Chapitre 3 Partie 1

7 mins

    Être sûr, ils devaient être sûr. Si un seul était toujours en vie ces moins qui rien seraient en mesure de révéler leur position. C’était pourquoi, de percer chaque crane à la baïonnette résolvait le problème. Leur mission était des plus décisive. Leur réussite déterminerait l’issu de cette guerre. Dans cette optique la section avait effectué un travail impeccable. Il n’aurait fallu que d’un survivant pour donner leur position et le plan serait tombé à l’eau. Il ne devait rien laisser se perdre.

    Drôle de sensations de percer un crane à la baïonnette. Une vibration qui fait trembler la crosse du fusil lorsque la pointe finie par rompre l’os du front. Comme briser une branche pour pénétrer du beurre.

    L’inquisiteur regardait ses hommes faire mais une question le targua. Que faisais-t-il ici. L’ordre ne doit interférer dans les choses des hommes, telle est le pacte. Quel concours de circonstance l’avait fait devenir soldat? Cette question ne fit qu’un instant dans son esprit. Un sifflement glissa à son oreille puis un bruit lointain.

Un caporal cria

– Salve !!!! au sol !!!

    Geste vite appliqué par les douze hommes, soi couché, mire en quête d’une cible. Cyraxon observait le sergent battre des mains pour communiquer.

« BANG »

    La gicler de sang fit stopper cette discussion non verbale. Un de ses homme se mit en place. Pour laisser sa tête exploser sou une tire qui fut silencieux le temps d’une seconde.

Le caporal cria à nouveau

– Franc tireur aller….

    Les hommes ne surs jamais la fin de cette phrase. Le pauvre au sol le crane percer à distance. Vite la panique s’empara de tous. Les coups de feu devinrent plus intenses. Il s’agissait d’un peloton fusilier Ormitien. Coup de feu en section alterner. Cyraxon vue les corps se faire mutiler, les uns après les autres. Il se dressa, pistolet dans une main, claymore dans l autre. Il voulait meilleure couverture mais debout, il fut stoppé. Encore eu et toujours, eu … même aux milieux de nul par ils était là. Les deux enfants roux. L’inquisiteur se senti oppresser leurs yeux river sur lui, il ne sut réagir autrement. D’ailleurs, le pouvait il :

– Par les cinq … Mais vous été qui ???

    Sous les coups de feu et les crie de mort, la petite fille dressa le doigt vers lui. L’inquisiteur tourna la tête ….

(Bang!!!)

    En panique, Cyraxon se dressa dans son lit. Poignard en main, il examina la pièce. Il était bien dans cette horrible petite chambre d’auberge de ce village d’on le nom lui échappait encore et toujours. L’adrénaline circula dans son sang et son souffle reprit un débit plus constant. Sa main replaça le poignard sous son oreiller. Assi sur le lit a la lueur d’une bougie, Cyraxon fit le point sur se qu’il venait de se produire.

    Des cauchemars, il les avait toujours subis mais depuis son premier départ de Dustrian, ils étaient devenus régulier, voir quotidien. Le rythme était déjà hors norme mais la présence de ces démons roux rendaient la chose plus lourde.

« Qui sont ses enfants ? »

    Le soleil était à la ligne d’horizon. Cyraxon sue qu’il était temps pour lui de se vêtir. Au fur et à mesure de la mise en place de son déguisement habituel, il remit les pièces de son enquête en ordre. Effectivement sa quête de rejoindre le nord avait été écourté. Une rumeur de l’existence d’une secte le conduisit à l’intérieur de ce village que son esprit tenait a gardé anonyme. En quatre jour Cyraxon avait débusquer deux membres. Il fut facile de tirer nombre d’information a ceux si serte l’un d’eux succomba à l’interrogatoire. Sacrifice utile puisque le second n’eut aucune hésitation à donner ou et quand trouvé trois autres membres. Des membres d’on Cyraxon comptait se servir pour désigner un chef.

    Cyraxon avait prévu de faire de sa journée, la dernière en se lieux. Quitte à bâcler le jugement des ces être en perdition.

    L’inquisiteur se muni de sa dernière arme et la posa entre ses omoplates. À la sortie de sa chambre Cyraxon se muni des gardes fournis par l’ancien du village. Il fallu peu de temps pour capturer ces corrompu. Les informations que le survivant avait données était juste. Cette secte qui osait vénérer quel qu’onques atrocité païenne, effectuais des rites au lever de soleil. A genou coupe rempli d’un liquide bleu vêtu de vêtement blanc et encapuché, Cyraxon les captura sans même avoir eu à se battre. Les trois se firent lier les mains. Les gardes emmenèrent sac sur la tête à la pointe de leur lance dans un sous-sol spécialement aménagé. Pour Cyraxon comme pour eux l’interrogatoire pouvais commencer.

    Ses ainsi qu’ils descendirent l’escalier. Grincement de porte, le sac en tissu sur la tête les empêchait voir ou le destin les emmenait. La voix des gardes resonna fort dans la pièce. Sans voir ou ils étaient, le résonnent des paroles indiquait que le plafond était haut et les mures espacées. Un homme au pas lourd faisant des cercles au tour d’eux. Il ne percevait que la lueur de sa torche au travers des sacs de jute, preuve de la noirceur de la pièce. L’homme au cent pas stoppa pour commencer sa récolte.

– Vous… Savez-vous pourquoi vous été ici.

Ses d’une voix tremblotante que l’un des accusés en blanc s’exprima.

– Nous… nous… n’avons commis aucun crime… monsieur.

    Ils ne le virent pas, mais la voix grave fit signe aux quatre gardes de sortir de la pièce. Un second grincement de pour indiqua que les quatre hommes allaient pouvoir devenir plus intime.

– Savez-vous qui je suis.

    Deux têtes en capuchonné secouèrent négativement la tête. Le pas lourd stoppa net devant le troisième.

– Toi! Sais-tu qui je suis?

Se fut avec tout le naturel du monde que l’individu répondit.

– Un inquisiteur.

    Le courageux senti cinq griffes d’acier se positionner sur son crâne. Les pointes se refermèrent, égratignant sa tête dans l’objectif de retirer le sac de jute. Ils purent Parler, les yeux dans le masque.

– Pas n’importe le quelle.

    L’accusé dans sa robe blanche mit en face du plus terrifiant personnage qu’il eut la malchance de rencontrer, grand chapeau, masque de corbeau. L’attirail a Cyraxon avait de bien, qu’il lui était simple d’intimidé. L’homme garda son sang-froid. Cyraxon retira les sacs aux deux païens tremblotent.

    Il avait déjà découvert le plus vieux des trois, ne manquait plus que le pleurnichard et le jeune.

– Je suis Cyraxon vous avez été désigné par vos semblable de complicité de sectarisme. Je dois déterminer qui d’entre vous est chef… et vous faire subir un jugement.

    Le vieux répondit sur un ton presque allaise.

– Nous n’avons pas de chef. Nous ne sommes coupables de rien.

    L’inquisiteur s’impatienta.

– Vous été coupable de sectarisme, de mauvais culte… Et peut-être même de sorcellerie.

Le vieux eux un instant de bravoure et demanda plus d’explication.

– Expliquer moi, s’il est véritable que nous aillions prier d’autre dieux, qu’elle mal y aurait-il?

    Cette ritournelle Cyraxon la connaissait bien et s’il avait eu tribu pour chaque fois qu’un païen avait donné cette argument l’ordre serait plus riche que le continuant de Dustrian au complet. La réponse pour Cyraxon était déjà toute trouvée.

– Vos fausse croyance brise l’harmonie. Si les loups dirigent les brebis… Ce ne serait que dans l’objectif les condamnés.

Le plus vieux fit un pas en avent et s’imposa a Cyraxon.

– S’il vous faut un chef… me voilà.

Le courageux fut pointé par le bec doré de son juge.

– Voilà une tache de résolut.

    Il ne fallut qu’un instant a l’inquisiteur pour se munir d’une seconde torche et révélé dans la noirceur de la sinistre pièce une corde suspendue a au plafond et un banc déjà renversé.

Cyraxon, les yeux lourds dans le regard de l’adorateur du mauvais dieu lui expliqua.

– Je dois être sûr de votre parole, je vous condamne donc au supplice de la corde.

Les complices regardèrent leur ami, celui si demanda au corbeau.

– En quoi consiste cette torture… vous avez déjà ce que vous voulez savoir. Que vous faut-il de plus. Exécuter moi simplement et laissé mes amis.

Froidement Cyraxon saisi l’homme par l’épaule et le conduisit à la potence improvisée.

– Ose tu croire que je ne sais presque rien sur votre culte, ni même sur vos supposer dieu. Je me dois d’en connaitre plus (il remit le banc sur pied et fit monter le vieillard.) je me dois de palier se handicape. Donc pour obtenir mes vérités je dois vous faire passer à la corde.

Cyraxon glissa la corde au tour du cou de l’homme toujours calme. (Voir en paix)

Le vieux demanda une dernière fois :

– En quoi consiste ce supplice.

L’inquisiteur répondit simplement.

– S’il vous me révélé vos vérités des plus rapidement. Vous vivrez.

    Le vieillard n’eut le temps d’effectuer un regard d’interrogation que le méprit de Cyraxon avais déjà renversé la chaise. Les deux autres individus en toge blanche firent un crie de surprise. Voir leur ami se débattre au bout d’une corde. Les pieds battent l’air cherchant appui.

    Le corbeau fit un bon et agrippa les impures. Par la gorge, il les fit chuter. Ces griffes d’acier dans leur chair, à la limite de la rupture cutanée. Sans plus d’émotion a son timbre de voix froid, leur expliqua.

– Vous n’ete qu’une perte de temps pour moi, dite moi tout, votre ami vivra.

    Les deux hommes eux un échangé de regard ver le block de glace qui les tenait. Le plus jeune dit simplement.

– Taxon, il ne bouge déjà plus…

– Je sais… il nous l’avait prédit…

    Cyraxon enfonça un peu plus ses griffes dans leur coup ce qui fit émerger un crie un peu plus fort.

– Qui vous la dit.

– AHHH !!! il serait normal que je me laisse mourir mais il me la demandé.

Cyraxon, pris d’impatience.

– Qui?

Le sang commençait à couler sous les pointes d’acier du corbeau doré.

– L’ombre… on le nomme l’ombre…

    D’un geste de poignait, Cyraxon brisa la nuque du pleurnichard, de toute façon il n’en avait pas besoin. Il redressa son interlocuteur actuel.

– Dis-moi qui est cette ombre d’on tu me parle.

L’homme eu un sourire de défi :

– L’ombre. Ses votre cauchemarde il voit tout planifiât tout il Mani le soleil et est plus puissent que nombre de vos armé réuni il parle au démon et… (coup de poing violent de là par de Cyraxon)

– Je me moque de ton dieu…

 Le sectaire se redressa à nouveau et dit sur un ton solennel :

– L’ombre n’est pas mon dieu

– Mais qu’est-il dans ce cas… RÉPOND! (En le secouant violement)

– Le dernier véritable sorcier.

    Un frisson parcouru le dos de l’inquisiteur en manque de gloire. Ce fut la raison pour laquelle il tortura le pauvre bougre un peu plus longtemps. Il n eu d’autre information de sa part que de l’ombre avait parcouru les plus petits villages, du sud jusqu’au nord. Ledit taxon fini tout de même dans un coin de cette sinistre cave pendu. Triste sort mourir ainsi dans un village d’on même le charognard n’ose se souvenir du nom.

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