- Ce sujet contient 21 réponses, 11 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
, le il y a 4 années et 7 mois.
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Chacun est différent et chacun sa méthode mais j’aimerais connaitre vos petits rituels pour vous préparer a écrire ou quand vous avez finis votre oeuvre. Avez-vous des superstitions? des portes-bonheur? des lieux fétiches?
Pour ma part, je me mets un casque sur les oreilles, playlist plutôt rythmée ou parfois je tourne en boucle sur une chanson, tout dépend de l’ambiance que je souhaite pour mon texte. Et vous c’est quoi votre truc? -
je me questionne en te lisant ^^ je n’y ai jamais vraiment pensé ^^ un des rituels que j’ai ^^ je suis en train de l’effectuer actuellement ^^ je ne veux pas écrire ^^ je me force a me promener sur les pages d’internet, je n’allume pas la télé, pour ainsi dire jamais, pas ou peu de musique mais avec le casque, et ce que je vais faire après, je joue en ligne sur des mmorpg ^^ mon rituel serait plutôt l’inverse ^^ donc, pas vraiment si j’écris, ce serait plutôt l’inverse, pouvoir ne pas écrire, car si j’ouvre un bloc notes, ou mon traitement de texte, ils sont juste derrière cette page ^
^, j’ai des idées qui tournent en boucle et veulent se poser, alors de guerre lasse, je m’y met, je vérifie que j’ai assez de tabac, le silence complet et je commence et termine toujours dans la foulée. -
Je mets de la musique,suivant mon humeur et l’ambiance de mes mots, ce peut-être du hard rock, de la musique classique, tzigane, des voix de divas, du jazz, etc., du moment que les paroles ne soient pas en français. Donc, musique et nourriture, j’adore manger et j’ai besoin d’avoir des munitions.
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Pour l’écriture de « Vies croisées à contretemps » : Chopin, Rachmaninov et Mascagni m’ont accompagné. Pour « Strapontins » c’est du Jazz. Sinon ma fidèle et grande accompagnatrice s’appelle : procrastination ! Comme à l’instant même. J’écris en touriste, comme pour la lecture. Je ne suis ni une machine à écrire ni une machine à lire. D’ailleurs, j’ai commencé à lire très tard et à écrivailloner encore bien plus tard.
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Personnellement, quand j’écris des histoires, les idées me viennent comme ça. Plus souvent après des spectacles (de rues, de danse, humour…) ou parfois même de mes cours et les paroles des gens qui l’entour. J’ai le plus souvent une longue période (a mon échelle journalière) avant de pouvoir écrire, ce qui me laisse le temps de tout construire, bien comme il faut avant d’étaler le tout sur papier.
Pour ce qui est du journalisme, c’est aussi ce qui décante de l’événement. Après la musique m’aide (souvant associer à des Amv ou des Gmv, court metrage avec musique courant sur YouTube) se sont un peu mes pense-betes pour les émotions que je cherche à faire ressentir.
Merci d’avoir pousser et repondu à cette question je l’ai trouvé très intéressante
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@EloKeva#304 j’aime beaucoup écrire en musique aussi mais avec des instrumentaux, du classique par exemple ou des chansons que je connais par coeur et qui ne demandent pas trop d’attention. Depuis peu, je prends un carnet par nouvelle en cours d’écriture. je n’écris plus du tout sur des feuilles volantes mais sur carnets reliés, lignés ou pas 🙂 -
Moi, j écrit beaucoup sur mon vécu,
Les idées me viennent souvent, d une odeur, un bruit,une musique un paysage ou un visage.quelque chose qui me rappelle un souvenir.
J écris des choses assez sombres et c est dans ce répertoire que je suis le plus à l aise. Ce n est pas bien mais certaines substances m aident à me laisser aller, cela exacerbe mon côté mélancolique et me rend plus spontané dans mes écrits.
Je cherche à recréer l émotivité,
Il m arrive de pleurer ou rire aux éclats en écrivant. Je peux crée intérieurement un personnage, c est un peu schizophrène…je change de personnage intérieurement. -
@Laurent2909#882 Je lis très peu aussi, je rejoint le sentiment d’avoir peur d’être parasitée. Tout peut m’inspirer un reportage à la télé, une chanson, une scène vue dans la rue, je cherche le sujet brut et je le façonne sur papier ensuite. -
@taiko#876 Je me sens moi même de plus en plus à l’aise dans des récit parfois un peu sombres, au début j’avais du mal a me détacher de mon héroïne, mais maintenant je découvre que le fait de créer un personnage me permet de nouvelles facettes de personnalité et de comprendre certains comportements qui me sont diamétralement opposés. -
@EloKeva#894 personnellement, le coté sombre dans l écriture et pour moi plus facile.
d ailleurs en général, n arrivons nous pas à exprimer les choses négatives plus facilement que celles positives?
quand on est bien, a l aise, naturellement, on est plus dans un esprit de béatitude, dans l instant présent.
on ne se pose pas vraiment de questions, on profite de l instant.
Après c ‘est peut être mon problème à moi, pas pessimiste non! mais une difficulté à verbaliser, poser les choses plus optimistes. finalement, je trouve que les auteurs, froids torturés, , me touchent plus… c ‘est peut etre idiot mais c’est mon ressenti. -
@taiko#900 Ce n’est pas bizarre, çà fait miroir chez toi, tu te reconnais en eux.
Et tu as raison le cerveau par défaut pense de façon négative c’est une technique de survie, mais la bonne nouvelle c’est qu’en l’entrainant un peu (Citer 5 choses positives dans ta journée avant de t’endormir), tu verras que tu penseras positif plus facilement.😉 -
@Laurent2909#911 bonjour laurent, je ne pense pas que ce soit une attirance,comme le dit elokova, c’est une forme de miroir, une manière instinctive de survie. donc une facilité quelque part dans la créativité.
Par expérience en faisant lire les quelques petites choses à mon entourage, les textes plutôt noirs, tristes, retiennent plus leur attention que des textes parlant d amour et de bien être.
je me gratte la tète a essayer d écrire des choses colorés,optimistes… mais cela ne fonctionne pas, cela n accroche pas.
c est dommage car je suis plutot optimiste, idéaliste. quelque part c ‘est frustrant. mais j y arriverai!😁 -
@EloKeva#936 possible ou pas ^^ j’ai aimé lire Houellebecq, mais comme un refoulement j’ai la drôle d’impression qu’il mélange du sexe par petites touches dans ses écrits, possible un coté prude, mais je n’aime pas du tout ^^ j’ai dû lire certains échanges de Sand ^^ une lettre m’a suffit, et pourtant j’utilise dans la vie un langage pas châtié … Faudra que je consulte ^^ mon psychiatre va avoir du boulot ^^ -
J’ai plusieurs rituels pour écrire : la musique, le format et l’ambiance. Pour la musique, cela dépend évidemment de ce que je veux raconter et pour Ravages, j’écoute des musiques d’ambiance, sombre, instrumentales, longues. Les morceaux sont angoissants, voire anxiogènes et tout cela m’inspire beaucoup. Etant donné que je vis dans un immeuble où l’on entend absolument tout, il est difficile de s’isoler c’est pourquoi j’utilise un casque anti-bruit pour ma musique. L’effet est garanti, je me sens dans cet univers. J’ai besoin également de m’écarter de mon portable et toutes les nuisances habituelles car si je commence à voir chaque notification, je ne serai pas concentré donc out le téléphone. Après, pour le format, j’ai une préférence pour un premier jet au stylo dans un carnet. Il me permet de prendre des notes, de corriger une première fois, de faire des plans avant de recopier au pc sous la forme d’un second jet.
Ça peut paraître bête mais il me faut ma bouteille d’eau pour écrire. Je suis incapable de cracher le moindre mot si je ne peux pas boire. J’aime aussi le café mais j’évite de grignoter. Ayant arrêté de fumer il y a quelques années, la cigarette ne m’accompagne plus et pourtant elle était ma priorité dans mes réflexions. Comme quoi, nos rituels peuvent aussi changer…
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