Dans la capitale de Bohicon.
La source de mine flavescente inépuisable, se fessais pilée dans l’idée de la puiser jusqu’à la dernière poussière flavescente. Ces pileurs de ressource naturelle d’une peau très rare dans mon pays avaient à l’idée de nous ruinez jusqu’aux dernières ressources. Moi en esprit me demandais le pourquoi de mon apparition. Me toucher et sentir ma peau sous la paume de ma main alors me rendis compte de la réalité. Ces personnes de couleurs étrangère dans mon pays, vomissais des paroles sans grande réflexion, l’on ce serait cru être au cinéma ou le tout ce résume juste a des interprétations. Aux premières écoutes, c’était l’idée de nous priver de toute vie heureuse ; Et selon eux, la bonne méthode pour y parvenir était de nous convertir et de s’approprier toute la ressource disponible sous notre terre. A l’écoute de tout cela je me rendis face a ces simple prétendant et proclama : « mon pays n’est pas le vôtre et vous n’êtes en aucun cas maître de notre destin; si on mérite une vie heureuse ou pas, les mots ne vous reviennent en aucun cas. Ce qui est à nous est à nous, et nul déplacer na autorité dans mon État ». Promptement, je me suis rendue compte qu’il y avait des briques de billets à mon chevet, et la pièce où je me trouve dominais de race étrangère, vite une délibération qui n’as durée quelque seconde clarifier par mes axones arrivais à la conclusion de la facilité de corrompre nos sensé de Bohicon à qui on n’avait confié la gestion des bien de notre Béni Bohicon. Je frappai les briques de billets comme un ballon de football qui se retrouva au pied de l’étranger.
D’une lumière blanchâtre coruscante, me retrouver dans un habit étrange d’un guerrier de mon peuple. Tout mon corps dégageait une exhalaison floral. Une lance argentée infrangible en main et un bouclier argenté infrangible couvert d’améthyste. L’affrontement dura des nuits.
Après trois cent soixante nuits, j’éloignai ironiquement ces étrangers des ressources de mon pays. Renvoya les étrangers à l’étranger. Je fus le héros de mon peuple, toute une nation me glorifiais pour mon courage et ma bravoure, chantais mon nom, je me sentir au cœur de mon pays.
Soudainement j’aperçois mes jambes tout mouiller a l’impression de tremper dans une flaque d’eau ; d’un sursaut je me rendis compte que tout mon corps trempait dans une flache d’eau, c’est ma maison vêtue a demi portion de toiture qui succombais a une inondation. Agiter dans l’eau à chercher un moyen de sauver un certain nombre de vivre ; lointain entendis mon nom capturer dans une bonifié voix, se rapprochant de plus en plus m’appela et déclara cette suite de phrase « tu seras en retard pour la remise des diplômes ». Promptement, Je tressailli d’une respiration plus rapide que l’habituelle suivis de sueur, et me rendis compte que tout est un rêve.
Bienvenue Farel,
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Wow, superbe, merci bien.