Chapitre 2 partie 6

6 mins

    Une fois de retour au domaine. Tristose a pas de chat monta les escaliers pour atteindre l’atelier à l’étage. Cyraxon ne sachant ce que son père manigançait fit de même. Il monta posa délicatement son pied sur chaque marche de l’escalier. Ce fut à la sixième que l’homme au masque stoppa son père.

– Elle grince celle-la. Dit il a voix basse au propriétaire de la maison.

– Quelle mémoire a tu fils pour te souvenir de pareil détaille.

 

   Une scène revint au penser de l’inquisiteur. Il préféra en sourire. Le maitre mit son pied sur la huitième.

    Une fois en haut la porte de l’atelier était fermée. On pouvait y entendre le Song métallique d’une boite à musique jouer en boucle. Note des compositeurs elfique les plus réputé.

Tristose déposa sa main sur la porte, Puis sourie.

– A sacrer femme. Je l’aime mais parfois je ne sais pas si se n est que par amour ou par moquerie. Ahaha.

    Il ouvrit avec délicatesse la porte. Cyraxon vit sa mère pour la première fois depuis trop longtemps. Pinceau accrocher par miracle a ses longs doigts de femme endormi sur le banc. De l’artiste. De grand cheveux dorer pour habiller un visage long et fin poser sur un corp mince vêtu d’une robe bleue. Un vêtement entacher par le sommeille de la dame de six-cent-quatre-vingt-sept ans et son pinceau.

    Le mari avança a pas de chat. Il empressa sa femme sur la joue. Elle ouvrit ces paupières pour laisser paraitre ses yeux. Il était facile de vois de qui Nimeria tenait ses pupille vert diamanté.

L’homme aida sa femme à se redresser.

– Regarde chérie ce que la mère nous a retrouvé.

Temarie prit un instant fasse à ce personnage don la pilosité cachait sa familiarité, puis… :

– Par la mère… Cyraxon ses toi? A mon fils.

    Elle le saisi fortement dans ses bras. Il n’avait que de vague souvenir de telle sentiment. A force de combat et de hargne, Être dans les bras d’une mère lui était devenu presque inconnu. Il si fit vite à l’idée.

Temarie prit un instant pour profiter de la présence de son fils.

– Je crois tu as nombre d’aventure à nous raconter… les sœurs on possiblement fini la préparation du dine, allez mangeons en famille.

    Ce fut en famille que tous descendirent dans la sale a mangé. Une grande pièce décorer des souvenir de voyage de Tristose et de l’étoile des cinq suspendu au plafond pour apporter harmonie à la pièce. Tristose s’assis à une extrémité de la table, Temarie a l’autre se qui laissait les deux autres côtes du grand rectangle en bois rouge a Cyraxon et Nimeria.

    Il ne fut qu’un instant pour que les sœurs du silence déposèrent couvert et ustensile. Une mit la soupe au centre de la table. Une autre encore plaça un énorme volaille d on l’odeur avais manquer à l’inquisiteur. Les elfes avaient un don pour le détail et cela se ressentait dans leur cuisine.

    Tous se mire à attaquer le repas. Bien que le retour de Cyraxon au sein de la famille, allât alimenter la discussion, la tradition elfique était de manger en silence d’abord. Sentiment étrange pour l’inquisiteur d’avoir à mettre t en effort pour garder le silence.

    De l’entrée au dessert le silence fut total autour de cette immense table en bois rare. Nimeria fut la dernière à conclure son repat, elle fit resonner sa coutellerie sur son plat en argile, geste signifiant le début des histoires de Cyraxon.

Ce fut sa mère qui demanda la première :

– Fils tu as t’en à nous dire… allez, parle nous du monde des hommes.

Tristose sourie à sa femme.

– Mais chérie il y plus intéressant que ses terres lointaines. De plus je t’ai déjà tout décrit… en long… en large… et, surtout en travers.

– Exactement bon moyen pour moi de voir si tu m’as menti, ahaha…

Ce rire spontané laissa place à la réponse de Cyraxon.

– Il y a peu à dire sur les terres. Montagne au nord, Valley plus au sud, neige l’hiver et pluies l’été. C’est un bien triste monde.

Son père répliqua.

– Tu as exploré surtout le nord. Dustrian et ces montagne, lieux glacial ahahah, je me souviens qu’une fois…

Temarie stoppa net son racontar de mari.

– Tristose, c’est à Cyraxon de radoter pas à toi.

Le maitre se mit à rire a s’excusa auprès de sa femme et de son fils. Cyraxon reprit :

– Ahaha oui il fait très froid. J’ai souvenir d’avoir effectué une chasse pour le compte de ce que les gens du nord nomment un ancien, sur une montagne. En route nombre de mes guides qui avais la force de se vanter de leur endurance mais cette force ne servit qu’à trembler comme des feuilles. Il ne fallut que peu de t’en pour qu’ils souffrent d’engelure.

L’anecdote fit rire le maitre. Nimeria, les yeux ronds, demanda avec passion.

– Quelle horrible terreur chassait-tu.

Cyraxon avec un grand sourire.

– Un Zubkaï.

    L’interrogation de fusible sur le visage de la jeune fille. Tristose sourie de fierté, il commenta la difficulté que devait représenter cette chasse. Cyraxon donna un peu plus de détail.

– Ah! Pour être difficile… Grand maigre. Leur peau de cuir bleu que même les lames les plus affuter on difficulté à percer. Des yeux rouge présent il sente le sang dans les veines de misérable discret et bon stratège. Mes guides en fut la victime. Ça n’empêcha pas l’ancien de festoyer ma puissance lors de la remise de la tête de ce monstre.

    Cette histoire fit s’exclamer la famille devant leur puissent fils. Tristose demanda subtilement sachant le rôle que porte l’inquisiteur dans les autres mondes.

– Fils quelle surnom a tu obtenu.

    

    Cyraxon fut très embêter par la question. Certes il avait aidé nombre de faiblard mais il avait subi les contres coup. Il arrive parfois que les hommes aient peur des puissants autant que les puissent devrait avoir peur des dieux. Ce fut a sur un ton plus neutre qu’il se renomma.

– Cyraxon le charognard.

    Il croisa le regard surprit de sa sœur pour y voir une touche d’incompréhension. Pourquoi son frère, inquisiteur, protecteur des hommes et juge des dieux, obtiendrait telle blasphème? Son père lui sourit.

– Ah les hommes ne changeront donc jamais. N’est crainte ils ont peur de ce qu’ils ne peuvent vaincre… et pourtant son heureux de nous voir appliquer l’harmonie dans leur petit monde. N’est crainte le mien était Tristose cœur de glace.

Temarie imita un geste frisson.

– Oooouuuuh! J’en n’est froid dans le dos ahahah…

Le père continua.

– Cas tu fais pour obtenir pareil sobriquet.

Sa fierté de retour Cyraxon raconta cette nouvelle aventure.

– Se fut il y a déjà un temps qu’un roi me fit venir pour mater une révolte. Normalement nous n’investissons pas les choses humaines mais la rumeur affirmait que le groupe était mener par un sorcier. Il m’a fallu une semaine pour découvrir les coupables. Au lever du soleil je fis tomber onze têtes au sol sur la grande place. Quant au sorcier je le fis bruler.

Le maitre fut impressionné par son élève. Il eut tout de même certaine interrogation.

– Certes se fut une semaine longue. Juger un sorcier n’est pas tache aisé. Nos marques nous donnent l’avantage mais nous devons constamment être vigilant. Qu’elle était ses pouvoir.

Ce fut avec toujours plus de fierté que l’inquisiteur se venta.

– Il concoctait de vile potion dans l’objectif de manipuler ces pauvres malheureux qui on désobéit à la sœur. Lors de sa capture je failli subir le même sort. Muni d’une seringue il m’attaqua… son interrogatoire fut cours. Sa mort longue… telle est la volonté des cinq.

Le maitre questionna à nouveau son élève.

– En dix années combien de jugement a tu promulgué?

– Douze.

    Tristose trouvais se nombre raisonnable, en revanche le doute persistait. Les informations données par les plus jeunes était tous similaire, leurs histoires, bien moins impressionnante qu’à son époque. Tristose mit en valeur cette différence.

– Comme il est dommage, de constater les différences entre vos histoires et nos légendes. Les sorciers son un mal à éradiquer. Certes nous devons leur accorder le droit au jugement mais nuls ne doive leur accorder sursis. Ce sont eux qui on créer la Fission lors de l’ancien temps. Nous sommes ceux qui ont mis fin à cette anarchie. Je me souviens de glorieux combat ou les villes devenait ruine sous leurs passages. Il est étrange, Cyraxon que nous, maitre, avons combattu telle ennemi alors que vous, la seconde génération, ne chassé que des sous monstres et juger des amateurs.

    Cyraxon fut ébahi par ce qu’il venait d’entendre. « Donc aucun de mes ennemis n’était digne. » quelle légende pouvait-il lui rester si les anciens avaient vaincu tous ses dangereux monstres, juger les plus puissent sorcier. Ce fut un coup dur qu’il ne sut prendre… au point qu’il ne parla pratiquement plus de la soirée. 

    Une fois la lune en remplacement du soleil, l’inquisiteur dans son ancien lit, rumina mentalement:

« Dix années…

Dix années à supporter ses humain minable et aucune gloire…

Dix années à me sentir devenir vieux et aucun ennemi digne, uniquement des combats contre des luniens et autres monstres faiblards.»

    A quoi bon donné la parole des cinq si je ne peux en être digne. Je ne suis pas Elf… est-ce la raison de mon échec… ?  Est-ce que je pourrais un jour me montrer digne… ? Dix année… ? Je ne suis qu’un humain. Mon temps en somme est compté. Je ne peux me résoudre à mourir sans qu’on ne conte ma légende. Je ne suis qu’un humain mais pas n’importe le quelle. Je suis Cyraxon, le corbeau dorer Altrias et pour cette raison je dois créer ma gloire. Pour cette raison, demain j’en parlerait au guide demain. Le charognard doit retourner Dustrian. »

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