Cette fois c’était la bonne. Il en était sûr, c’est aujourd’hui que ses supplices seraient fini. Enfin il accéderait à la paix. Aujourd’hui son suicide ne serait pas raté. Il descendit la rue Grand Plan et s’arrêta devant l’armurerie. Il entra dedans, et dans une scène surréaliste il vit 3 hommes entrer en courant et en criant, tout en noir, cagoules sur la tête.
–“Que tout le monde garde son calme !”
L’homme derrière le compteur était nerveux. Dans un élan de courage, il avança de 3 pas, mais n’appuya pas sur le bouton d’alerte secours
En une fraction de seconde un des malfrats lui braquait une arme sur le front. Il enleva la sécurité, et chargea l’arme.
–“Ne tirez pas ! Je suis envoyé par Julio, moi aussi”
Une odeur d’escrement et d’urine se fit ressentir, il suffisait de savoir ce qu’il y avait derrière le comptoir pour comprendre pourquoi.. J’osais bouger de deux centimètres lorsqu’à mon tour je compris en voyant..