Ma lettre de minuit
Tout me faire parler !
Tout me faire rappeler !
Dur souffrance,
L’homme endure.
Je cours pleins de peine,
Mais point malheureux.
Conseil de Hebath, à parler en moi.
Bienheureux je me sent.
Ils ont voulue me traiter moins q’un esclave.
La souffrance qu’il m’infligeait n’est rien a comparaître au pied de l’esclavage.
Mais comme tout homme !
J’ai un Dieu !
Un créateur !
Qui me préserve de tout mauvais coups; multiples coups.
J’ai envie de dire, de rendre, et de proclamer.
Mais quand j’y pense.
Je ressent de la haine.
Avant, je disais pourquoi moi ?
Mais j’ai compris.
Ils ne choisissent pas.
Ils font ça à tout les bonhommes.
Je ne puis point penser qu’un-être peut-être un menteur, un profanateur de fausse vérité.
Un mensonger porteur de tromperie bien embellir.
Semblable à une vérité !
Parle avec l’éloquence d’un maître de cours.
Et juste pour un titre !
Celui de NUIRE.
Nuire à la vie d’une personne qui ne te touche point, ni te pense point en mal.
Des mensonges à nos personnes.
Des personnes qu’on a connue par le biais du seigneur.
Non par de toi !
Comment haïr une telle personne sans creuser deux tombes.
La sienne !
Et la mienne !
Le sage dit: ” Tu bois du poison en pensant que c’est l’autre qui va mourir. “
Me résumer a çà;
C’est me tromper.
Et bien heureusement et vivement, l’on ne peut point se tromper !
Une bonne personne, je suis !
Une personne avec un bon cœur et de bonne intention.
Et à jamais.
Je ne voudrai le mal, ni la mort de mon paire pécheur.
Je sais pardonner.
Et je pardonne.
Tout mes prières envers ces mauvais actions,
Et qui dit mauvaise action,
Dit mauvais esprit,
Est qu’il ne connaisse point un bonheur sur le malheur du paire.
Mais connaisse le bonheur dans le bonheur d’un semblable paire.
Cœur de haine, Cœur de joieJ’acquitté mes tachesPour une nouvelle dimensionJoie et évolution croissanteÉvoque ma pensé.-Farel Ndv-