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Très heureux d’avoir de tes nouvelles !
Oui, il faut y croire ! Parce que sinon, la vie est trop triste, n’est-ce pas ? Et puis, quand on a bien intégré le fonctionnement des manipulateurs, ça ne prend que quelques rencontres pour les détecter. Chantage émotif, contrôle, tout ça se pointe rapidement. Un premier signal est quand ils te disent « Tu es… ma princesse, une femme extraordinaire, etc… » au lieu de dire « Je ressens ceci ou cela »
C’est le fameux « Tu es…» qui me sonne une cloche. Parce que les réseaux sociaux, c’est leur terrain de chasse, on s’entend…
J’ai lu le chapitre « L’Ange noir, Le père Ronce » et je le trouve très intéressant. Il y a une montée en tension, une menace bien concrète et une décision qui nous laisse sur un « cliffhanger » (une chute avec un suspense).
Donc c’est très bon. J’aime ton style dramatique. Je crois que si tu as un plan pour les prochains chapitre, il y a un peu d’espace pour ajouter un p’tit 200 mots question de planter des morceaux devant être utilisés plus tard, mais sinon, je trouve que ce chapitre est excellent !
Je viens de modifier le texte : Au lieu de parler des Évangélistes, le texte désigne maintenant les Évangélistes-de-la-Réalité. (École de la réalité)
Les gourous de cette secte sont Della et Michaël: Aucune personne n’est née au Québec avec ce prénom (jamais). La racine latine signifie Della-Délirium-Passion extrême. Pour ce qui est de Michaël, le gourou principal, il a ajouté le tréma sur son prénom angélique vers 2016 à ce que je vois.En fait, le fragment a été retravaillé afin de lui donner la saveur et la couleur de l’histoire, mais je trouvais qu’il s’emboitait parfaitement :
Ainsi lors d’un souper, l’ex-être aimée m’a harponné de cette façon (je te rappelle qu’elle est psychologue) :
— Il faudrait qu’on se voit pour parler de ta mère.
— Quoi ? Mais…
— Tu as l’air d’un p’tit garçon qui s’est fait disputer par sa maman.
etc…
Tu imagines? Se faire balancer une telle question au milieu d’un souper, totalement pris par surprise, par une tenante de la secte « L’École de la réalité ? »
Et lorsqu’hier nous nous sommes rencontrés pour fermer les livres de façon convenable (à ma demande), cette petite éminence de l’ostéoporose est arrivée vêtu en noir de la tête aux pieds. Je lui demande si elle estime qu’elle me doit des excuses et elle me répond « Je n’ai pas à m’excuser parce que tu ne parles jamais de toi, alors je n’ai aucun moyen de savoir ce qui va te blesser ou non. »Ouf !
Je voudrais relire ton chapitre, mais je ne le trouve plus ! Peut-être si tu entrais dedans et faisais un changement, genre insérer un espace vide et sauvegarder, ça le propulserait en haut. Idéalement donner un titre aux documents que tu partages, car il y en a quelques uns qui portent le nom de « document sans titre » , et je ne m’y retrouve plus lol.
Merci !Ah ! Au fait, j’ai ajouté un fragment dans le chapitre 1 suite à ma dernière rencontre avec l’être aimée, qui ne l’est plus depuis ce matin. Nous avons rompu bons amis, mais je suis resté estomaqué par sa réponse, et alors j’ai inventé un fragment qui s’insère magnifiquement dans le texte, ce fragment dit essentiellement ce qu’elle m’a raconté. En deux mots, je trouvais qu’elle m’avait offensé, et je lui demandais si elle n’avait pas quelques regrets. Elle m’a répondu un truc qui s’approche du fragment inséré, celui sur « le coup d’épaule » Voir chapitre 1.
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@MaryGrimoire#9759 Salut ! Je viens de lire ton premier chapitre. J adore ! On y voit Mary exactement comme elle est. Pas prise au sérieux , moquée, qui ne comprend rien à l âme alors qu elle en a les clefs et qui persiste à essayer de convaincre des êtres qui sont bien loin d imaginer la réalité.Alors là tu fais ma journée ! J’ai bêché sur ce texte jusqu’à le détester ! Une chance que tu es là ! Ce petit projet est finalement un projet assez gros… je pensai qu’un 30,000 mots était plus facile qu’un 80,000… niet tavaritch !
J’y ai rencontré les même défis… avec la difficulté de couper sur le nombre de mots en plus ! Pfiou !Ouf ! Je vais bien ! La belle personne que j’ai rencontré se bute malheureusement à des défis personnels : Une rechute de sa longue COVID, une dépression, des problèmes d’adaptation après avoir vécu quelques années au sein d’un culte, quelques problèmes de santé physique, enfin, nous verrons où cela nous mènera. Hehe 😜
Bien ! J’ai enfin un premier chapitre qui ne me déplaît pas trop. Il me faut maintenant attaquer le second chapitre, car le premier ne se boîte pas dans l’action. …mais je crois que je vais attendre et poursuivre l’avancement du récit.
De ton côté Maryse, n’hésite pas à diverger de la trame que je trace. J’imagine que ça doit être démotivant d’avoir a toujours regarder sur ce que l’autre a fait. La motivation vient du fait que nous exprimons une part de nous mêmes dans nos personnage, alors quand on à cette contrainte, j’imagine que ça ne doit pas être facile.
Ceci dit, si tu as le temps de passer par le chapitre 1, j’apprécierais tes commentaires !
J’espère que ton retour au travail se passe bien !
🙂 Jytha, tu as bien raison. Il pourrait être intéressant de faire un fil séparé si nous souhaitons aller de l’avant, puisque deux ensembles de règles sur un même fil peut créer la confusion pour des joueurs qui se pointent comme ça.
Pour ma part, avec la rentrée de septembre (entendre le temps froid), je vais donc me concentrer sur « Le Corps ». Je souhaite reprendre ce récit mis en pause. Des lectures récentes me donnent envie de reprendre certains chapitres de ce truc qui n’aura été qu’un prototype de quelque chose de plus étoffé et qui me reste à écrire. Je fonce donc vers la sortie dans l’espoir de faire une finale qui soit au moins captivante. D’ici quelques semaines donc, je devrais produire une nouvelle version des chapitres 1 à 3 ( que je n’aimais pas) et finir le patatruc avec
@MaryGrimoire qui m’appuie de ses encouragements et de sa co-écriture de l’ange noir. J’aurais donc un peu moins de temps à passer à notre petit jeu. Mais, il n’est pas impossible que je repasse de temps à autre🙂 Après tout, c’est quand même agréable de se mettre au neutre et de jouer avec les mots !Ceci dit, j’aime bien vous lire, alors continuons de nous encourager mutuellement à produire des histoires ! J’adore notre secte !
(Question : une secte qui n’en est pas une, ça s’appelle “une” insecte, c’est ça ?
