- Ce sujet contient 24 réponses, 7 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
, le il y a 3 années et 1 mois.
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Salut^^
Pas beaucoup de passage, c’est certain (en tout cas c’est ce qu’il me semble) : sans doute plus de lecteurs que d’écrivains ?
En tout cas, j’espère que je ne suis pas trop visé par « les nouveaux arrivants qui plaquent du béton, juste pour poser une dalle » : je suis nul en bricolage. Alors couler une dalle, imagine le désastre !Bonne journée à toi !
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L’amour vache et sado-maso ça existe.Mais on a le droit de ne pas aimer le fouet, les menottes et l’humiliation.
Sans tomber dans la complaisance, moi quand je n’aime pas, je ne dis rien, je n’aime pas et ça ne va pas plus loin.
Il y a une grande différence entre “je n’aime pas”et “c’est nul”.
L’important n’est-il pas d’écrire? Aucun d’entre nous n’est éditeur que je sache. -
l’écriture est un exutoire pour certains, et pour savoir écrire il fais lire et écrire Un peu le même principe que la cuisine On ne nait pas chef, on le deviens Ici,et la peut-être y a-t-il des personnes émotionnellement fragiles, qui se sentent nul et on trouver une “p’tit truc” qui leurs fait du bien
Je ne sais pas, qui a qu’elle place ici, et qu’elle ai la dynamique, comme je l’ai dis
Je ne suis pas venu ici pour “chercher des problèmes”, je préfère échanger et comprendre… Peut-être maladroitement, mais l’intention est la même. -
Débattre et tentez de comprendre la dureté de certains, ce n’est pas chercher des problèmes.
Vous avez ce courage de vous investir dans une cause (perdue?), à laquelle vous pourriez mettre en fin en cliquant sur “quitter ce site, ce mouroir, cette daube, ce piège, etc.”.
Et pourtant vous restez, c’est en cela que vous êtes quelqu’un de bien (comme dans la chanson d’Enzo Enzo, pour introduire une citation ultra culturelle😁). -
Je n’aime pas ^^ j’arrive a rester objectif, parce qu’au-delà des mots, du style et de l’orthographe, il reste encore de la place
C’est nul ^^ là je suis subjectif, parce qu’il a le style, les mots et l’orthographe, il ne reste plus de place pour l’idéece qui se conçoit bien, s’énonce clairement
le problème de l’écriture, c’est que tout le monde conçoit, je parle de l’idée, après ^^ pour pouvoir la poser il faut certains outils, c’est le plus difficile, et encore je ne dis rien sur certains qui croient que des mots alignés veulent dire quelque chose, j’ai eu la vague impression, ce qui m’a fait m’éloigner, que des tapoteurs de clavier croient qu’il suffit de poser pour se croire écrivain de leur journal intime, il doit rester ainsi des pensées de vrac ^^ les réfugiés de Wattpad par exemple ( mais tout n’est pas mauvais sur ce site) ^^ donc le mot exutoire, mieux vaut rester chez soi, cachez moi donc ce texte que je ne saurais voir ^^. Ceux qui lisent un petit peu, ce que j’ose espérer, devraient savoir comprendre qu’ils écrivent comme mon pied, le gauche pour être précis, le fait d’être diplomate par ce que l’on ose pas ce n’est aider personne. -
Il se peut que l’on dise le fond de notre pensée avec diplomatie, ce qui à mes yeux est une gageure difficile, parfois on manque de tact mais l’essentiel c’est que de n’importe quelle façon que la critique soit faite elle permet d’avancer et bien sur avec du discernement. Les caractères des uns ne sont pas ceux des autres alors on met un mouchoir par-dessus son amour propre faché et on essaye de connaître les autres même si on en a pas toujours envie et puis il s’agit là d’un débat que je trouve intérressant “qui a tort ou a raison dans la manière de dire son ressenti dans son traitement de caractère”
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Molière, bravo Monsieur. Certains romans à succès, même dans la sphère ultra sélective de ce qu’on nomme la vraie littérature (pardon ici, mais j’ai lu tout Houellebecq, et je ne comprends pas qu’on ait pu le mettre dans une liste après Zola ou Flaubert). Ça nous renvoie à impressionnisme et au salon des indépendants.
Et d’où vient l’expression “les poètes maudits? .
Auriez-vous la bonté, Monseigneur, d’ouvrir une discussion explicite en 2 colonnes: qui sont les maçons, qui sont les Flauberts?
Qund on est dans la provocation extrême, il fautassumer jusqu’au bout. -
Houellebcq ^^ justement sous ma table, je lis, j’ai lu, son ressenti du moment, j’approuve, mais pas pour l’écriture, bien qu’elle coule ^^ certains petits détails que je n’aime pas chez lui, mais je lis, comme ça je peux en parler.
Les auteurs du passé ^^ justement du passé, l’ambiance d’un certain temps qu’on juge aujourd’hui, mais à lire néanmoins, ils ont fait le même métier ou loisir ^^ poser des mots à lire.
Ce qui est des poètes maudits, c’est une appellation d’un temps qu’on ne connait pas, plutôt des marginaux qui ne connaissaient pas Facebook, faut il être maudit pour écrire des vers ^^ Verlaine était maudit, simplement en avance, comme les textes qu’on écrit de nos jours, dans cent ans certains seront maudits, parce que trop en avance ( Kerouac en fait partie dans une certaine mesure) ^^, ne surtout oublier qu à une certaine époque, se droguer et ou boire, il n’y pas d’exutoires comme FB, il y a très peu de papiers et sans l’instantané ^^, personne ne pouvait s’aligner , le papier se vend mal, mais tout le monde sait écrire ^^, culture électronique, jugements de période actuelle, c’est cela que je conteste.
On a le droit de tout dire maintenant, faut il laisser proliférer ceux confondent ce site avec les pages déplorables de leur journal intime ? -
Merci vraiment, je suis heureux de pouvoir échanger avec vous. J’ai apprécié vos remarques, tout ne se vaut pas certes, encore faut-il savoir quels sont les canons imposés. Les poètes maudits et censurés à leur époque sont devenus des Dieux. Certains journaux intimes deviennent de grandes œuvres Et même si ce n’est pas le cas, peu importe.C’est le propre de la démocratie, que l’on croit installée à jamais, que chacun exprime ses bonheurs, frustrations, ses velléités plus ou moins maladroites. Autant demander la nationalité turque, chinoise, russe et autres, pas besoin de dire “barrez-vous”, à moins de s’adresser à des cadavres.
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Justement, période instantanée ^^ tout à lire, trop à lire, je ne parle pas de canons de mitraille comme on parle de beauté ^^ j’en reviens à Houellebecq, il décrit un moment qu’il ressent ^^ on va dire politique/polémique, j’ai lu ça quelque part.
Je ne dirais pas de Dieux pour certains écrivains ou poètes, il faut se remémorer et juger de leur temps, il n’y avait rien d’autre, peu de gens savaient lire, il ne reste que le meilleur.
Je réitère un fait, un site d’écriture n’est pas un défouloir ou un journal intime, il faut certains outils, mais le minimum, hormis un correcteur quelquefois, est d’une nullité sans nom, la prochaine fois que j’ai bobo au doigt je vais décrire mon mal, et je serais écrivain ou tout au moins auteur, tapoteur de clavier ^^, je ne suis que cela également ^^ mais avec un peu plus de jugeote, je tente de voir au-delà de mon nombril, quoique ^^ je dérape quelquefois.
Je réitère ” barrez-vous”, j’en reviens au début, tout à lire trop à lire, certains devraient comprendre, marre d’être diplomate, s’ils savent faire du béton, métier noble s’il en est, à force d’être patient, on laisse tout passer, mais je sais faire du béton également ^^ et je n’ai jamais dit que je savais écrire, j’ai un bon correcteur d’orthographe, mais je me soigne tout seul au niveau des bobos. -
Pour ma part, je pense qu’il existe deux genres de personnes qui postent leurs écrits sur ce forum :
– ceux qui ressentent non seulement le besoin ou l’envie d’écrire, mais également l’envie ou le besoin de partager leurs écrits ;
– ceux qui ressentent non seulement le besoin ou l’envie d’écrire, mais également le besoin irrépréssible d’être lus.Je pense que les premiers sont une majorité : on écrit pour soi, mais aussi pour partager nos écrits et faire vivre les histoires que nous avons écrites au travers de l’imaginaire des autres. C’est là la supériorité de la littérature sur le cinéma : on propose une histoire au lecteur, mais on ne lui impose pas d’images. Nos lecteurs ont bien assez d’imagination pour façonner les leurs.
Les seconds ont certes leurs propres motivations pour écrire, comme tout un chacun, mais sont davantage dans la performance, le chiffre, la quantité. Ce n’est pas mon cas, et j’ai, par ma modeste connaissance du monde de l’édition, tendance à penser qu’on ne peut avoir
_en même temps_ la qualité et la quantité. Mais ce n’est pas une règle absolue : citons Flaubert, Balzac, Zola ou encore Hugo, dont les bibliographies kilométriques sont la preuve flagrante qu’à chaque règle il existe une exception.En gros, ce qui compte le plus, c’est de conserver une certaine forme de
**bienveillance** . On peut ne pas aimer un texte — ou un aspect d’un texte — sans être obligé de souligner dans un commentaire volontairement désobligeant la nullité de l’auteur. Après tout, tous les goûts sont dans la nature. On est en droit de ne pas aimer un texte, un style, une histoire ou un auteur : je citais Balzac, et si je lui reconnais un talent incontestable, il n’est pas, et de loin, mon auteur favori.
Pour faire simple, on peut critiquer (dans le sens analytique du terme) quelqu’un sur ce qu’il FAIT (texte décousu, histoire peu ou pas intéressante, grammaire, orthographe, et j’en passe…) mais il faut toujours prendre garde à ne pas le juger pour ce qu’il EST. Dire qu’on n’aime pas un texte, ou qu’il n’est pas abouti, oui. Dire qu’un écrivain (précision sémantique : les écrivains écrivent des romans ou des nouvelles — on les appelle aussi respectivement romanciers ou nouvellistes — les auteurs écrivent des chansons, les poètes de la poésie) est mauvais, non.Plus qu’une question de bienveillance, c’est tout simplement une question de bon sens qui se résume à une double question : serions-nous capables de faire mieux, et si oui accepterions-nous qu’on nous critique plutôt que nos écrits ?
#CQFD
Prenez soin de vous !
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Évidement tout le monde est libre d’aimer ou de ne pas aimer.
Et ça ne veut pas dire qu’on aimera pas le prochain texte ou chapitre. C’est comme partout.
Après c’est vrai que certaine critique ou avis peuvent vexer. Mais n’oublions pas une chose, même si nous sommes là pour écrire et tenter de faire passer des émotions.. Il est très souvent vrai que ce que l’on écrit est mal interpréter.
Personne n’est parfait.
Et ce que l’on peut lire et prendre pour de vantardise, un style hautain et sarcastique, pour d’autre ça ne sera que bienveillant et de bon conseils.Le mieux c’est de relire ce qui nous a un peu vexé avec une autre voix et intonation.
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