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, le il y a 2 années et 12 mois.
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La colère :
À toi qui est néfaste à celui qui s’attache
Excusé que tu pensais être de pouvoir faire le bon pour toi, sans te préoccuper alors de celui qui te croit, je te conchie.
J’expulse hors de moi, tous les stratagèmes auxquels tu crois, et derrière lesquels tu te caches, pour faire main mise sur l’amour de l’autre et aspirer tout ce que tu peux. L’humain est bon ne t’en déplaise, c’est à ton contact, quand il voit le monstre que tu lui as caché, qu’il devient vil.
À toi qui m’a regardé éponger ta peine et insuffler le bon, je te méprise.
À toi à qui j’ai partagé les êtres les plus chers, je te renie et je m’appliquerai à définir tes vices, pour expliquer ton absence.
À toi qui a retrouvé toute ta vigueur en puisant dans la force de mon empathie je te repousse à jamais.
À toi qui m’a manipulé et qui n’a pas dénié avouer tes péchés j’attends de la vie qu’elle n’omette pas de planifier la chute que tu mérites.
À toi qui me regardant dans les yeux et t’appliquant à chanter mes louanges, entends que plus rien ne sera cru.
Retourne te cacher de moi aussi longtemps que ta vie et garde en mémoire profondément que de tout mon être, je te déteste. Apprends que rien n’aura changé pour moi, en moi, en dehors de ce que tu représentes à présent. Applique toi à chercher les monstres de ton espèce et vois, s’ils peuvent te blesser, comme tu blesses.
Que ton déclic soit ton déclin.
Que la lecture de ce texte ne t’apporte aucun répit et qu’elle efface tous les mots qui n’aurait jamais dû être écris pour toi.
Que chaque contact sur ma peau soit oublié. Que chaque mot prononcé soit oublié. Que mon silence t’abîme. Que mon absence te déchire. Que ton sourire s’efface et que ta honte te noie.
Adieu.
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