comprends que vous vouliez sortir mais pas encore. Vous avez besoin de guérir.”

Nous parlions du bon temps d’avant guerre. Une guerre que nos parents ont vécu.

Zoé était une femme très intelligente, elle a étudié la médecine.

Si je n’étais pas soldat, je serai cuisinier, mon métier d’amour.

Hélas !

Plus les jours passés, plus je me rapprochait de Zoé.

Nous avions bien échangé, dansé…

Un jour, elle me dit comprendre que j’étais libre.

Elle me prit la main et Me supplia de l’emmener avec moi.

Je l’ai convaincu que c’était trop dangereux.

Nous échangions un baisers.

Cette dernière nuit, fut extraordinaire.

Je lui ai promis de l’épouser a mon retour.

Mais dès l’aube, le Monastère était envahi par les allemands.

Je prie mon armé et me batti.

Zoé fut finalement autorisée à m’accompagner pour sa sécurité.

Un tire toucha la jambe de Zoé.

N’ayant pas les compétences médicales, je la fit examiner par le toubib de campagne.

Je la laissa sous sa protection.

Un dernier baisers en guise d’au revoir.

Nous échangions tous les jours Zoé et moi.

Tandis que je poursuivais mes missions de résistance.

L’arrivée du général de Gaulle fut un réel bonheur.

Nous nous battions pour une cause juste.

Je fut chargé d’escorter le 125e régiment américain.

Les soldats de la US army avaient fier allure.

A la fin de la guerre, je retrouvais ma femme , et mes amis Charles et John Deere. Ces deux frères de la US army avec nous partagions tant d’histoires de cette guerre.

Repose en paix Matthew, ton ami Lafargue.

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