Une valse à mille temps, qui se danse d’un pas hésitant et bien trop lent.
Tes petits yeux sombres et malicieux, apparaissent et disparaissent dans le décor d’un film imaginaire, qui se tourne bien plus vite que nos pérégrinations socio-diplomatiques.
Je rêve et j’imagine, fidèle aux méandres puissamment créatifs de ma matière grise.
Je rêve d’un futur proche et sans inhibitions, où mes lèvres approchent les tiennes, dans une tension exaltante.
Mes rêves m’emportent dans un monde parallèle, où la fiction l’emporte sur la réalité, où nos contacts multiples et torrides, me procurent des émotions intenses et addictives…
Et puis je me réveille, je reviens dans le réel, et je te croise en t’ignorant, alors qu’une chaleur infernale me brûle de l’intérieur.