Comment pouvait-il avoir été aussi aveugle. Comment avait-il pu ne pas le voir. Durant tous ces années à côtoyer les hommes, sa quête du nord l’avait initié à une nouvelle réalité. Une toile sectaire d’on Cyraxon était probablement le seul inquisiteur à connaitre l’existence. Mené par un individu nommé l’ombre, cette secte portait le nom d’Eclipsodum.
C’est en marche vers les montagnes, qu’à chaque village Cyraxon en dénichait de nouveau élément. Comme s’il voyait ce qu’il lui avait été cacher, il en était devenu a deviné aisément ces impure inculte.
De village en village, il tortura et exécuta. Toujours cinq membres pas plus, pas moins. Cinq âmes perdues qui a chaque jour louait la monter et la chute du soleil. Cyraxon détestait la vantardise de ces monstres en blanc. Fière d’avoir été designer par l’ombre, même les pied ballottent au-dessus du sol.
L’ombre, un individu d’on la seule description suffisait en amplifier le mystère. Une capuche noire et un don pour manipuler le soleil. Qu’importe ce que cette ombre avait de réel et de légendaire, l’inquisiteur comptait bien l apporté devant son jugement. Si de sa claymore Cyraxon décapitait un ombre, sa légende serait construite.
Il fallu une semaine pour finalement obtenir une information qu’il put qualifier d’utile. L’un de ce sectaire révéla, sous le poids des coups, que l’ombre suivais toujours la même route, route d’on le nom n’était rien de moins que le chemin du perdu. Cyraxon, en chasse, parcouru se chemin. Certes il ne savait pas où cela le mènerait, ce n’était que le début de sa quête.
Une semaine et neuf exécutions plus tard, Cyraxon airait toujours sur se chemin. Il avait tellement marché que les villages forestiers avaient laissé place à d’énorme champ. Lieu où les vaches et les fermiers se partageait le vide qu’est la vie agricole.
En deux jour, il n’avait croisé aucune auberge et sur ses quarante-huit heure, le seul instant ou-il eu le courage de ferme l’œil, ce ne fut que pour être réveillé par ses cauchemars. Cyraxon vint à la conclusion qu’il lui fallait un lit. Sur son chemin, en plein centre d’un de ses grand espace vert et vide, ce trouvait une habitation. L’inquisiteur allait faire de cette maison son refuge. Son titre lui permettait, pourquoi s’en priver.
La petite maison éloigner était beaucoup plus grande de près. L’inquisiteur regarda le soleil tomber sous l’horizon, bon temps pour prendre lit.
Il allait cogner la porte. Il reteint son geste en voyant ses doigts d’acier. Il eut une hésitation, puis frappa violement la porte.
– Oui… oui … Cratiguer, je sais que…
Le fermier eu le souffle coupé en voyant le corbeau, bec d’or mesurent près de deux mètres et munis de l’attirail du forgeron. L’inquisiteur comprit l’instant de doute de son hôte. Il tendit mécaniquement sa main griffue.
– Je me nomme Cyraxon Asuria, membre de l’ordre. Je doit loger pour la nuit.
L’homme eu un air méduser. Ne sachant quoi répondre, se simple fermier saisi la main de se grand personnage masquer. Se fut avec une touche de doute qu’il la secoua et se nomma :
– Atirion… Atirion Lassari.
Il n’en fallu pas plus pour que le corbeau s’invite à l’intérieur. Silencieux il explora la maison pièce par pièce (le poing sur l’un de ses pistolets, au cas où). La maison était immense nombre de pièce était muni de lit. Une d’entre elle avait une suite de poupées cordé aux mures, comme si elles étaient punies. « Drôle de façon de décorer. » se dit l’inquisiteur. Atirion l’avait accompagné dans chaque pièce. Cyraxon avait constaté que malgré ses aires de fermier fâcher qu’un étranger s’invite dans sa demeure, le bon monsieur, demeurait fort coopératif. Il ouvrit les portes, expliquait qui avais dormit dans telle ou telle pièce, histoire de son passé familiale qui avait peu de chance d’intéresser Cyraxon. Un fermier qui devait mourir d’ennui de vivre seul. Atirion n’eut qu’une seule requête. Celle de ne pas aller à l’intérieur de sa chambre. Cyraxon si plia, à quoi bon pousser plus loin, la maison semblait sécuritaire et isolé qui plus est. Se fut sur le vacarme que fit ses armes lors de leur contact avec le sol, que Atirion comprit : l’inquisiteur avait choisi sa chambre. Sur son ton autoritaire, il dit au fermier.
– Laisser moi seul maintenant.
Le fermier fasse a telle individu demanda.
– Mais… puis je savoir quand vous compter partir.
– Le plus tôt possible.
Atirion regarda le corbeau au bec dorer. Le grand personnage le terrifiait, mais ce ne devais pas être une raison pour ne pas lui offrir l’hospitalité du nord.
– Inquisiteur… puis je vous offrir un bolle de ragout… vous devez avoir faim…
Cyraxon donna comme réponse un « non ». Le fermier insista :
– N’ayez crainte je cuisine bien et il vous fera grand bien de vous nourrir et surtout retirer se masque… d’ailleurs étrange de vous voir retirer vos armes si aisément devant moi mais pas cette muselière. Pourquoi?
Ces mots créèrent un lourd sentiment d’oppression entre les deux hommes : Cyraxon demanda à son tour.
– Qui est Cratiguer ?
Le fermier senti un frisson parcourir son dos.
– Cratiguer… ses un ami, il vient souvent me voir… me tenir compagnie depuis … (soupire) vous savez… dormir ne me ferais pas de tort non plus…
L’inquisiteur senti l’inquiétudes de son interlocuteur, raison supplémentaire de continuer l’interrogatoire.
– Si grande maison… pour vous seul ?
Atirion répondit d’une voix sèche.
– Oui. Pourquoi m’interroger? Je ne suis qu’un fermier de Nartie.
Ce fut avec un étrange sentiment de malaise que Cyraxon comprit qu’il était allé un peu trop loin. Il coupa cour a la discussion.
– Je dois me reposer.
Une main sur la porte qu’il allait fermer, Atirion stoppa le geste de son pied.
– Quesque qui pousse un inquisiteur masquer à parcourir nos champs et prendre refuge chez moi.
– Je n’ai pas à subir vos interrogations.
Atirion reprit un instant, le temps de faire des liens.
– Serrasse pour ce qui se passe au-delà de montagne de l’autre coter des marais et du fleuve.
Cette affirmation titilla Cyraxon. La porte grinça de nouveau dans l autre sens.
– Que savez vous sur se qui se passe de l’autre coter des montagnes.
– A presque rien… en fait je ne serais réellement rien si un homme n’était pas venu recruter les jeunes hommes de la région. Il se fond appeler les Transien. Es ce pour se peuple que vous été ici?
– Un fermier n’a nul besoin de se mêler des choses de l’ordre.
Se fut avec verbe, qu’Atirion répondit.
– Et l’ordre de se mêler des choses des hommes… n’est-ce pas?
– Il y a des choses qui vous dépasse. Fermier l’ordre existe pour vous en préserver…
– Donc les elfes ont peur d’un groupe d’homme perdu dans les déserts de glace.
– Cela ne vous regarde PAS !
Cyraxon comptait fermer la porte et clore discussion.
– A moins que se ne soi que pour l’homme qui vient recruter… celui que l’on nomme l’ombre.
Atirion su la garder ouverte encore un instant.
– Que sais-tu sur l’ombre.
– Sachez monsieur Cyraxon que je ne suis pas désintéressé dans cette histoire l’ombre à recruter nombre de membre dans ce village… je suis prêt à vous dire nombre de choses.
Cyraxon satisfait de la coopérativité d’Atirion le fit entrer dans la chambre. Les deux hommes enfermés à l’intérieur de cette petite pièce, Cyraxon prit place sur la chaise a coter de la porte.
– Ah! maitre inquisiteur vous serait-il possible de me laisser ce fauteuil, la culture de céréale est des plus ardu… Mon dos en a subi les conséquences.
L’inquisiteur regarda Atirion, il devait avoir dix ans de plus que lui, cheveux gris et cerne sous les yeux. Il choisit de laisser la chaise au faiblard. Une fois placé sur le lit, Cyraxon entreprit son écoute.
– Parle fermier.
Atirion sur la chaise, eu un sourire. Véritable rictus, qui l’espace d’un instant glaça le sang de Cyraxon. Il venait de comprendre la stupidité de son geste. ces armes aux pieds d’un fermier d’on les vêtements se trouvèrent entouré de fumé pour créer une cape noire. Cyraxon se trouvait des plus vulnérable, il n’avait rien pour se défendre.
Atirion, visage dissimuler sous un capuchon de fumé, délivra un trait d’esprit.
– Comme il est simple de désarmer ses ennemis lorsque l’on ait bon avec eux … ne trouve-tu pas.
Cyraxon bondi sur le sorcier qui en un instant, se transforma en nuage gris. Bien qu’il n’eût pas touché Atirion, il se trouvait près de son équipement. Il tendit le bras dans l’espoir d’agripper quel qu’onques dangereux objet. Espoir vain lorsqu’ il entendit Atirion faire des mimiques du bout des lèvres.
Le sorcier possédait les ceintures contenant le lourd équipement de l’inquisiteur, dans une seule main.
– Oh! que de bonheur de voir que tu soi un faiblard d’elfe comme les autres. Endoctriner à suivre des préceptes stupides et dire au vivant que de vaut faut dieux seront les guider mieux que nos réels.
Le sorcier laissa s’écrouler au sol les ceintures, tous à l’exception d’une. Il se saisi d’une dague puis commenta.
– Triste monde ou les dragons noir son les proies de vile monstre… vous les elfes, oser croire que tout vous est du.
Les yeux émerveillés du sorcier devinrent rouges de colère, lorsqu’il porta le regard sur Cyraxon. Un sifflement puis un geste reflex d’esquive. De la lame se planta au coter de l’inquisiteur. De bon en bon, Cyraxon esquiva les 5 poignard. Fière de son habileté il monta à l’assaut. Poing en l’aire il fut vite saisi à la gorge. Son chapeau chuta, tout comme l’aire dans ses poumons. Les pied hors de tout contact avec le sol. Atirion prenait plaisir à stranguler l’inquisiteur.
– Vous êtes fier de votre fausse puissance, de vos marques, de vos pseudo talent. Montre-moi cette force. PETITE MERDE! Tu n’es rien. Rien… (Bras tendu il fit tourner dans la chambre longeant les murs.)
Cyraxon, aux portes de l’inconscience, eu par miracle une sensation bien connu dans son dos. Appuyé aux mures l’une de ces dagues était planter dans la paroi sur laquelle il était maintenu. Les yeux plongés dans les vers du masque, le sorcier entreprit de sortir de sa cape noir un manche métallique. Cyraxon tentait alors d’agripper le poignard dans son dos. La capuche de fumer qui avait dissimulé le visage d’Atirion se dissipa.
– Iniquitame Protases… inquisiteur.
Du manche sorti une lame composer de la même lumière que celle du soleil, chaude et vive même que le ciel était visible dans le plat de la lame. Le bras monta et par miracle Cyraxon eu la flexibilité d’agripper le poignard. Il eu un coup un seul.
La pièce retomba dans la noirceur. Cyraxon reprit son souffle et du même enlever son masque. Atirion airait sur le sol, une lame en griffe de dragon noir, incéré dans le crâne.
« Trop faiblard pour être l’ombre » se dit l’inquisiteur aux portes de l’épuisement. « Cela doit être un disciple, dans tous les cas je ne peux demeurer en ses lieux ».
Il se saisi de tout se qu’il lui appartenait, sa claymore, ses deux sabres elfiques, ses trois pistolets et son chapeau. Il ne laissa qu’une seule chose dans la pièce. Comme le drapeau de sa supériorité, il laissa planter le poignard dans le crane de se sorcier fermier.
En quitta rapidement les lieux et reprit la roue. Il prendra refuge au prochain village.