Une famille détruite

Bonjour, je me nomme Coralie et je suis en maternelle. Je me réveille sans cadran, car j’ai une journée pédagogique aujourd’hui. 

    Je vais rejoindre ma mère dans la cuisine. 

– Bon matin ma chérie! Tu as fait de beaux rêves?

Je salue ma mère en retour et je lui explique que j’ai rêvé que j’ai retrouvée mon père.

– Oh, ma chouette. Oublie ton père, tu veux? 

– Pourquoi il a quitté la maison?, demandais-je. Est-ce de ma faute?

– Non Coralie. Papa ne savait même pas que j’étais enceinte lorsqu’il est parti. Moi même, je ne savais pas que tu étais à l’intérieur de moi.

– Pourquoi il a quitté la maison alors?

– On a fait une grosse chicane. Mais je ne me rappelle plus pourquoi, dit ma mère. Bon, je dois aller au travail. S’il y a de quoi, va voir les voisins. Je l’ai ai averti que tu pourrais le rendre visite. Et que fais-tu si tu es en danger?

– J’appelle la police? 

– Oui, c’est exact. Bon, bonne journée.

Maman quitte la maison, pressée. Je saute immédiatement de joie! Je suis seule! Je peux faire de quoi quand je veux et ou je veux. 

    Je m’amuse énormément. Je joue à la dînette et j’invite mon amie Chloé. 

    Un peu plus tard, le téléphone sonne. Mon amie prend vite l’appareil et me le tend. 

– Bonjour?, dit je.

– Salut. Ici un policier, je peux parler à ton père?

– Mon… mon père? Mon père est parti de chez moi… et il n’est plus jamais revenu…

– Oh, je suis désolé de te dire ça petite, mais ta mère a eu un grave accident d’auto.

– Quoi?! Est-ce qu’elle va mieux?

– Elle… elle est morte.

Coralie commence à pleurer au téléphone. Chloé, elle, est à la salle de bains. 

– Est-ce qu’il y a quelqu’un qui peut prendre ta garde?, demande le policier.

– Tous les membres de ma famille sont mort… 

– Désolé petite… Mais nous devons t’amener à l’orphelinat. Nous venons te chercher. Quel est ton adresse?

– 708 rue Arable…

– Nous arrivons petite.

Coralie raccroche le téléphone en larme. Chloé sort de la salle de bains et voit son amie en grosse larme.

– Ça va Coralie? Pourquoi pleurs-tu?, demande Chloé. 

ÉCRIT MOI UNE SUITE POUR MON HISTOIRE DANS LES COMMENTAIRES. EH OUI, C’EST À TOI D’INVENTER TA PROPRE FIN! JE FERRAIS UN PLAISIR DE LES LIRE.