Je vivais dans une cage, en oiseau solitaire.
Car imcompris des hommes et du monde j’ai errer à travers les abysses.
Les abysses de mes regrets et de mes peures,
Les peures de mon âme qui noircissent mon cœur,
Ce cœur dévoré par la folie de mes espoirs.
Mon regard froid parcours ce vaste champ,
Ce champ, baigné par l’azur illuminé de verdures,
Mais il est impitoyable,sombre,cruel,arrogant et surnois.
Mais, ce champ qu’on appelle le monde est une tragédie.
J’ai du mal à les comprendre.
Leurs lois et leurs actes sont comme l’eau et le feu .
Moi je dis ce que je pense,
Le glaive de ces mots un jour lèvera le voile de leurs bêtises.
Au coin d’une rue dans l’indifférence totale de la masse,
Là! Gît un pauvre corps malade et chétif ,
Les quelques personnes qui l’aperçoit le dédaigne et le méprise.
Voilà ce qu’on appelle la misère humaine l’abandon des inclinations vertueuses.
Je suis un enfant qui cherche la raison de son existence.
Qui cherche le sens de sa vie.
Qui cherche sa raison de vivre.
Mais qui ne peut s’empêcher de ressentir la peur de mourir.
Ah quel enfant bien triste.