Il fallut une semaine pour préparer le départ de Cyraxon. Une semaine où il put se remémorer ses souvenir de famille et apprendre de son maitre. Il n’était presque pas sorti du domaine des Asurias. Ce fut en se septième jour, que l’inquisiteur reçu la visite des hommes au masque noir.
Il écourta au plus cour ses adieux. Un mot pour chacun, Nimeria lui sema de revenir vite, raconté ses nouveaux combats mais surtout, de revenir moins laid. Son père approcha demanda à son fils de revenir glorieux, pour son nom mais surtout pour l’ordre.
Une accolade a sa mère puis la prise de ses armes, l’instant du départ était arrivé. Cyraxon se mit au centre de ce petit groupe d’hommes silencieux. Il marchait vers une mission digne de la grandeur et il ne reviendrait que lorsqu’elle serait accomplie.
Comme le veut la tradition, Il se devait avant de partir, de prendre un instant pour se recueillir au temple de l’ordre. Tout Inquisiteur, se doit de se recueillir sur le mur étoilé. Une fresque immense ou le nom des membres les moins chanceux (ou puissent son inscrit).
Il fallut quatre heures de marche pour atteindre le temple. Ce bâtiment construit au début du nouvel ère donnait des illusions de gigantisme par sa hauteur et sa forme. Une grande tour d’on l’a vue au sommet donnait sur tout Altrias, certain disait que l’on pouvait y voir au-delà des monts des lamentations. Cyraxon face à l’imposante structure de pierre blanche, sculpté fit le pas vers la porte d’entrée. Un corbeau blanc gardait la porte. Cyraxon spécifia son rang.
– Parolier je suis Cyraxon Asuria, fils de Tristose Asuria, Inquisiteur.
Ledit parolier répondit sur un ton neutre :
– Iniquitame Protases
Ces paroles sacrées et le bec sol pointant le sol, le corbeau blanc laissa Cyraxon pousser la lourde porte en bois-rouge, serti de renfort en acier.
Comme chaque membre Cyraxon saisi son sa lourde claymore pour la déposé à plat sur le tapie rouge de l’entrer.
– Ma foi en vous, permit mon retour. En ses lieux je subi votre jugement, pour l’ordre je vie, pour vous je prie, pour l’harmonie je sévie, si mon sang versé pour vous combler je le fais volontiers, Iniquitame protases.
Ce fut sur ses parole sacré qu’il termina sa prière. Sa main se saisi de la lourde et la repositionna dans son dos. Seul dans l’entrée du temple, il marcha observant les statues de grand guerrier aillant fonder l’ordre il y a déjà 800 ans. À Petit pas, Cyraxon prit l’escalier pour monter au premier étage (lieux où trône la mure étoilée se dressais.)
Le temple était un lieu de recueillement pour chaque inquisiteur mais il s’agissait aussi d’une caserne ou les éveillé commençais leur formation. Il n’était pas rare de croiser de jeune membre dans ces corridors, puisque leur baraquement était au sous-sol.
Cyraxon monta les escaliers en colimaçon, sa longue monté jusqu’ au premier étage le fit croiser l’un de ces jeunes membres. Ce fut sans aucune forme de considération que l’inquisiteur ne donna aucun signe de respect a se jauneaux qui allait probablement mourir au premier combat.
Nombre d’Elf se font nommer éveiller, peut survivre à leur première année dans l’ordre et ce n’est qu’après celle-ci qu’il court la chance d’être prit sous l’aile d’un maitre. Les place son donc limité puisque le titre de maitre ne permet que peu d’apprenti. Un éveiller peu donc attendre au sein du temple nombre d’année, sans jamais se faire remarquer. Ce ne fut évidemment pas le cas pour Cyraxon, la première fois qu’il avait monté ces escaliers il avait douze ans, âges hors norme pour qui conque tenant à prétendre à devenir inquisiteur. Tristose avait usé du statut d’exception pour l’inclure comme éveillé. C’est à treize, que Cyraxon prouva sa valeur et que son père le prit comme apprenti.
Les haute escalier franchi, Cyraxon se retrouva devant la porte de la pièce des glorieux, Il l’a franchi. Dans cette énorme pièce au mure gigantesque, gravé des noms des vaincus et des héros de l’ordre le corbeau doré prit place au côté de deux autres membres. En silence le bec vers le sol Cyraxon prit un instant pour méditer. Son œil reconnu ces paires. Il s’agissait de Daxtros et Kritios. La voix nasillarde de Kritios persan les tympans de l’homme au masque.
– Voilà donc zone d’ombre de l’ordre… les terres humaines sa été comment.
Sous son masque l’inquisiteur reprit ces vielle habitude. Voix grave et discourt simple et concis.
– Comme tu l’imagine.
La stridente voix continua.
– Ah… au nouveau monde les hommes sont plus dignes mais les chasses plus périlleuses… nombre de créature son vorace et les luniens… les luniens son partout en ces maudite terre. De grâce, que le frère les éradique tous… Et l’épaule sa vas toujours en passent…
Sans détourner les yeux de sa méditation, le masqué répondis qu’un minimaliste « oui »
Daxtros prit la parole pour conclure cette discutions plus rapidement.
– Je vous rappelle que vous venez méditer pour nos paires, que la mère a accueillie pour leur dévoument. De grâce respecté cette pièce. Merci.
Les hommes se turent, Daxtros était probablement le plus à cheval sur les principes que l’ordre inculquait. Avec un maitre comme celui qu’il avait eu. Un maitre ancien porteur de foi, difficile de faire plus pieux que se blondinet.
Kritios se leva. Sous les chandelles de la pièce Cyraxon pus constater la difficulté de gardé les colons du nouveau monde en vie. Cette Elf d’environ trois-cents ans avais le visage balafré. Trois griffures profondes, du haut de son crane jusqu’au menton, l’œil crevé et une main dépourvue de deux doigts. Cyraxon avait en souvenir, un Elf sans aucune trace et vantard d’être agile et rapide, au point de se moquer des tirs de mauvais mousquet. Le balafré saisi Cyraxon par le bras, ce qui interrompit sa déjà difficile médiation.
– Hey l’ami tu sais que mon avis sur toi et ton compère n’as toujours pas changé, je reste content de te revoir… Vien laissons se parolier amateur a ses morts. Allons voir…
– Silence !!!!!!!
S’exprima violement Daxtros.
Cette exigence de calme, donna le signal aux deux hommes de sortir. Kritios mit en face de Cyraxon termina sa demande.
– Toi et moi on n’a pas toujours été ami, je sais bien, un humain et un sans nom ne peuvent pas être inquisiteur… tout du moins tes est toujours en vie… je me doit de croire que la voix des cinq demeure impénétrable … hors … que devient tu ?
Ce fut étrange pour le corbeau doré de voir Kritios de cette façon. Lui qui respirait la confiance en ses capaciter et sa foi son ton donnait des touches de lassitude envers tout comme si rien ne comptait plus. Cyraxon répondit simplement :
– Dustrian est un monde froid … mais moins que moi.
– AHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHhhh…
Le borgne s’époumona de rire geste qui insulta le masqué. Kritios mit sa main dépourvue de son majeur et de son auriculaire sur l’épaule de son glacial interlocuteur.
– Dustrian est un monde soumis! Un monde ou les gens son capable de dormir sur leur oreille et capable de marcher sur des pavés. De mon unique œil j’ai vue t’en que mets rapport passe pour des comptes pour enfant et que mon rôle n’est plus de juger mais de maintenir le peu d’ordre qui reste entre ses faibles colons. Sans compter les attaques incessantes de lunien, de la main morte et des grossièretés que j’appelle monstre, que nombre d’idiot ose appeler dieux……….
L’humain laissa l’Elf reprendre son souffle. Souffle qu’il peinait à reprendre. Ce long discours, avait mis, Cyraxon en colère, émotion qu’il laissa s’estomper en un regard. L’œil de son compère montrait tout le gigantisme de son propos. Le borgne remit sur ces pieds demanda à l’homme devant lui :
– J’ai crue comprendre que tu repartais…. Dans environ quinze minute une marque sera attribuée à un éveiller… si tu le souhaite Vien avec moi.
Cyraxon ne voyant pas quoi faire d’autre, accepta. Ils descendirent aux donjons. Un jeune Elf dévêtit, couché sur une table. Fathiendre son maitre à ses coter. Deramien et là plus que forte de stature, Tauries était avec lui (rien de moins surprenant).
Fathiendre sorti une équille d’un sac de cuir et versa de l’encre noir dans un bol. Il fallu un instant pour percevoir leur son. Des murmures infimes murmurent minime qui prirent la pièce sans qu’aucun ne parle. Plus les voix se voulais forte, plus leur bourdonnement d’aille l’était aussi. En un instant, une quinzaine de fée firent leur apparition.
– Il est toujours existant de voir un éveillé devenir un de nos frère. Ne trouvez-vous pas?
S’exclama Deramien a Tauries et Cyraxon.
Il n’aurait fallu qu’un clignement d’œil pour rater la méticulosité de ces petit être qui a laide d’une éguille et d’encre, marqua la peau de ce jeune membre. En un instant la marque avait pris plus et l’éveiller était endormie. Le maitre Fathiendre se saisi d’une chaise et guetta son apprentie. Les inquisiteurs sortir de la pièce. Cyraxon répondit à son ami, fleur au nez.
– S’il se réveille il sera dès notre.
Tauries prit avec force, Cyraxon par le bras, elle demanda avec la voix la plus grave qu’une femme peut obtenir.
– Toi tu repars déjà. Comme il est dommage de ne pas profité plus de tas présence… pour quelle raison quitte tu Altrias.
Cyraxon sous son masque se contenta simplement de dire.
– Je ne peux me résoudre à être une histoire moi, la légende.
Se fut sur ses dernière parole qui quitta le temple. Son prochain arrêts le grand nord de Dustrian. Il ne reviendrait que lorsque légende il sera.